anti-religier : au Mexique
tribunal s'est fondé sur l'articie, Par ailleurs, l'aspect antire-
27 de la Constitution qui pres-| ligieux de la loi de 1917 se re-
crit: “Les églises destinées au!flete dans la répugnance mani-
culte public appartiennent au!feste qu'éprouve le Bureau du
peuple, représenté par le gou-| cinéma, ministère de l'Intérieur,
vernement fédéral, qui détermi-| à approuver la présentation d'un
nera quelles églises continue-| film ‘religieux, “Le ce de
ront d'être affectées à cette fin”’,| la gloire”, où le rôle principal
L'article 130 de la charte établit} est dévolu au Père Méethn,
que la loi ne reconnait pas d'en-! O.F.M., ancienne vedette. de la
tité juridique à tout groupement | chanson et du film mexicains.
religieux désigné sous le nom |Le gouvernement retarde à au-
d'Eglise. Les mêmes dispositions | toriser la présentation de la pel-
s'appliquent aux résidences épis- | licule en alléguant certaines dif-
copales et aux presbytères, |ficultés indéfinies.
MEXICO Des événe-
ments récents ont rappelé du-
remént que l'Eglise catholi-
que et la religion en général
sont encore soumises à de sé-
vères restrictions au Mexi-
que, en vertu de la constitu-
tion de 1917, En effet, la lé-
£islation adoptée cette année-
la a rendu les mariages civils
obligatoires, interdit les écoles
privées, mis hors la loi l'instruc-
tion religieuse dans les écoles de
Etat; elle niait également aux
Eglises le droit de posséder ou
d'admimisirer des biens, et pro-
bait toute manifestation reli-
Lieuse en public.
S. Exc. Mr R. Duprat, 0.P..
est décédé à l'âge de 76 ans
an esprit
Fer PA!
WINNIPEG, VENDREDI 19 FEVRIER 195
me
d /
p,,
V
NW
AY
©
[UTE
bRIX: SEPT CENTS
_—
N-
SHERBROOKE — S. Exe.|
|Mgr Georges Cabana, arche- |
| vêque de Sherbrooke, a décla-
ré que l'établissement d'une |
université à Sherbrooke est
“un projet de cent ans”. Mais |
l'université ‘aura des débuts |
|modestes et elle grandira et |
progressera avec les années et
à mesure que nous aurons les
moyens de la faire se développer”, |
Il Qcommentait l'annonce par|
l'hon. M. Duplessis que son gou- |
vernement présentera un projet |
de loi pâr lequel on accordera le
rang d'université au séminaire
| St-Charies Borromée, de Sher- |
brooke l
Mgr Cabana a dit que la Sa-|
crée Congrégation des séminai- |
|res et des universités, à Rome, |
| a approuvé il y a quelque temps |
AU COMPTANT
Interdiction d'un film catholique
Dernièrement, la Cour supré-
a réaffirmé que nulle Eglise
! droit de posséder des
biens{onds; d'autre part, le gou-
rnement à interdit jusqu'ici
la présentation d'un nouveau |
film catholique, en
qu'elle constituerait une mani-
festation religieuse en public.
Depuis longtemps, on n'avait
vu de pareil. La Cour su-
prème a rendu son verdict dans
me cause où deux sectes pro-
testanies
de Bétel et l'Assemblée de Dieu
se disputaient sur l'usage d'un
centre de culte dars la capitale.
Le tribunal à statué que les ter-
n a 4€
rien
rains appartenaient à l'Etat mais |
pouvaient être utilisés conjoin-
tnment par les deux groupe-
le
ments, Dans cette décision,
Des Soeurs cloîtrées
sont victimes du froid
FERRARE — Dix religieuses
cloitrées sont mortes et douze
sont tombées malades depuis le
debut de l'hiver pour avoir man-
que d'une protection suffisante
contre le froid, particulièrement
rigoureux dans la région cette]
année,
C'est ce qu'a annoncé S. Exec,
Mgr Roger Bovelli, archevé-
que de Ferrare, en soulignant
l'etat d'indigence extrême
comprenant 96 religieuses des
ordres des Carmélites, des Capu-
cins, des Clarisses, des Augusti-
nes et des Bénédictines, |
Au couvent des Carmélites, il |
n'y avait pas de chauffage, mé” |
me à l'infirmetie. On sait que le!
Saint-Siège, préoccupé de l'indi-
gence extrême des religieuses |
cloîtrées qui doivent vivre de!
charité et du
dans leur état, avait encouragé
la suppression de certains cou-
vents et la fédération de certains
ordres,
Un officier supérieur
anglais devient trappiste
LONDRES -— Le colonel John
O'Connell, ancien directeur ad-
joint des services médicaux de
la division cuirassée britannique
du Moyen-Orient, s'est fait moi-
ne trappiste. I1 vient d'entrer au
monastère de Notre-Dame et St-
Samson, dans l'ile de Caldey, au
large de la côte du comté de|
Pembrooke.
Le colonel O'Connell, qui est
médecin, vient de quitter l'ar-
mée et il étudie en vue de la
trise avec les frères cisterciens
de l'etroite observance, en com-
pagnie de vingt autres moines,
Dans son nouveau temple du
nce, John O'Connell va me-
ner la vie austère du trappiste, |
repas simples, sans viande ni
poisson, lever à 4 h. du matin et
travaux des champs pendant le!
Jour,
sile
. EX !
M. et Mme M. Wagner, de
alléguant |
l'Eglise chrétienne |
= des |
cinq rouvents cloitrés de la ville |
eu de travail qu'il |
leur est possible de se procurer |
[nos étudiants de plus er plus
Revenu à DRE le R.
; #0 P. Duprat occupa plusieurs pos-
Mgr Réginald Duprat, OP, | tes dans les couvents e son Or-
i sv ince-Al- | dre. Mentionnons qu'il fut prieur
* srhege eve à 7 ’ | à Fall River, dans le Massachu-
bert de 1938 à 1952, est déce-| setts, puis à Québec, de 1926 à
: i svri | 19289.
dé le samedi 13 février . 7 C'est en cette année 1929 qu'il
couvent des RR. PP. Domini-| fut chargé d'aller dans FO
5 : id âce. | Canadien établir le couvent domi-
peses à Notre Dame de Grâce, | nicain de Prince-Albert. En 1934,
après quelques jours de ma-|;] était élu prieur du couvent de
hp | Notre-D de Grâce, à Mont
: tunis A é | Notre-Dame ce, 4
ladie. Il était âgé de 76 + s| réal. C'est là qu'il se trouvait,
aurait célébré le lendemain le lorsqu'en janvier 1937, il fut
MONTREAL S. Exc.|
| 50e anniversaire de son ordina-| nommé administi teur apostoli-
| tion otale, que du diocèse de Prince-Albert,
| Biographie à la démission du titulaire, S.
Né à Beauharnois, le 27 août | Exe. Mgr Prud'homme,
1877, l'ancien-évêque de Prince-|, Elu par Sa £ainteté Pie XI
Albert avait fait ses études clas-| évêque de Prince-Albert, le 17
siques au collège Ste-Thérèse et| mars 1938, Mgr Duprut fut sacré
au collège de Montréal. I1 était! dans sa cathédrale par S. Exc.
entré chez les Dominicains le 3| Mgr Monahan, archevêque de
août 1899 et avait ete ordonné | Fe le 31 mai de la même
rêtre à Tupper Lake, N.-Y., le : 0 LÉ os di L
| n février 1004, par S. Exc. Mgr | Mgr Duprat avait démissionné
| Gabriels, évêque d'Ogdensburg. | (Suite à la deuxième page)
L'essor des écoles catholiques
en Irlande du Nord est entravé
| BELFAST —— S, Exec, Mgr
Nigel Farren, évêque de Der-
| ry, sur le littoral nord de l’Ir-
| lande du Nord, a déclaré que
les intérêts de l'instruction
catholique en Irlande du Nord
sont défavorisés par l'effet
d'une influence sinistre.
Selon l’évêque, toute tenta-
, pe K F |
tive visant à ménager de nou-
veaux locaux pour les élèves |
dont le nombre s'accroît au point
d'atteindre actuellement 700, a
été entravée par des ‘‘puissances
occultes dans les six comtés”.
Mgr Farren a précisé que les
autorités municipales en matière | s
d'instruction publique ont rejeté | posés à la collaboration, compré-
une demande tendant à établir | hensifs. Mais les fonctionnaires
une école élémentaire pour les | de tout service de l'état ne peu-
catholiques de Maghera. Mais |vent prendre que les initiatives
on a heureusement réussi à|que leur permettent les politi-
les faire approuver, après avoir | ciens.”
interjeté appel auprès du minis- a
tre de l'Instruction publique. Grève des mineurs réglée
Persécution des catholiques NORANDA -- Une grève qui
“Mais les puissances occultes |se prolongeait depuis 6 mois et
ont continué d'agir, ajoute le|impliquant quelque 1,500 mi-
prélat; en moins d'un mois, une | neurs à la grande mine Noranda
lettre émanant du Cabinet reti-| a été réglée quand une offre de
rait cette permission et interdi-| la compagnie de 742 p. 109 d'aug-
sait la construction de l'école | mentation du salaire horaire a
élémentaire projetée.” été acceptée par les hommes.
L'évêque a dit également: Les mineurs ont voté 654 con-
“Nous avons récemment essayé | tre 125, samedi, pour reprendre
de trouver des locaux pour une!le travail selon une base d'’'en-
autre école dans la ville detente qui leur fournira des aug-
Derry, ou du moins pour un ra-| mentations allant de 8 à 13 cents
jout ailleurs qu'ici, afin de loger |l’heure. L’enterte conclue sera
en vigueur pendant un an.
nombreux; dans ce cas, encore,
|nous nous sommes heurtés à un
refus.”
Entraves à l'édacation
des enfants catholiques
“Non seulement a4-on entra-
vé aussi directement nos éfforts,
mais il semble exister un comité
dont le but est de
ver l'instruction
ques”,
Où la politique intervient
“Tout règlement édicté par
l'Etat, touchant l'instruction pu-
blique, semble faire l’objet d'un
examen minutieux. On s'arrange
pour que les catholiques en reti-
rent le moins de profit possible.”
“Par ailleurs, dit encore Mgr
Farren, les fonctionnaires du mi-
nistère de l'Instruction publique
se sont montrés équitables, dis-
la paroisse St. Andrew de Manitowoc, Wis., sont fiers de leur pro-
pre club de football composé de leurs 11 fils que l’on voit ci-dessus alignés pour la bataille, sous la
direction de leurs entraineurs, qui ne sont autres que leurs parents. On distingue, de gauche à droi. |
s avant: Chérles,
ur la “ligne”
8 ans, Michael, 5 ans, Richard, 3 ans, Phillip, 2 ans, Nicholas, 4
John, 6 ans et Anthony. 8 ans. Les joueurs d'arrière sont: Peter, 14 ans, qui tient le petit Joseph,
de 6 mois, Maithew, 12 ans,
age
Le Cercle Molière prés
demain soir, 20 fé
au théâtre Playhou
et Tom, 10 ans. (NCWC)
entera
Comédie
vrier, à 8h. 30
se de Winnipeg
en À} actes
CS Crusader, alors que ce navire était à l'ancre
dans les eaux de Corée, ont té des cantiques pour les marins qui les recevaient. Les enfants
ont passé des heures intéressantes et les membres de l'équipage aussi, en rendant la vie plus agréa-
ble à leurs jeunes visiteurs. Les marins du Crusader furent surtout impressionnés par les bonnes
manières des jeunes Coréens. ( }
La Colombie Britannique compte le
Ces jeunes Coréens, visiteurs à bord du HM
|
Un Franco-Américain supérieur
général des Rédemptoristes
MONTREAL — Le Révé- |
plus grand nombre d'alcooliques
TORONTO -- L’‘“Alcohol-
ism Research Foundation of
Ontario” publie les conclu-
sions d’une enquête sur la
consommation d'alcool au Ca-
nada. Voici les faits qui res-
sortent de ce rapport:
Soixante-dix pour cent des
Canadiens adultes consom-
ment liqueurs, bière ou vin. La
population boit maintenant plus
de bière que de boissons for-
tes. C'est en Colombie Britan-
nique que le taux d’alcoolisme
est le plus élevé, mais c'est en
Ontario que la consommation
d'alcool absolu est la plus forte
par tête d'habitant.
C'est Québec qui boîit is
de bière. La consommation)
boissons: fortes ) le-
ment à ia population, est la plus
élevée en Nouvelle-Ecosse: Le
Canada est le sixième pays du
monde pour le taux de l’alcoolis-
me.
La proportion de buveurs est
plus élevée au Canada qu'aux
Etats-Unis. La consommation
moyenne d'alcool absolu a été
‘en 1952 de 1.48 gallon par habi-
| tant.
Origine de l'enquête
L'enquête porte sur des statis-
tiques de 1871 à 1952. Elle com-
pare la situation du Canada à
celle des pays étrangers, pour
la consommation d'alcool. “L'Al-
coholism Research Foundation”
fut établie, en 1949, dans un but
d'étude et de traitement des al-
cooliques, Financée par la pro-
vince d'Ontario, elle est auto-
nome. Son conseil d'’administra-
tion se compose de dix représen-
tants de divers corps publics.
La hausse depuis 1921
Le rapport établit la consom-
mation en ‘alcool absolu’, c’est-
| à-dire selon la teneur en alcool!
de la bière, du vin, des boissons
fortes: La consommation a aug-
menté depuis 1921, alors qu'elle
était de 0.54 gallon d'alcool ab-
solu par habitant. Le taux d'al-
cooliques était alors de 732 par
100,000 habitants; il y avait 460
condamnations pour ivresse per
100,000 habitants.
Pendant la période de 1946 à
1950 la consommetion est mon-
tée à 1.37 gallon par habitant, la
proportion d’'alcooliques à 1,810
(Suite à la neuvième page)
Un évêque allemand réclame
des écoles confessionnelles
OSNABRUCK, Allemagne
— Les “écoles chrétiennes
unifiées” ne conviennent pas
à l'instruction des jeunes ca-
tholiques et entraînent même
fdés dangers, déclare S. Exec.
Mgr Wilhèém Berning, évé-
que d'Osñabruck, dans une
lettre pastorale.
Exhortant les catholiques à
résister aux tentatives que dé-
ploie le gouvernement de la Sa-
xe inférieure afin de fonder le
régime d'instruction publique
sur les “écoles unifiées”, la let-
tre déclare:
“Les catholiques exigent des
écoles confessionnelles pour leurs
enfants. Dans ce projet d'écoles
unifiées, le christianisme ne se-
rait qu’un faible souffle ou une
mince couche recouvrant tous
les sujets non religieux ensei-
| des papes, tous les aspects de l’é-
ducation des enfants doivent
être pénétrés de l'esprit chré-
tien.”
Les écoles unifiées
Sous le régime des écoles uni-
fiées qu'on projette d'établir, les
enfants de toutes les confessions
| fréquenteraient Ja même école
rendissime Père Guillaume
ristes, a-t-on appris du mo-
nastère des Pères Rédempto-
ristes de St-Alphonse d'You-
ville.
Le R. P. Gaudreau est un Fran-
co-Américain originaire de Bain-
tree, Mass., dans le diocèse de
Boston et est âgé de 55 ans.
. Le nouveau supérieur général
était depuis 9 ans supérieur vi-
ce-provincial d'une vice-æprovin-
ce redemptoriste qui comprend
comme territoire une partie du
Brésil et du Paraguay.
Le R. P. Gaudreau succède, à
titre de supérieur général de la
Congrégation du T, S. Rédemp-
teur, au R. P, Léonard Buys, dé-
|! cédé l'an dernier. C'est le pre-
mier supérieur général des Ré-
demptoristes qui ne soit pas ori-
ginaire d'Europe. \
La Congrégation du T. S. Ré-
dempteur, fondée en 1732 par
saint Alphonse de Liguori, est ré-
| pandue sur Les cinq continents,
dans 50 pays et compte 8000
membres. |
Les Reédemptoristes |
dans le monde
Le but premier de la Congré-|
gation est constitué par les mis-1
Gaudreau vient d’être élu su-|
| périeur général de la Congré-
| gation des Pères Rédempto- |
sions. La maison-mère se trouve
à Rome. La Congrégation est di-
visée en 25 provinces et 29 vice-
provinces, et comprenait 520 mai-
sons en 1950.
Au Canada, la maison provin-
ciale pour les maisons de langue
française se trouve à Ste-Anne
de Beaupre, et celle pour les mai-
sons de langue anglaise, à To-
ronto. On trouve une maison vi-
ce-provinciale à Edmonton.
Le T.R.P. G. Gaudreau
LA LIGNE DE CHANCE
Direction et mise en scène de Pauline Boutal
| gnés. Pourtant, suivant le conseil |
publique et ne seraient séparés
que pendant un nombre d'heu-
res déterminé pour recevoir
l'instruction religieuse confor-
mément à la confession à laquel-
le ils appartiennent,
Mgr Berning a sui que
ement des catholiques
l'attach
aux écoles publiques catholiques d
découle du droit naturel et s’ap-
puie sur le Concordat conclu à
vec l'Allemagne en 1933. Enga-
geant les fidèles à ne pas se
laisser prendre à l'improviste
par les événements, il a ajouté:
“Vos évêques s’attendent à ce
que, en votre qualité de citoyens,
vous exigiez des écoles catholi-
ques et qu’au besoin vous com-
battiez pour elles”.
L'Association des instituteurs
catholiques d'Osnabruck a dé-
noncé le projet de loi en cause,
qui ne tient aucun compte des
droits des parents,
MELBOURNE — Le KR. P,
|P. Peyton, C.S.C. vient de
terminer une croisade de trois
mois en Australie, où il a or-
ganisé une campagne en fa-
veur de la prière en famille,
C'est en ce pays qu’il a adres-
|sé la parole devant le plus
grand ralliement du chapelet:
dans les Jardins botaniques de
Melbourne, il a prononcé une ho-
mélie devant près de 250,000
personnes. Aprés la réunion, S,.
Exc. Mgr Mannix, archevêque
de Melbourne, qui aura 90 ans
le mois prochain, a loué le R. P.
Peyton comme le plus grand
croisé qui soit jamais allé en
| Australie et comme un Napoléon
| de la stratégie,
| Quelque temps auparavant, le
|
| ralliement à Sydney, où la foule
| atteignait 110,000 personnes,
26 diocèses
Le religieux a visité 26 diocè-
ses en tout, au cours de sa ran-
donnée sur le continent, En cha-
que cas, l'évêque du lieu et les
| Aide aux fils d'ouvriers
qui veulent se destiner
au sacerdoce
UTRECHT Les dernières
statistiques publiées par M. l’ab-
bé Dellepoort, professeur au sé-
minaire “Ypelaar” dans le dio-
cèse hollandais de Breda, révè-
lent + ur le nombre de vocations
sacerdotales augmente continuel-
lement dans les milieux ouvriers
néerlandais.
Le K.A.B. (Mouvement ouvrier
catholique hollandais) a créé un
fonds pour les étudiants-prêtres,
| fils d'ouvriers
ganisation a pu aider dans les
études 894 fils de membres du
K.A.B. En 1952, ce nombre aug-
| menta à 1,003 et en 1953 à 1,200,
d'Albert
Husson
| déjà la demande d'une charte ci- |
|
1
R. P. Peyton avait organisé un |
En 1951, cette or- |
a —— —
permettre l'établisse-
d'une université sherbroo-
vile pour
ment
koise,
Toutes les facultés
D'après le bill dont l'hon. J.-
S, Bourque, député de Sher-|
brooke et ministre des terres et |
forêts, s'est fait le parrain, l’uni- |
| versité, dit-il, aura le droit d’éta- |
blir toutes les facultés désirées. Il |
est bien évident, ajouta-t-il, que
l'établissement de ces facultés |
s'effectuera à tour de rôle à me-
sure que la direction de l'univer-
sité sera à même de les instituer.
Il semble que le séminaire St-|
Charles établira d'abord la facul-
té des arts et on croit que la deu-
2 RH ts sais
_Les troupes canadiennes sta,
tionnées en Corée et au Japon ont
maintenant leur propre program-
me’ de radio, Le brigadier Allard
présida l'ouverture du poste “Ra-
dio Maple Leaf”, au centre ré-
créatif canadien en Corée, Il an-
nonça que le poste diffuserait des
programmes canadiens et em-
pres des annonceurs cana-
liens,
principaux dirigeants civils
étaient présents, Au ralliement
de Melbourne, un chapelet en-
tier fut réc'té de la plate-forme
par des représentants catholiques
des diverses professions,
Une des particularités les plus
encourageantes de la randonnée
du R. P. Peyton consiste en l'in-
sertion du chapelet dans plu-
sieurs émissions radiophoniques.
On a évité avec soin les metho-
des employées par les protes-
tants à tous crins et par les parti-
sans des ‘‘revivals”, Mais 7,500
hommes, groupés sur le plan pa-
roissial, ont visité les foyers ca-
tholiques pour les inviter à s'en-
gager à réciter chaque jour le
chapelet en famille,
Record dans une paroisse
IL EST PLUS FACILE DE
PAYER SELON NOTRE PLAN
À Chiot
FTED
271, AVENUE PORTAGE
Sherbrooke sera bientôt
dotée d'une université
xième sera celle des sciences ou
du commerce. e
Mgr Cabana a fait observer
que, pour le moment, il n'est pas
question de construire dé nouvel
édifice. On trouvera des locaux
pour aménager ces facultés à me-
sure que leur organisation se réa-
lisera.
Comme ce fut le cas pour d'au-
tres séminaires et universités ca-
nadiennes, “le séminaire St-Char-
les Borromée deviendra le ber-
| ceau de l'Université de Sher-
brooke”, a dit l'archevêque,
R li Li
engieuses en
costume laïc
en Hollande
SITTARD, Pays-Bas — Re-
vêtues d'un costume laïc, trois
religieuses espagnoles sont ar-
rivées à Sittard afin d'établir
la première mission de leur
communauté en dehors de
l'Espagne, Fondée il y a dix
ans, la jeune congrégation
incarne une formule moderne
d'apostolat qui tend à la chris-
tianisation du peuple,
Ces religieuses ne portent pas
de costume spécial ni de voile,
Elles veillent à j'entretien de
leur chevelure. Elles espèrent ac.
complir un apostolat au milieu
de gens qui resteraient figés à la
vue d'un costume religieux,
Le R.P, Domenzain, S.J.
fondateur
Cette congrégation, celle des
Missionnaires du Christ-Jésus, a
été fondée par le R. P. Moises
Domenzain, S.J.,, en 1944, Sa
constitution est modelée sur cel-
le des Jésuites. La maisonmère
se trouve au château Javier, en
Espagne. L'édifice remonte au
13e siècle, et c'est là d'ailleurs que
saint François Xavier est né et
fut élevé.
Dans leurs études, les religieu.
ses accordent une attention spé-
ciale à la missiologie, à la méde-
cine et à la musique. Leur but
principal est d'agir en qualité
de catéchistes,
Les religieuses veulent se fa-
miliariser avec le néerlandais a-
vant de se rendre en Indonésie,
Elles ont été invitées à exercer
leur apostolat sur l'ile de Flores
per S. Exc. Mgr William van
eckkum, vicaire apostolique de
Ruteng.
Aù cours de leur séjour en
Hollande, les Missionnaires du
Christ-Jésus enseigneront égale-
ment l'espagnol,
Mlle Agnes Macphail,
première femme élue
député, est décédée
TORONTO Mlle Agnes
Campbell Macphail, 63 ans, pre-
mière ‘femme élue député au
Parlement canadien et la seule
à y siéger durant plusieurs an-
nées, est décédée samedi dans
un hôpital de Toronto,
50,000 personnes à la conclusion de
Ta campagne du Rosaire en Australie
dans un diocèse, celui de Mait-
land, Nouvelle-Galles du Sud,
la réponse s'établissait à 75 p,
100. Dans une paroisse de Mel-
bourne, 96 p. 100 de la popula-
tion a fait la promesse deman-
dée.
On a annoncé que 15 films en
couleur de haute tenue et de 30
minutes, sur les mystères du Ro-
saire, sont prévus pour 1954 à
Hollywood; plusieurs vedettes
de l'écran américain ont offert
gratuitement leurs services afin
d'intensifier le mouvement que
le R. P, Peyton a lancé en faveur
de la prière en famille, Des écri-
vains' et des dirigeants catholi-
ques en vue, de toutes les ré-
gions du monde, ont été invités
à offrir leurs suggestions afin de
On n’a pas encore reçu toutes | rendre les pellicules intéressan-
les cartes d'engagement. Mais, |tes.
#
Le premier ministre Louis St-Laurent, à gauche, est accueilli
aux quartiers généraux de l'OTAN à Paris par lé secrétaire géné.
ral de l’organisation, Lord Ismay.
M. St-Laurent a été l'un des prin.
cipaux champions de l'organisätion des Nations uniss, (CPC)
Billets en vente à 138, ave Provencher, St-Boniface,
jusqu'à midi demain, 20
au Playhouse même,
février. Téléphone:20-2761,
Les billets seront en vente à compter de 7 h. demain soir,
— Prix: 51.00, 75c, 50c.
Les billets réserves par téléphone doivent être réclamés
avant 8 h. le soir de la représentation.
PAGE DEUX
#35ème anniversaire
de la Cie Fahrney
| préparé par la maison E. J. Dec-
| er, fabricant de livres, pour con-
itenir les lettres d'estime reçues
| par la maison Fahrney, sans ja-
Cette semaine, un des pionniers
dans le domaine de médicaments
domestiques, la maison Dr. Peter
Fabrney & Bons Co, les manu-
anniver-| ment fort intéressant étalé dans
quatre-vingt-cinquiéme
| la salle de réception de l'usine
saire comme société anonyme,
Pendant une visite aux bâti.! principale, La société reçoit tou-
ments qui logent les grands la- | jours de la correspondance des
boratoires et facilités de fabrica- | quatre coins du monde, dont les
tion modernes, on ne peut guère! écrivains louent les différents
produits de la compagnie, ou bien
manifestent leurs expériences sa-
tisfaisantes
imaginer le début moderne de
cette société il y a plus de quatre-
vingts années. M. Curtis O. Kraus- |
ser, directeur exécutif, qui prête |
ses services à la compagnie de-
puis plus de 36 années, est de l'o-
pinion que le secret de son suc-
cès est basé sur la satisfaction
universelle et continuée de ses!
produits de la part de r |
dans toutes les parties des Etats-}
Unis et dans bien des pays étran- | samment.
gers également. Au commence-|
ment du siècle courant, un livre,| ané, ils ont
considéré dans ce temps-là com-| decines au Canada pour
me le plus grand du monde, fut | clients canadiens
|Fahrney envisage
leurs
...
Le ‘’Men's Musical Club'’ présente . .,
LE CHOEUR PHILHARMONIQUE DE WINNIPEG
avec
ORCHESTRE
Directeur: Donald LEGGAT
A
L'AUDITORIUM DE WIiNNIPEG
LE 4 MARS A 8 H. 30 P.M.
Le programme comprend:
*Pastoral”
de Sir Arthur BLISS,
maitre de concerts pour la Reine
ET
“Hymne à Ste Cécile’
de Benjomin BRITTEN
Soprano: LOUISE ROY
Billets en vente ou ‘’Celsbrity Box Office’’
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facturiers de Novoro du Dr Pier-|jongtemps ce livre est rempli, et!
re, annonça la célébration de son | maintenant il constitue un docu- |
Pour les 42 ans passées des 85|
roduit leurs mé-!
LA LIBERTE ET
© A la bibliothèque de St-Boniface |
{Arenue Prorencher)
La section frarsaise de la Bi-
bliothèque Publique de St-Boni-
face est heureuse d'offrir à ses
lecteurs, quelques-uns des meil-
leurs ouvrages qu'eïie vient d'a-
jouter à sa collection:
La vie vée de Marie Stuart
par J BOUISSOUNOUSE
Ce livre constitue une excel-
{lente biographie: c'est plus qu'u-
ne étude historique, c'est toute
une époque passionnante et trou-
blée que les deux cent cinquante
| pages du livre font revivre d'une
manière saisissante. L'auteur s'est
| attaché à nous présenter Marie
| Stuart comme on présente un
héros de roman, soulignant son
M. Krausser manifesta égale-| caractère à la fois léger et pas-
| ment que pour l'avenir la maison
sionné, L'ouvrage précis est la
l'introduction | preuve d'un vigoureux talent
| de nouveaux médicaments pour |
|la pharmacie domestique, pour |
lesquels les recherches scientifi- |
ques sont mises au point inces-|
Les hommes ne veulent pas
mourir
par Pierre-Henri SIMON
Pierre-Henri Simon, qui nous
avait déjà donné le magnifique
roman “Les raisins verts”, pré-
sente dans ce dernier ouvrage,
une espèce de fresque dont il em-
| prunte au plus tragique de l’his-
| toire moderne le décor et les per-
sonnages. En :945, dans la gare
en ruines de Stuttgart, un train
db + Ÿ
vivants d'un village roumain ar-
rachés à la servitude communis-
our y déposer les sur-|
le film “Dieu à besoin des hom-
|mes” et d'autres ouvrages com-
me ‘Tempête
jet “Au bout du monde” où il dé-
crit d'une manière pittoresque la
vie austère de ces habitants des
tes, il nous transporte aujour-
| d'hui à Ouessant, “un déchet de
continent sur lequel grouiïliaient
| les tempêtes”. L'action se passe
| autour de la Noël 1783.
| La tsarine mystérieuse
par Maurice PALEOLOGUE
Maurice Paléologue, qui a.êté
ambassadeur à Moscou pendant
| les dernières années du tsarisme,
| nous raconte, au moyen de docu-
| ments inédits et de souvenirs per-
| sonnels, la vie de l'Impératrice
| Alexandra-Feodorovna, fille du
| GrandsDuc de Hesse et épouse
| de Nicolas Il: il nous conduit ain-
si jusqu'à
| de l'avènement du bolchévisme,
| Un coin de ciel bleu
par Jean MIROIR
Joli récit, mené d'une main sû-
re, et qui conduit par d'âpres che-
mins la
un bonheur bien gagné. Il en-
chantera certainement le public
| féminin, mais il reste vrai et
vraisemblable; il ne nous trom
| pas sur les duretés de la vie;-il
|nous touche en nous offrant un
sur Douarnenez”!
sa fin tragique, lors
sympathique Sylvie à
LE PATRIOTE
\
1°
Pa
%
NZ
à
| Exclusit à ‘’Lo Liberté et le Patriote”
per Jecques LEMOYNE
| Les Canadiens de Montréal
songent sérieusement à rappeler
| Gayve Stewart, une ancienne ve-
lâamte des Maple Leafs de Toron-
[to et des Eperviers de Chicago,
afin de lui confier la tâche de
soutenir l'aile gauche défaillante
des Habitants. joueur des Ca-
nadiens qui serait le plus heu-
reux de ce retour de Stewart se-
rait säns aucun doute Jean Béli-
veau, le rapide centre du club
Canadien, Béliveau et Stewart
ont brillé tous les deux la saison
dernière, alors qu'ils portaient
| l'uniforme des As de Québec.
| Stewart a connu alors une si bel-
le saison que la direction des Ca-
nadiens a songé sérieusement à
le garder sur l'alignement du Tri-
colore, Mais on nr brise pas fa-
cilement l'alignement d'une équi-
pe qui a remporté la coupe Stan-
| ey, et Stewart prit le chemin de
| Buffalo. S'il n'y avait pas connu
tant de succès, il est probable
qu'il aurait été rappelé bien àa-
te. Comment se bâtira, dans la! plaisir de qualité, tandis qu'un|vant par la direction des Cana-
douleur, le sacrifice et la joie,
une nouvelle cité après la lente
let pénible installation de ces dé-
| portés dans de lamentables bara-
ques, c'est-là la trame de ce récit
dramatique.
Naufragé volontaire
par Alain BOMBARD
Ce livre raconte l'exploit d'un
jeune médecin “+ 28 ans qui a
passé cent treize jours en mer
afin d'étudier les conditions où
risquent de se trouver des nau-
fragés.
Le docteur Bombard sait nous
intéresses à ses dangers et donne |
à tous une magnifique leçon de
courage. Cet ouvrage a une va-
leur scientifique et médicale en
plus de sa valeur littéraire,
Un homme &'Ouessant
par Henri QUEFFELEC
L'auteur connaît bien ces gens
des îles, pauvres et simples, mais
il sait comprendre aussi les sen-
| timents de grandeur qui les ani-
| ment,
Après nous avoir donné
des romans tels que “Le recteur
de l'ile de Sein”, dont on a tire
de gâchis - -- pa
pas besoin d'oucrir
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= d’odeurs de
les fenêtres - °°
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tes-le dès maîntenant — aujourd'hui,
cette fin de semaine-ci,
quand cela vous conviendra, quelle que
soit la température. Jamais n'aurez-vous
employé une peinture avssi facile à ap-
pliquer. Finissez une piéce ce soir, et
par le temps que vous aurez lavé vos
instruments de peinture à l'eau et au sa-
von, votre travail sera sec. Vous pourrez
replacer les cadres, les draperies et les
meubles avant
C'est aussi simple que <elal
bref,
d'aller vous coucher,
Voyez votre marchand local de peinture STEPHENS' aujourd'hui
| discret parfum chrétien l'embau-
me,
|
Le haut du pavé
par Michel ROBIDA
Roman d'une
| aux prises avec
| nouvelles de la vie, où les quar-
tiers de noblesse et les gloires
| ancestrales ne
| Pour conserver un château his-
| torique et un hôtel sur l’esp'ana-
de des Invalides, il faut aujour-
| d'hui d'énormes ressources plu-
| tôt qu'un beau nom. Michel Ro- |
| bida nous raconte cette histoire |
sans nulle trace de méchanceté,
mais avec une malice taquine,
mêlée de tendresse; l'auteur con-
naît le passé et le respecte, son
| érudition n'accable pas,
présente avec une vivacité char-
mante,
=> S, Exc. Mgr Duprat,
| O.P., est décédé ...
|
(Suite de la première page)
de son évêché le 25 août 1952 et
| s'était retiré au couvent des Do-
minicains de Notre-Dame de Grà-
ce, à Montréal.
S. Exc. Mgr Duprat a joué un
rôle considerable dans l'Ouest
canadien et il était une des gloi-
res de son Ordre. Il avait donné
sa démission le 25 août 1952, a-
près un épiscopat particulière-
| ment fructueux,
L'inhumation se fit chez les
Dominicains de St-Hyacinthe,
dans le cimetière aménagé sur
les terrains du noviciat, pour
tous les membres défunts de
la province canadienne de l'Or-
dre. Une simple croix de bois
dre. Une simple croix de bois,
avec un nom et une date, may-
que l'endroit où repose le dé-
funt, quel que soit $on rang,
"La politique n'est pas
| une sale besogne”
NEW-YORK — “La politique
n'est sale que lorsque nous lais-
sons les événements suivre leur
cours”, a déclaré à New-York
l'ex-ministre des Postes des Etats-
Unis, M. James A. Farley,
M. Farley a exhorté la jeunesse
catholique à participer active-
ment à la vie politique, qui est,
à son avis, la profession la plus
dangereuse et la plus noble, “On
ne peut se dégager de ses res-
ponsabilités à set égard, dit-il, en
rejetant simplement la politique
| comme une sale besogne”.
grande famille |
les conditions
comptent guère. |
elle se|
| diens. Mais le hasard a voulu que
| Stewart brille à un tel point à
| Buffalo qu'on hésite maintenant
| à le faire revenir à Montréal,
de peur d'indisposer les amateurs
de hockey de Buffalo,
Nous avons connu Gaye Ste-
| wart assez intimement durant la
| guerre. Gaye était officier dans
{la marine, alors que nous occu-
pions un poste beaucoup moins
important. Cependant, nous a-
vons eu le plaisir de jouer avec
lui dans une ligue organisée pour
occuper’ les loisirs des marins.
Stewart a probablement joué les
plus longues joutes de sa carriè-
re à cette époque, car il devait
demeurer sur la glace durant 60
minutes. Il s’acquittait bien de
sa tâche et était grandement se-
condé par un autre excellent
|joueur, Mel ‘“Pee Wee” Reed,
qui a porté les couleurs des
Rangers pendant un certain
temps. Nous ignorons comment
la saison s'est terminée, puisque
nous sommes reparti en mer, en
décembre de cette année, mais
Stewart nous avait laissé alors
l'impression d'un athlète très po-
li, sérieux, doué d'un physique
impressionnant et capable de bril-
ler à toutes les positions,
Il va mieux
Si la situation ne s'améliore pas
à Montréal, ii est probable que
la direction des Habitants n’hési-
tera pas à oublier temporaire-
ment les susceptibilités des ama-
teurs de Buffalo et Stewart re-
tournera à la ligue Nationale, où
nous croyons qu'il va connaître
des succès. Si on réunit Béliveau
et Stewart, et si on laisse Mau-
rice Richard jouer à l'aile droite
avec ces deux bons compteurs,
les Canadiens pourraient bien
reprendre le terrain perdu et me-
nacer les Red Wings de Detroit.
Béliveau n'a pas trop épaté les
connaisseurs, au début de l'hiver.
Il avait brillé d'un très vif éclat
lors de la soirée des Etoiles, mais
il fut lent à démarrer et deux
blessures assez sérieuses le forcè-
rent à prendre un long repos,
Depuis qu'il est revenu au jeu
cependant, le Gros Bill n’est plus
le même qu'à ses débuts sous la
grande tente. Il est redevenu le
Béliveau des saisons dernières,
Samedi soir dernier, à Toronto,
nous avons admiré le travail de
Jean qui, à lui seul, a abattu le
plus de besogne,
Les Canadiens ne paraissaient
pas très anxieux de gagner la
Joute de samedi soir dernier, et
leur jeu à la deuxième période a
été spécialement décevant. Ce-
A la Librairie Catholique
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Je choisis mes auteurs
| C'est un ouvrage de bibliothè-
| que, un manuel, un guide, un ré-
pertoire, où sont présentés la plu-
part des romanciers contempo-
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morale autant que littéraire. Mgr
Calvet et le R. P. de Parvillez,
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personne consciente de ses res-
ponsabilités se fera un devoir de
consulter, avant de mettre un ro-
man risqué entre les mains des
jeunes.
Je choisis mes auteurs: $3,75
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|que, St-Boniface,
SIGNAL D'ALARME
Un mécanicien de chemin de
fer avait expliqué à sa petite fil-
|le qu'un drapeau rouge déployé
| était un signal d'alarme.
— Alors, papa, demanda l'en.
fant, si vous voyez ce signal, ar-
rêtez-vous la locomotive?
— Certainement, sans cela il
arriverait un malheur.
| Pendant la journée qui suivit,
la petite fille vit pleurer sa mère,
chose qui depuis quelque temps
| n'était pas rare.
— Ah! répondit la mère, ton
père s'est mis à boire; sûrement
qu'il perdra sa place,
Le lendemain, quand le mé-
canicien ouvrit l'armoire pour
y prendre sa bouteille d'eau-d2-
vie, il y trouva un petit drapeau
rouge attaché au goulot.
C'était le signa! d'alarme! Il
comprit la pensée äe sa fille, I
remit la bouteille à sa place et
ne l’a plus reprise depuis.
* Avec les compliments de
VOLCANO
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Wilfrid Girouard,
vice-président et gérant général
Manutocturiers d'appareils de
chauffage automatique
743, rue de la Montagne
Montréal, P.Q.
| pendant, à la troisième, alors que
les Leafs menaient 2 à 0, Béli-
| veau fut lancé dans la mêlée par
Dick Irvine et en moins de temps
u'il ne faut pour l'écrire, les
| Canadiens changèrent d'allure.
Bill a dû être sur la glace pen-
dant au moins 12 minutes, au
cours de cette période, ét il était
partout à la fois. 11 a même raté
une belle chance de compter deux
fois mais a marqué un but de
toute beauté, y 4 ensuite en-
voyer Elmer ch en position
pour marquer le but égalisateur,
Si Béliveau continue à travailler
avec autant d'acharnement, et
si Gaye Stewart et lui donnent
le même rendement que l'an der-
nier, les adversaires des Habitants
n'ont qu'à se bien tenir.
Bonne nomination
Les enthousiastes de la boxe,
et ils sont nombreux à Winnipeg
si on se base sur la foule qui a
assisté à l& rencontre Mitcheli-
Spark la semaine dernière, ont
appris avec plaisir la nomination
de Gordie Mackie au poste d'ins-
tructeur de l'équipe canadienne
de boxe. Mackie connaît très bien
le pugilat et il a fait ses preuves
comme entraîneur. Gordie a déjà
eu de grandes ambitions dans le
domaine de la boxe et nous nous
souvenons de l'avoir rencontré à
Montréal, en 1946, après son li-
cenciement de la Marine cana-
dienne, Mackay étudiait alors à
l'Université McGill et il avait dé-
cidé de se lancer dans la boxe
professionnelle, Il connut même
des succès et nous nous souve-
nons très bien du soir où il triom-
phait d'Al Rodrigue, un noir pos-
sédant beaucoup d'expérience.
Mais Gordie devait quitter la
boxe professionnelle et retour-
ner à Winnipeg où il ouvrit un
gymnase qui devint très populai-
re. On sait que l'an dernier il
était l'entraineur d'une équipe
de football à une grande univer-
sité américaine.
Nous n'avons pas vu Mackay
depuis de nombreuses années, et
nous nous demandons souvent
s'il a aussi abandonné son espoir
de voir son nom sur le Broadway,
car Gordie était musicien à ses
heures et il espérait un jour pra-
tiquer cet art sur la grande rue
de New-York. 11 semble que Mac-
kay ait décidé d'entendre une
autre musique, et il a bien fait
car c'était un athlète naturel qui
savait se garder en excellente
condition physique, Mackay ai-
dera certainement l'équipe cana-
dienne. Il connaît très bien le
sport de la boxe, est intelligent
et sait donner de judicieux con-
seils. Comme il se garde conti-
nuellement en bonne condition
lui-même, il sera très à son aise
pour exiger de ses boxeurs qu'il
fassent de même, Qui sait si avec
le talent qu’on lui enverra, Gor-
die ne parviendra pas à rempor-
ter plusieurs championnats pour
le Canada, Nous souhaitons bon-
ne chance à cet ancien camara-
de d'armes.
Impossible?
Est-il possible de parcourir un
mille en quatre minutes, à la
course? Les ‘“athlètes” (et ici
nous employons le terme dans
ce qu’il a de plus large) à :a re-
traite, comme votre humble ser-
viteur, qui s'essoufflent en ten-
tant d'attraper l'’autobus chaque
matin, affirmeront que la chose
est humainement impossible, mais
il semble bien qu'il est difficile
de convaincre tous les jeunes gens
qui se lancent dans le sport de
la course, John Landy est de ces
jeunes téméraires qui, après a-
voir failli établir ce record, a dû
se contenter d'une longue série
de “si”, 11 semble de plus en
plus impossible qu'on arrive un
jour à courir ce mille en quatre
minutes, à moins bien entendu
qu'on change la vitesse des imon-
tres actuellement en usage, ou
qu'on ne se serve plus des mé-
mes mesures, Pour parcourir le
mille en ce temps record, il faut
absolument que le coureur fasse
aller ses jambes à une vitesse
moyenne d'au moins quinze mil-
les à l'heure! Ceci veut donc dire
qu'il devra dépasser les quinze
milles, s'il a le malheur de ra-
lentir un tant soit peu au cours
de la course,
I1 y a des records d'excellence
qui nous semblent impossibles à
battre et le mille parfait est dans
cette catégorie. On aura beau
entraîner le corps humain, il n’en
reste pas moins vrai que notre
organisme n’est pas une machine
et que notre corps a des limita-
tions qui le rendent très humain
et qui, heureusement, le distin-
guent d'un simple véhicule mo-
teur. On peut perfectionner une
machine à travers les âges; on
peut améliorer le corps humain
à travers les âges, mais il arri-
vera toujours un temps où toute
amélioration du corps humain
aura atteint son maximum, et
qu'il sera impossible de dépasser
cette norme, On brise de nou-
veaux records lors de chaque ren-
contre olympique, mais le mille
en quatre minutes n'est pas dans
cette catégorie et, là où Jesse
Owen, Glenn Cunningham, Paavo
Nurmi et tant d’autres ont failli,
il y a peu d'espoir pour les au-
|tres êtres humains.
Winnipeg, le 19 février 1954
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foute errewpondance concernant la rédaction du journal doit nous parvenir ou plus tard
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| Rédacteur, Le Liberté et le Patriote, 619, avenue McDermot, Winnipeg, Man.
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La personne du Souverain Pontife
L'angoisse causée dans l'immense famille
catholique par la récente maladie de S. S
Pie XII et le ralliement des coeurs et des es-
prits autour de sa personne, manifestent une
fois de plus l'affection respectueuse et la
confiance inébraniable des membres de la
itable Eg) ise vivante pour leur chef spi-
rituel et temporel. Pendant les quelques se-
de sa maladie passagère et de sa con-
le monde chrétien sera privé de
la voix puissante et réconfortante du Pere
des chrétiens, qui reste toujours le premier
sur la brèche pour défendre la purete des
vérités religieuses et des directives de l'ac-
tion humaine, comme
ver
maine
aliescence
pour affirmer
es droits et les prérogatives de l'Eglise dans
le monde internatioral.
Grande figure dans la vie contemporaine
S. S. Pie XII a su gagner, en plus de l'amour
liul des catholiques pour sa personne, l'es-
time et mème l'admiration de tous ceux qui
prétent l'oreille à sa voix. Il n'est pas une
seule question pratique intéressant le monde
d'aujourd'hui qui n'ait arrêté l'attention du
Souverain Pontife, et qui ne nous ait valu des
paroles et des exhortations de vraie sagesse.
Si les questions de foi gardent sa constante
application, les problèmes courants de la vie
des individus et des nations sont également
de sa compétente juridiction, puisque tout
acte humain est capable d'un jugement théo-
logique sous le double aspect de la foi et de
la charité surnaturelle.
Il suffit de lire avec attention les Acta du
Saint-Siège pour se rendre compte des inté-
réts multiples du Souverain Pontife, de son
activité remarquable, de sa paternelle solli-
citude et de sa profonde sagesse. Parlant a
tous les groupes qui viennent le voir, quelle |
que soit leur spécialité ou leur profession, |
recevant tout le temps des visiteurs en au-
dience privée ou générale, s’occupant lui-
même des affaires de l'Etat du Vatican et
des affaires extérieures, S. S. Pie XII est
certainement une des personnalités les plus
remarquables et les plus suivies de notre
époque, Il n'est pas impossible que tout le
travail qu'il fait pour l'Eglise universelle et
pour le genre humain tout entier, n'ait fini
par l'affaiblir, en exigeant de lui un repos
annonciateur de sa guérison prochaine com-
plète
La détresse actuelle du monde a un ca-
ractère encore plus grave: il s'agit de diriger
la conscience des individus et des peuples
en face du plus terrible assaut que l'Eglise
ait jamais connu, d'un assaut ouvert et per-
sistant contre la dignité humaine et chre-
tienne, contre la famille et la societé, toutes
menacées de catastrophes déchirantes, com- |
me cela se voit dans tous les pays satellites |
de Moscou et dans la Russie même. La persé-
cution religieuse atteint les plus hauts digni-
taires ecclésiastiques comme les plus hum- |
bles chrétiens: le cardinal Mindszenty a con-
nu la torture des prisons rouges, et les deux |
nouveaux princes de l'Eglise, le cardinal |
Stepinac, de Zagreb, et le cardinal Wyszyns- |
ki, de Varsovie, n'ont même pas pu aller à
Rome assister à leur élévation au Sacré Col-
Les protestations constantes des évé- |
ques des pays satellites dénoncent devant la
conscience mondiale les sévices contre des
pretres et des religieuses, contre des confes-
seurs de la foi, contre les institutions chre-
tiennes, malgré la liberté purement verbale
que de prétendues constitutions accordent à
la conscience religieuse. Avec quelle douleur
le Saint-Père ne doit-il pas relever les mal- |
heurs des temps épouvantables que la chre-
tiente traverse en ce moment.
Et ce n'est pas seulement dans les pays
places sous la férule du communisme qu'il
auss!l
lege.
d'une autre maniere les nations qui respec-
tent le christianisme. Dans son discours de |
Noël 1952 prononcé dans la salle consisto-
riale, le pape a dénoncé en termes vigoureux
“la societé mécanisée’” du monde moderne
le socialisme d'Etat qui abolit le sens du bien
commun, la dépersonnalisation malsaine des
formes fondamentales de l’ordre social, et la
vanité de f
f
… en matériel: c'est la charité, l'entraide,
raitement humain des personnes, l'assistan- |
ce aux pauvres, enfin un sens actif de la
justice sociale qui peuvent éliminer la de-
tresse humaine.
En somme, les directives pontificales pour
assurer la vraie paix forment tout un pro-
gramme pratique qui s'adresse à tous les
hommes de bonne volonté a travers la terre
entiere. Encycliques, allocutions, messages,
lettres et déclarations, tous ces actes du
Saint-Siège révèlent la sagesse profonde et
le coeur compatissant du Souverain Pontife.
C'est pourquoi 46 nations maintiennent des
relations diplomatiques normales avec le
Vatican.
Il est vrai que le Droit des Gens n'oblige
pas un état quelconque à reconnaître tel ou
tel état souverain, même si celui-ci l'est déja
par la majorite des nations. Ce geste est une
question d'intérêt, de fierté, de bienséance,
de confiance en soi, de simple bon sens sur-
tout. Certains gouvernements exigent que
l'état qui veut être reconnu remplisse au
préalable certaines conditions d'ordre poli-
tique ou juridique. Sans avoir à discuter les
raisons pour lesquelles tel ou tel état souve-
rain n’est pas encore reconnu par tel autre,
disons que dans la guerre idéologique que
le monde occidental mène contre le com-
munisme, les Etats-Unis et
partagent avec la Russie soviétique le triste
honneur de ne pas avoir de relations diplo-
matiques avec le Saint-Siège. Les gouverne-
ments de Washington et d'Ottawa persistent
a penser que la reconnaissance de la souve-
raineté pontificale dépend du nombre de ca-
tholiques dans leur pays, au lieu d'expliquer
à leur opinion publique que la principauté
du Pontife romain est la plus vieille de la
terre, au'’elle existait bien avant n'importe
quelle dynastie du monde encore régnante,
et qu'elle s'affirmait dans sa splendeur au-
trefois comme aujourd’hui bien avant la
constitution américaine ou canadienne, et
qu'il serait digne et juste de le reconnaitre.
A cet effet, une lecon utile nous est don-
née par l'organe hebdomadaire de l'Eglise
luthérienne suédoise qui vient de poser la
question de la représentation diplomatique |
du gouvernement suédois auprès du Vatican.
Dans un éditorial de Var Kirku, on nous dit |
ormules rigides pour atteindre le
| cier
le Canada!
| Brest.
LA LIBERTE ET LE PATRIOTE
Prosternéz
une
Pie XII qui souffrit d'une attaque de gastriv:
l'arrière plan apparait le palais apostolique,
rain Pontife. - (CW)
sur les marches de
vieille dame italienne prie pour la guérison de Sa Saintete
de 25 4
la basilique St-Pierre de Rome,
tout récemment. A
Billet du vendredi
Des leçons de style
dues à Claude Farrère
Spécial
l'air, sans
douter, Claude
une excellente
de stylistique
ses Souvenirs. (1)
raconte-t-il, élève sur
Borda, où il
le métier d'offi
il entreprit un
ir le papier la
Sans en avoir peut-
être s'en
donne
style
2 de
homme,
navire-ecoie
dait apprendre
de marine,
jour de décrire
splendeur des levers de soleil,
les horizons de rade de
y employa les épithè-
les plus colorées de sa té-
et du dictionnaire, manqua
son Coup, trouva navré, “Je
compris tout à coup, écrit-il, que
les adjectifs sont des mots dont
la seule utilité est de rendre moins
mauvais un substantif déja mé-
diocre — impropre — et que l'art
leçon de
et à
sur la
Il
tes
te
s'en
d'écrire consiste à choisir le subs-
| tantif propre et à n'y ajouter au-
cune épithète, Le verbe et le
nom, rien de plus. Toute l'écritu-
re se résume à cela”, Il continue
dans la même veine: ‘“Relisant
mon Corneille, qui fut de tout
| temps ma littérature de choix, je
découvris qu'Auguste, parlant à
Cinna, n'use pour ainsi dire ja-
que le Saint-Siège a maintenant des nonces |
et des délégués dans presque tous les pays
du monde et que 41 Etats ont des represen- |
tants diplomatiques auprès du Saint-Siège.
Parmi ceux-ci, quatre sont notoirement pro-
testants (Grande-Bretagne, Hollande, Fin-
lande, Libéria) et six ont des populations en |
tres grande majorite non-chrétienne. Et l’au-
teur de l’article se demande si le Vatican
n'est pas plus important pour la Suède que
les pays de l'Amérique latine auprès des-
quels est représenté le royaume suédois. Sans
aucun doute, l'opinion protestante suédoise
ne veut plus fermer les yeux sur les réalités
de notre époque, où nous vivons un conflit
total dans lequel le Père des chrétiens donne
des directives courageuses à tous les hommes
de bonne volonté.
Espérons donc que le Canada aussi se dé-
| adject
1
|
|
Î
près de celui dont la mission divine et hu-|
maine est de travailler ardemment au salut
| eux
mais d’'adjectifs, et encore moins
d'adverbes, Bien entendu, sachant
cela, je ne savais pas écrire pour
i peu. Mais j'étais en route pour
apprendre”. Le jour où les jeu-
nes écrivains canadiens, les ro-
manciers surtout, feront ces dé-
couvertes au cours d'une lectu-
re, ils seront, eux aussi, en route
pour apprendre, Le jour où ils
auront le souci de la propriété des
termes, où ils surveilleront leurs
ifs et sentiront naître
l'horreur de l'adverbe mau-
herbe, ils
en
vaise
voie,
k À *
Farrère devint écrivain sans y
beaucoup songer, Au collège, il
cidera à envoyer un représentant officiel au- | *Yait £loire maritime plutot que
camarade disant
pouvait, même marin, de-
un écrivain à succès, à l'ex-
emple de Pierre Loti, il éclata de
rire. Sur le Borda, il s’efforça
surtout d'apprendre les secrets de
littéraire, Un
qu'il
venir
‘’La Liberté et
Farrère |
la page |
Jeune |
le |
enten- |
le Patriote’
tenait bon. Farrère doit beaucoup
à Loti, sous lequel il servit à bord
du Vautour, Non seulement fut-il
encouragé et protégé par lui, mais
profita de l'engouement qu'il
avait créé pour le cosmopolisme
et l'exotisme. Cet homme, qui d'a-
bord se préoccupait peu d'écrire,
donna plus de trente volumes,
dont un sur Loti, où il dit son
amitié et son admiration pour son
maitre, Aujourd'hui octogénaire,
li
il trouve encore le moyen de pu-
seront en bonne,
| l'église
la navigation et de la manoeuvre,
“beaucoup plus fier d'avoir pro-
prement serré un grand hunier ou
1 petit perroquet par forte brise
de... tentatives d'écriture”.
ou cinq ans plus tard, 1!
envoya son premier article au Sa-
lut public de Lyon, qui l’accepta
| Il y traitait du tir d’escadre et
faut défendre la dignité chrétienne et hu- | des âmes et au bonheur des peuples pacifi- |
maine. Le paganisme matérialiste affecte | ques.
$ : BA AGEN 4 EC AR DES, SERRE RER Rs te
Trente-sept petits |lation totale de 47,680. Les pro! Bou PA fête du Pape
’ . . . . | testants etaient au nombre d
seminaristes JAapPOnGIS 3462 De Rome, en novembre 1952,
lrente-sept petits séminaristes SA RNNE EURAN ADP Er $S. E. le cardinal P.-E. Léger a-
s rentrés, septembre 1953 L'année du Vatican dressait un message à ses diocé-
1 Petit Sen + des Les Caro- Pour Sa Sainteté Pie XII, l’an- | sains où il exposait nos obliga-
; l'ex a pt trÉ s ee ” 7. Lu Pere #1} 4 tions envers le pape. Quelle meil-
‘ ; voulait en faire le bilan, en ne, £ ; F
t de la radio japonaise, cons- | brenant que le côté numérique leure lecture à faire pour la fête
r rrain appartenant | des choses le plus spectacu- | du pape, le 7 mars! L'Institut So-
À ia | aire, mais non pas le plus repré- | cial Populaire a pubiié cette let-
Après la guerre, S. Exc. Mgr | sentatif de l'influence profon-l!tre en un feuillet qui se vend
Fe ey, SJ., obtint du gouver-! de de Pie XII on pourrait | 5 sous franco. (Cn peut payer en
t Ù ca que la pro-! chiff ce bilan par 84 discours | timbres, au secrétariat de l'I.S.P.
* fut L à la mission. | ou s, deux encycliques | 25, rue Jarry ouest, Montreal.)
i va tir sérieusement en-|(l'u VIlIle centenaire #
dommagé, a été en partis restau | de 1a de sain vard, Les 25 ans de l'hebdo
rs a la fois de Se ] l’ . ‘ S]
où de ns CE j “rte ae à catholique d'Athènes
Outre ces trente-sept petits sé. | phes, près ds ‘350 000 personnes L'hebdomadaire “Katholiki”, é
stes, 1e Vicariat a aussi un | reçues en audience privée, spé-| dité à Athènes, est le seul heb-
riste en quatrième, a l'ile | ciale ou generale, Le chiffre des | domadaire catholique de toute la
de Gt et uf à San José, | personnes reçues en audience est ce. Il vient de fêter son 25ème
; inférieur à celui de l'a > 1952, iversaire. Son nüméro jubi-
doute à cause de la suspen- |] contient en éditorial un coup |
sion des audiences pendant sept | d'oeil rétrospectif sur ces vingt-
semaines, alors que le pape souf-| cinq ans d'activité journalisti
frait de la grippe. Trente-quatre | au service de l'Eglise en Gr
des allocutions du pape ont ête | dont cet hebdomadaire est !'or-
a prononcéss en italien, 29 en fran-! gane reconnu. Cette activité s'est
Çais, 8 en allemand, 5 en anglais, | traduite par le rôle doctrinal du
4 en 3 en espagnol! et 1 er 1 qui transmet aux lec-
ginaires au vVicariat, et un seul | po Les deux pr s enseignements de la hié-
e er. D'apres les: der-! ac annee ont êté rar D'autre part, “Katholiki
s st tiques reçues (1950), ! sistc 12 janvier, où furent | a toujours été le miroir des réa-
y a vingt-deux prêtres et | créés 24 nouveaux cardinaux lisations des catholiques hellènes,
19,350 catholiques aux îles Ca- l'ouverture de l'Année qui ont mis en pratique ces en-
rolines et Marshall sur une popu- | le 8 décembre. | seignements.
problèmes de balistique élé-
itaire, dans l'intention d'aider
lecteur à comprendre, Certains
ntaires venus à sa connais-
*#e, qui soulignaient l'ignoran-
ce du public et celle des journa-
listes censés l'éclairer, il en tira
pour lui-même cette leçon: ‘’N'é-
re jamais que pour mettré noir
ur blanc l'indispensable,
su et cou-
per tout le superflu, César est
un écrivain! Cicéron est un ba-
vard”, De 1897 à 1900 écrivit
son premier ouvrage, Les Civili-
sès. L'ayant relu et ne manquant
pas d'esprit critique, il le jugea
exécrable, le jeta dans un tiroir
et ne le reprit que plus tard,
mais pour-le publier après les
contes de Fumeée d'opium. Revu |
et corrigé, remanié, le roman des
Civilises finit par lui valoir le
prix rt. Farrère commen-
çait sa double d'officier
comra
Goncour
carriere
da écrivain,
Ê
prédicti
, qui
k +
on de son ami
s'appelait Guirand,
1
|
|
À
:
L
13
à |
dans
blier ses Souvenirs, qu'il se dé-
fend d'appeler mémoires, parce
que, écrit-il, “Je n'ai rien fait qui
mérite qu'on s'en souvienne”. De
son nom Edouard Bargone, il na-
quit en 1872. Dans une entrevue
qu'il accordait à Frédéric Lefè-
vre en 1923, il donna une preuve
de son esprit critique en dési-
gnant comme les meilleurs écri-
vains français d'alors Pierre Loti
et Collette, Ce sont, dit-il, deux
génies littéraires. Et il complétait
sa pensée: “J'appelle génie celui
qui ne se rend même pas compte
de ce qu'il fait”. Il ne pouvait
mieux juger. I] disait aussi à
la même époque: ‘Pourquoi at-
taque-t-on tant Pierre Benoît en
ce moment?
a beaucoup de
d'humour et sa forme n'est pas si
lâchée qu'on le dit, C'est un écri-
Vain de bonne race...” Ses Sou-
venirs sont remplis d'aperçus per-
sonnels, originaux et de bon sens,
L'ILLETTRE
Montréal,
Testament
Le testament de feu Amos
Bowman, industri:l en renom
dans le trafic de la ferraille, à
Pittsburg, comprend un legs à
catholique
rite de Greentree. Le testament
précise que l'argent servira à la
célébration de messes pour le re-
pos de
son épouse.
M. Bowman n'appartenait à
aucune église; sa femme était
membr2 de l'Eglise presbytérien-
ne. Le testament prévoit une
somme pour l'église de Choilley,
Haute Marne, France, précisant
que “tant que
et que l’eau dévalera sur les pen-
tes”, la messe se dira chaque an-
née, ie 11 novembre, pour l'âme
des morts du 316e régiment d'in- |
américaine |
fanterie de l'armée
de la première Grande guerre.
L'Académie de
médecine
et l'alcoolisme
A l'Académie nationale de me-
decine, des médecins éminents,
dont le professeur Pasteur Val-!
lery-Radot, sont elevés contre
la propagande faite sur les boi-
tes d'allumettes, en faveur de la
consommation du vin à l'aide
d'une phrase de Pasteur isolée
de son contexte. Aussi un voeu
a-t-il eté adopté à l'unanimité
lequel l'Académie déclare
notamment:
et les pouvoirs publics prennent
enfin conscience de leurs respon-
sabilités dans le développement !
accélere de l'alcoolisme et arré-
tent sans tarder les mesures né-
cessaires pour mettre fin à une
propagande qui constitue, aux |
cux de tous ceux qui sont con-!
scients du danger, à la fois un
paradoxe et un scandale",
S
résidence du Souve- !
(D) Cercle e “du Livre de France, |
Ste-Margue- |
l'âme du légataire et de | :
croitra le gazon |
“Que le Parlement |
La Chronique
PAGE TROIS
puisse s'abattre sur les hommes:
la famine.
que commencer à s'engager sur
Or, le Canada ne fait
la voie de la générosité, Certes,
| il à fait beaucoup pour l'Angle-
t nationale terre. Il l'a nourrie durant la
FF n:0 in er guerre, et gratuitement par des-
| Correspondant spécial de ‘’La Liberté et le Patriote” sus le marché! Mais > a D
! puissent en penser les Torontois
par André LAFLECHE et l'aile ultra-tory du parti libé-
: Le conférence des Quatre’ traine en longueur et n'aboutit à °°! He ei — agi Sret rm nan
| rien. L'aide canadienne aux pays affamés est insuffisante, | ‘°° COUNTY, ce n'est pas tout
r le monde... Ce n'est même
Conference des Puissances dans un troisième confiit uni-| pas, peu s'en faut, le pays le
La Conférence des Quatre, à versel”. En effet, mieux vaut pa-! plus pauvre. Quant aux autres,
| Berlin, continue à réveler au | labrer, sé lancer des accusations | le Canada a verse la tout petite
| monde sa parfaite inutilite posi-
tive. Elle s'est ouverte le 25
janvier. Et depuis le premier
jour des entretiens, les deux
adversaires (Russie d'une part,
Etats-Unis, France et Angleterre
d'autre part) ont joué une pru-
dente partie d'échecs. Que pou-
vVait-on attendre de plus? Un
| confrère montréalais (Montreal-
Matir, 5 février) fait à ce pro-
pos d'intéressants commentaires:
| "L'expérience nous a appris que,
malheureusement, ces Conferen-
ces des Quatre Grands n'abou-
tissent qu'à peu de chose, C'est
la septième réunion du genre ..,
Voici ce qui s'est produit aux six
précédentes. À Londres, du 11
septembre au 2 octobre 1945:
rien de concret, impossikle de
présenter une declaration unani-
| me sur le travail de la conferen-
ce. À Paris, du 25 avril au 12
juillet 1946: le problème de l'Al-
lemagne et de l'Autriche demeu-
re insoluble, À New-York, du 4
novembre au 12 décembre 1946:
rien n'est fait, mais on témoigne
d'un certain opiimisme. À Mos-
cou, du 10 mars au 24 avril 1947:
pas encore de traite avec l'Au-
triche, ni avec l'Allemagne. A
Londres, du 25 novembre au 15
décembre 1947: échec complet.
À Paris, du 23 mai au 20 juin
1949:
triche,
mais impossibilite d'en
arriver à un accord sur l'Allema-,
gne',
Un pacte de cinquante ans
Malgré l'échec des six confé-
des Affaires étrangères des Qua-
tre ont encore consenti à se reu-
nir à Berlin. La conférence dure
depuis le 25 janvier. Et nous ar-
de février... Cette fois
| de nouveau parlé de la Chine
| communiste, des problèmes asia-
tiques, de l'Allemagne, de la
| Communauté européenne de dé-
fens:, du Pacte de l'Atlantique
| et de plusieurs autres choses. Sur
tous les points le désaccord a
été total, M. Molotov a enfin
fait une offre qui paraissait gé-
néreuse, Il a préconisé un pacte
de sécurité de cinquante ans!
Rien que ça! Comme si les maîi-
!tres actuels du Kremlin pou-
vaient lier, durant cinquante ans,
| leurs successeurs! La politique
| d: la Russie change continuelle-
ment. Ce n'est pas un pacte de
plus ou de moins qui l’arrétera
dans ses évolutions contradictoi-
{portait des dangers évidents
| pour l'Europe et les Etats-Unis. |
| Elle signifiait le retrait des
troupes américaines du continent |
l'al- |
européen et l'abandon de
liance occidentale. Le piège était
si grossier que les ministres des
Affaires étrangères de France et
| d'Angleterre l'ont dénoncé im-
citer.
L'attitude des Allies
dit, pour sa part, que le plan
soviétique ‘vise non seulement à
| neutraliser l'Allemagne, mais
toute l'Europe occidentale”.
Anthony Eden a déclaré: ‘Cette
proposition parait principale-
| ment destinée à briser l'OTAN et
à tenir l2s Etats-Unis et leurs for-
ces hors de l'Europe. L'OTAN
est la base de la politique bri-
tannique, Nous mainfenons que
l'OTAN ne menace personne et
nous ne pouvons y renoncer‘. |
M. Dulles a accusé la Russie de
| chercher à “laisser l'Allemagne
| occidentale et, cohsequemment,
| la plus grande partie de l'Europe
Occidentale sous la menace de
toute agression venant de l'ex-
térieur.
depuis le debut du siècle nous
avons envoye des forces en Eu-
| rope, parce qu'il y en avait plu-|
sieurs en Europe qui manifes-|
taient des craintes et qui nous.
demandaient ainsi.,,"
Ainsi,
nouveau réaffirme leurs posi-
tions respectives. Ils ne sont pas
plus avancés qu'avant le 25 jan-
| vier, date de l'ouverture de la
| conférence. Un confrère de Mont-
réal a eu l'autre jour un
fort juste, ‘“‘’Consolons-nous,
sait-il de l'échec de
|ce, en pensant qu'il vaut mieux
|que les déliberations se conti-
| nuent, même sans succes, plutôt
que de voir le monde engsgé
d'agir
di-
Fondation d'une province
franciscaine japonaise
TOKYO Dans les milieux
| ecclésiastiques autorisés, on s'at-
| tend à la prochaine fondation au |
| Japon d'une province franciscai-
|ne composée de religieux indigè-
nes,
Cet ordre rencontre un très
grand succés au Japon.
|
entente limitée sur l'Au-
rences précédentes, les ministres |
|rivons tranquillement à la fin!
on a!
| res. Mais l'offre de Molotov com- |
Ce jeune romancier |
philosophie et |
médiatsment avec beaucoup de |
vigueur, ce dont il faut les féli- |
Monsieur Georges Bidault a!
M. |
Pour la troisième fois |
les Quatre Grands ont de!
mot |!
la conféren- |
et inonder la preése mondiale de
photographies des “Quatre
Grands”, que de détruire des
pays enticrs avec des bombes
atomiques!
Aide canadienne insuffisante
Notre Saint Père le Pape a
souvent attiré l'attention du
monde sur la necessite, pour les
pays riches, de venir en aide aux
pays pauvres. Il s'agit d'un as-
pect d'une plus juste distribu-
tion biens de la terre. Des
pays comme le nôtre, à popula-
tion de faible densité, riche, pro-
duisant beaucoup plus que sa
part biens comestibles, de
matièr premières et de pro-
duits ouvrés, devraient, à mon
avis, faire un imperieux de-
voir de se porter au secours des
des
de
s
pays sous-développés, dont la
population est sans cesse mena-
cés du plus qui
terrible fléau
somme de $800,000 l'an dernier
au programme d'aide technique
des Nations Unies aux pays
moins fortunés! Cette année, il
portera sa contribution à $1,500,.-
000!
Voyons! Estce suffisant? No-
tre budget atteint $5,000,000,000,
dont $2,000,000 seulement pour
la défense militaire. Qu'est-ct
qu'un reg à et demi sur cinq
milliards? N'avons-nous pas don-
né des milite de dollars à
l'Angleterre durant et après la
guerre? Et nous n'avons que
quelques centaines de iers
de dollars à distribuer aux in-
nombrables populations africai-
nes, asiatiques, sud-américaines
et européennes? Qu'estce que
cela pour des centaines de mil-
lions d'affamés? Les miettes de
la table. Pour ma part, je trouve
céla honteux
A la Chambre
des
Correspondant spécial de
par Denys PARE
Communes
"La Liberté et le Patriote'’
Le problème du combustible au Canada devient sérieux. Le
rationnement du pétrole serait-il effectué un jour?
OTTAWA — Malgré l'évolu-
| tion rapide de l'industrie pétro- |
lière au Canada, nous dépendons
de plus en plus sur nos importa- |
tions de pétrole pour nos besoins
| domestiques de ce combustible,
Les hauts fonctionnaires am
{ministères intéressés à cette
question ont préparé un rapport |
sur cette question, à la demande
des autorités gouvernementales.
Ce rapport, qui est dans le mo-
ment entre les mains du minis-
tre d£s Mines et des Relevés
techniques, M. George Prudham,
indique ce fait étrange: en dépit |
de nombreuses découvertes de |
puits d'huile faites depuis quel-|
ques anncées, notamment en Al-
berta et en Saskatchewan, le Ca-
nada import: plus de pétrole |
maintenant par voies maritimes |
qu'il en importait durant le der-|
nier conflit mondial. |
Un grave probleme
En 1953, nous avons importé |
de l'étranger par bateaux 54 p.
100 de nos besoins en pétrole, a- |
lors qu'en 1942, la proportion de |
nos importations n'était que de |
39 p. 100.
Le gouvernement canadien est
fort intrigué, dit-on, par cet état
de choses,
drait d'autant plus sérieux s'il
| nous fallait faire face à une nou- |
| velle guerre mondiale. La solu-
Brer à ce problème n'est pas fa-
cile, On pourrait bien utiiiser
| plus de charbon, mais on estime
qu'à l'heure actuelle la houille
ne pourrait pas remplacer le pé-|
trole, dans la proportion qu'on!
le désirerait.
Selon les experts en combus-
tible, les mineurs pas plus que
{les mines ellesimêmes ne pour-
raient actuellement être en quan- |
tites suffisantes pour faire face |
à une situation critique.
On sait que le gouvernement
fédéral vient déjà en aide aux |
mines de charbon, Il est possible
que cette aide financière que
verse l'Etat central aux mines!
de charbon soit accrue en vue
précisément de pouvoir compter
davahtage sur la houille, adve-
nant le cas nécessaire, |
Nos sources de combustible au |
Canada se trouvent éloignees d£s |
deux plus grandes provinces,
l'Ontario et le Quebec. Aussi,
pour aider ]£s mines de charbon
défrayer une partie d:s frais |
| du transport, 1 gouvernement |
Le problème devien- |
a
|fédéral accorde chaque année|
quelque $6,000,000 destinés aux
mines de charbon. |
Plusieurs etudes
Trois importants comites pro-
cèdent actuellement à une étu-
| de d2 la situation du combusti-
ble au pays. L'un de ces comités
est présidé par nul autre que le
premier ministre St-Laurent, et
en son absenee, par M. C. D.
How
Il s'agit du comité de la defen. |
se formé par plusieurs minis-
tres. Ce comité étudie surtout les!
mesures qu'il faudrait imposer |
au pays relativement au combus- |
tible si le Canada était engagée
| dans un autre conflit à l'échelle |
mondiale, Les deux autres co-|
| mités sont formés de hauts fonc-|
|tionnaires de plusieurs ministé-|
res. Ils se tiennent en contact!
direct avec le comité ministériel |
| de la défense. |
| La pénurie du combustible ne |
|se trouve pas sulement au Ca-|
| nada. On souligne que même les]
| maisons,
| core plus considérable. En 1940,
ont recours à
de ces mines pour le
ble,
Etats-Unis avec toutes leurs res-
sources pétrolières doivent im-
porter une partie assez considé-
rable de ce combustible pour
leurs besoins domestiques.
On consomme plus
La consommation d'essence et
| de pétrole a augmenté d'une fa-
| çon presque incroyable au Cana.
da depuis quelques années, En
1942, la consommation de ces
produits au pays atteignait les
36,000,000 de barils, tandis qu'el-
le passait à 90,000,000 de barils
en 1953,
En ce qui concerne la consom-
{mation du pétrole comme çom-
bustible pour le chauffage de
l'augmentation est en-
les Canadiens ont brülé 4,900,000
barils de pétrole pour chauffer
leurs demeures, alors que la con-
| sommation de ce combustible
pour des fins analogues attei-
| gnait en 1952 les 33,000,000 de
barils,
Et le nombre de maisons équi-
pées avec le systèm> de chauffa-
ge à l'huile se multiplie d'année
en année, On estime qu'en 1941,
| il y avait 67,000 maisons dont le
| système de chauffage
était à
| l'huile, Dix ans plus tard, on a
calculé que plus de 777,000 ha-
bitations étaient chauffées par
la combustion du pétrole, Il y
aurait aujourd'hui plus d'un mil-
lion d2 maisons canadiennes qui
l'huile pour le
chauffage.
Rationnement possible?
Selon nos informations, il n'est
pas impossible que le gouverne-
ment impose le rationnement sur
le pétrole, On reconnaît qu'il se-
rait coùteux de faire un retour
à la houille comme combustible
| de chauffage dans bien des cas,
mais cela pourrait devenir né-
cessair
Le gouvernement songerait à
améliorer la situation des mines
de charbon, car il estime qu'en
période de crise, il faudrait dé-
pendre davantage sur le produit
combusti-
Les champs pétroliféres de
l'Alberta sont vastes et riches.
it les découvertes de nouveaux
puits ont été nombreuses depuis
celle du fameux champ Leduc
en 1947, Mais tout cela semble
insuffisant, La situation du com-
bustible au Canada reste anor-
male,
Mais avant de dépendre uni-
quement du soleil pour chauffer
nos demeures, comme ce sra le
cas éventuellement selon Pal-
mer Putnam, conseïller pour la
Commission de l'énergie atomi-
que des Etats-Unis, on tentera
bien d'autres moyens.
L'homme de science écrit dans
Science Digest que tous nos com-
bustibles d'aujourd'hui seront
considérés comme trop dispen-
dieux dans 75 ans. Il dit qu'aux
Etats-Unis, on a mis au point des
fournaises dont la seule source
d'énergie vient des du
soleil. Dans l'Inde, on rapporte
que les recherches dans ce sens
sont encore plus avancées; cer-
tains ont même donné des résul-
tats excellents.
I1 y a évidemment tout dans
la nature pour satisfaire les be-
soins de l’homme: il suffit de l'a-
dapter le plus économiquement
possible aux besoins de l'homme,
rayons
PAGE QUATRE
Déjeuner de la Fédération
des Femmes Canadiennes-françaises
C'est le jeudi 25 février, à 12 h | billets de rafle de bien vouloir
20, que sera tenu le déjeuner an-|les retourner à qui de droit pour
nuel de la section W ipez-St-|le 21 février, sans faute
ifac salle Georgian e
D Bas dhuden Grand thé
S Exec, Mgr Maurice Baudoux L'Orchestre Sy ‘phonique de
nous honorera de sa présence, en pl RE
Que de St-Boniface et de la parois. | dans la grande salle de l'audito |
se du Précieux-Sang rium de Winnipeg La grande
Nous prions les membres de |"ente de “Nourriture In natio-
nous avertir afin que l'on sache! nale” (International Food Bar)
combien de convives attendre; | Aura lieu a ce the M 1+
téléphoner à Mme Jean Poitras, | . Notre présidente, Mme J.-E
su numéro 93-6214 ou à Mme! Cossette. a bien voulu accepter
de représenter Le groupe Cana
Cossette, au numéro 20-4323
Tous les membres sont cordia-
lement invités à assister à leur
déjeuner annuel ee
Assemblée mensuelle =
comp
diens-français
Mme Ida Kelly, conseillère, de Nous comptons toutes le
476, rue Aulneau, St-Boniface, | Canadiennes françaises de Winni- |
recevait l'exécutif pour son as-|peg et de St-Bon pour nou
semblée mensuelle le jeudi 4 fé- | aider à atteindre notre but
vrier dernier re. 0
Une soirée des plus agréable Nous apprenons que Mme Al-
y fut passée; les discussions nom- | fred Lécuyer, membre de la Fé-
breuses s'enchaînérent et pour! dération, est ho alisée, Nou
couronner le tout notre aimable | ]uj souhaitons rm ure santé et
hôtesse nous servit un goûter des | ne heureuse convalescence
plus succulent * ae:
Nos remerciements bier ncè- | s6 pa di
res à Mme Kelly pour sa gracieu Los idoes
se et généreuse hospitalite
.
en marche
Notre assemblée m
nérale fut tenue le
nier en la salle du r du Tous les mercredis soir passent
basilique de St-Boniface. Malgré à CKSB des causer us for
la température inclémente qui!me de discussions sur un
nombre répondi-! sujet d'actualité. Ceux qui se
donnent la peine d'écouter ces é-
seulement les trou-
tes mais en-
Etes-
missions non
vrets de | vent té
tre
ess
core t grand profit
vous de ceux-|a?
Ainsi, le mercredi 25 février,
on discutera des relations entre
le Canada et les Etats-Unis
sujet de l'étude s'intitule: Le Ca-
| nada
en tire
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ou équipes et préparer la discus- |
sion par une enquête préliminai- |
re. On pourra faire venir le dé-
| pliant qui explique le sujet de
|la discussion, avant que celle-ci}
{ne passe en ondes, en s'adressant |
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| France et : !
pays, attirera dés milliers de
Le |
second violon des Etats-|
| Guide-ainée et une de ses amies.
avec nos puissants voisins du sud, |
“Les Idées en|
|
important |
On peut, à l'occasion de ces pro-|
| messe
| vous
| de l'argent
|un don
“Notre-Dame de Chartres”,
en ce
monde, durant l'Année mariale.
Education et apostolat sous
l'insigne de la Croix Guide
Peu de %ÿen connaissent le
mouvement guide ici, à St-Bo-
niface et au Manitoba. Ils savent
les Guides existent mais igno-
tout de leur organisation.
si, pour jeter quelque jumi
le mouvement, je vor
un dialogue entre une
ue
:
sur
préserite
|
|
— Tu me parles si souvent du
mouvemeni guide catholique que
j'aimerais en lus familière.
Pourrais-tu Î 1er le but de
cette organisali
— Le
on?
guidisme
catholique a
un double but: l'éducation (pra-
tique et morale) et l'apostolat
- Tu dis bien l'éducation pra-
tique et morale, n'est-ce pas?
Comment travaille-t-il cette
éducation?
a
— Comine oeuvre d'éducation
de la jeunesse, le guidisme se
conforme aux principes et aux
directives donnes par S. S. Pie
XI dans son encyclique sur l'é-
ducation. Cette méthode d'édu-
{cation intégrale renforce sans
toutefois remplacer la formation
| de la famils, de l'école et de l'E-
glise.
— Oh! Je comprends...
propos d'apostolat?
La Fédération
Catholiques de la paroisse de
Québec, à laquelle nous appar-
tenons, soumet toutes ses activi-
tés apostoliques aux disciplines
de l'Eglise en vertu de la pro-
solennelle des Guides de
servir, de leur mieux, Dieu, l'E-
et à
des Guides
glise, la reine, le Canada et le
prochein 3
— C'est une merveilleuse or-
ganisation! Mais qui peut en fai-
re partie?
— Toute jeune fille catholique
romaine peüut y appartenir. |
— J'ai entendu parler des Jean-
| nettes, des Guides et des Guides-
ainées. Quelle différence existe-
t-il entre ces classes du mouve-
ment?
— Le jeannettisme est la mé-
thode guide adaptée aux fillettes
de 8 à 11 ans. C’est une méthode
essentiellement active, condition-
_ Chevaliers
de Colomb
Conseil St-Boniface
C'est bien le 17 mars prochain
qu'aura lieu notre partie de car-
tes annuelle. A peine un mois. Le
frère Mahé trouve que tout va
bien, sauf que les prix ne ren-|
trent pas vite. Ceux qui sentent
le besoin ou le désir de lui don-|
ner quelque chose pour un prix|
de cartes sont les bienvenus,
Aussi, nous informe-t-on, il y
a encore des billets de rafle à
vendre. Un coup de main, s'il
plaît, frères: pour donner
il faut en avoir.
Les conseils Goulet, Norwood
et St-Boniface ont récemment fait
à l'hôpital St-Boniface
qui couvre l'achat de la croix illu-
minée au-dessus du nouvel édi-
| fice, Ce don viendra en aide aux
Seeurs Grises qui se dévouent|
pour nous, Canadiens, ici, à St-|
Boniface. |
Il y aura une retraite fermée
de Colomb à
la fin de ce n vi. Une bonne
assistance nous ferait honneur.
Il y a des rs qui courent |
au sujet de fih documentaires
religieux qui seront peut-être
montrés au public bientôt, Au
dire de notre aumônier, ils sont
des chefs-d'oeuvre de photogra-|
| phie et promettent d'être des plus |
intéressants, En tout cas,
on en|
parlera encore,
APRES-TOUT
Deux groupes |
d'enfants français au
“Children's Theatre
Le “Children's Theatre” de:
Winnipeg, qui organise sa troi-|
sième “Flay Parade” pour les
“
enfants de 7 à 13 ans, a demandé,
cette année, à des groupes fran-|
çais d'y prendre part. Deux grou- |
pes de St-Boniface ont accepté!
l'offre gracieuse qui leur était]
faite: le premier est sous
tion de Mme R. Déprés et le
deuxième est dirigé par Mme E
Ragot.
Les deux présenteront
ce respective le vendre
vrier prochain, dans |
collège de St-Boniface, à
p.m.
La troupe de Mme Déprés, qui
a pris nom ‘Les Moineaux'”, exé-
cutera “Le bois des fêtes" et celle
de Mme Ragot, “Les heures clai-}
| res”, interprétera “La petite fille!
qui vendit son coeur
L'entrée est de
25c pour les!
| adultes et de 15c pour les enfants. | Jean. |
let qu'il participera’ à cette acti-|
| vité génerale par une prochaine
| Labossière, Donna Hunter, Doris
. Fiola
Grade IV: Paul Musso, Denis
Sourisseau, Claudette Dacquay.
a direc- |
| progrès
|prix depuis septembre: Jeannet-
|
|
|
|
|
|
la plus célèbre cathédrale de
e plus ancien lieu de pèlerinage en l'honneur de Marie
pélerins de toutes les parties du
née par la joie. Une guide est une
adolescente d'au moins 11 ans
et d'au plus 17 ans, qui s'est li-|
brement engagée par la promes- |
se des Guides Catnoliques et qui
d'y être fidèle dans sa |
ie quotidienne, Le guidisme-ai- |
née, c'est l'épanouissement plé-
nier d'un caractère de femme sous
l'influence du guidisme, devenu
pour elle à la fois un moyen et
une expression de vie chrétien-
ne intégrale au foyer, dans l’E-|
glise et dans sa viile. |
— Comme cela, je ne suis pas|
s'efforce
trop vieille pour faire du guidis-
me”?
- Mais non! Comme je viens
de te le dire, aucune fille n'est |
trop vieille pour faire du guidis- |
me. Trop de gens de nos jours|
pensent comme toi! |
Après un peu de réflexion, |
je pourrai te rendre réponse. Ça|
te va?
— Prends tout le temps que
tu veux car chez les Guides, nous |
voulons que tu sois heureuse et |
que tu apportes de la joie.
Yvonne PELLETIER (a.j.)
|
|
Représentation au
Playhouse par: le
Cercle La Coulisse |
I1 paraît que la saison théâtra- |
le bat son plein. Aussi, il va de
soi que le Cercle La Coulisse, de
St-Boniface, ne reste pas inactif |
apparition sur les planches du |
Playhouse, |
‘’Mon oncle et mon cure” |
Vous aurez donc l'entière sa-|
tisfaction de voir et d'entendre |
l'irresistible pièce ‘Mon oncle et |
mon curé’, adaptée par Lucien
Dabril d'après le rom:n de Jean |
de la Brète. Cette comédie en 3
actes vous charmera par sa frai-|
cheur et sa joyeuse bonhomie.
Les personnages vous apparaîi-|
tront bien vivants et surtout bien |
sympathiques et cela, malgré les |
colères et la sentimentalité exa-
gérée de la tante, Mme de La-|
valle, et les fougues de sa nièce,
Reine de Lavalle, Nous voudri-|
ons que chaque spectateur raffo- |
lât de ce boute-en-train, de cette |
petite Française candide et mali- |
cieuse, spirituelle et naïve qu'est |
Reine de Lavalle, évoluant en-
tre son cure si parfaitement hu-|J.-A.-A. Dease, de Minneapolis, |
main et son oncle ‘‘vieille Fran-}
ce”. |
Appel à la population |
Puissiez-vous venir nombreux
encourager les efforts de cette}
troupe que vous avez déjà appris |
à connaître et qui ne demande |
qu'à vous plaire encore et tou-|
jours davantage. |
Nous aurons de nouveau l’oc-|
casion, dans une prochaine ru-|
|
| brique, de vous donner un résu-|
mé plus détaillé de la pièce où
figureront les noms des acteurs|
qui vous disent: ‘à très bientôt”.
Ld .
Précieux-Sang
Tableau d'honneur
rade VIII: Jacqueline Desau-
Raymond Dupas, Diane Ré-
te!
millard. |
Grade VII: Dolorès Dureault;|
Marcelle Sourisseau, Ida Oueli|
lette
|
Kathleen Kowbel,
Andrée La-
Grade VI:
Pierrette Manseau,
frenière.
Grade V: Michel-Claude La-
voie, Clémence Marion, Roger
Pelletier. ;
Grade V (2ème classe): Camille
Grade IlIl: Gilbert Laurin, Jim-
mie Ryan, Jacques Montpeiit
Grade Il: Yvonne LakRiviére,
Douglas Main
Grade 1: Léon Désilets, Eveli-
ne Garet, Paul LaRivière.
Grade I (2ème classe): Patri-
cia Hervo, Lucille Hébert, Kath-!
leen Lévêque
Jardin d'Enfance: Nicole Pel-
letier, Richard Guertin, Jeannet-
te de Moissac, |
La Fédération des Femmes Ca-
nadiennes-Françaises donne cha-
que mois un prix à l'élève qui a,
dans chaque grade, fait le plus de
en français. Voici les
noms des élèves qui ont eu des
ce
s
te George, Marcelle Sourisseau,
Kathleen Kowbel, Claudette
Brown, Roger Lafrenière, Clé-
mence Marion, Roger Hébert,
Marie-Louise Normandeau, Yvon- |
ne Hervo, Gilbert Laurin, Yvon- |
ne LakRivière, Claude Fouillard,
Diane McDenald, Georges Matte,
Kathleen Lévêque et Rita St-
LA LIBERTE ET LE PATRIOTE
|, 542, rue Aulneau, St-Boniface, |
ner 2 De 11 février à |
‘hôpital St-Boniface, à l'âge de /
70 ans ! Af
DIAL 322
| l'église de St-Jean-Baptiste le lun-
| roissial. |
| de 278, rue Notre-Dame, St-Bo-
| O:
| à tour commis, comptable, gérant |
Vincent, Warren et Carvel Mc-
| Arthur, Stanley Siver, Emilien
Décès |
MME F, SAVOIE
Mme Frédéric Savoie, de suite
La défunte était originaire de
Lorette, Man. et résidait à S!:-|!
Boniface depuis 1936. Elle était |
membre de la congrégation des
Dames de Ste-Anne et de l'or-
dre des Tertiaires.
Outre son époux, Frédéric, el-
le laisse dans le deuil 4 fils, le R. |
P. Elie Savoie, O.M.I., de Duluth,
Albert, de Winnipeg, Antonin,
de St-Boniface, Donat, de Van-
couver: 2 frères, MM. Henri Du-
uis, de St-Boniface, et Marcel
puis, de Lorette; 2 soeurs, |
Mmes A. Touchette et P. Guay,
de St-Boniface.
Les funérailles de Mme Sa-
voie eurent lieu en la basilique
de St-Boniface, lundi dernier. Le |
R. P. E. Savoie, O.M.I. officiait. |
L'inhumation se fit dans le cime.
tière de St-Boniface.
M. PAUL TURENNE
A l'hôpital St-Boniface, le sa-
ment de chauffage ..
attention.
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Souris), la tonne
International (Alberta),
la tonne
medi 13 février, est décédé M :
Paul Turenne, retiré à l'hospice Greenhill (Alberta),
Taché depuis 1950. Né à St-Boni- la tonne
ace, il y avait passé toute sa vie
demeurant pendant 30 ans à l'em- | Wayland (Elkhorn),
ploi de l'hôtel Tourist. M. Turen- la tonne
ne était âgé de 71 ans.
Deux frères, Jules, de St-Bo- Sapphire (Elkhorn),
niface, et Eugène, de St-Pierre, la tonne
| survivent au défunt, de même que |
2 soeurs, Mmes C. Couture, de
Montréal, et J.-A. Chabot, de Win- |
nipeg
Le service funèbre fut chanté
en la basilique de St-Boniface le
mardi 16 février, à 10 h., et l'in-|
humation se fit dans le lot fami-
lial, dans le cimetière de St-Bo-
niface, |
Le salon mortuaire Desjardins
dirigeait les funérailles.
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Heures de magasin:
9 h. 39 am.
à 5 h. 30 p.m.
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Dodsons Day Company.
INCORPORATED 2%? MAY 1870.
Le vendredi 12 février, à l'hos- |
pice Taché, est décédée Mme Ma- uw
rie Robert (née Landry), de 268, |
rue Notre-Dame. Elle était âgée
de 83 ans. |
La défunte laisse dans le deuil
2 filles Mmes E. Carbonneau,
de St-Boniface, et A. Plamondon,
de Winnipeg: 5 fils, Joseph, de
St-Boniface, David, de Norwood,
Louis, d'Elmwood, Paul, de Mor-
ris, et Arthur, de Wapella, Sask. |
Lui survivent également 3 soeurs ct
{sur le célèbre roman du grand
Mmes Adeline Bernier, A. Roy et|® À x F
O. Bérard, toutes de St-Jean-Bap- | écrivain russe Dostoiewski. C'est
une réalisation de Lampin, avec
tiste, 4 frères, Henry et Olivier,
de St-Boniface, François, de Mor- une magnifique troupe d'acteurs
français de premier ordre,
ris, et David, de St-Jean-Baptis-
te; 16 petits-enfants et 14 arrière-
petits-enfants
Les funérailles eurent lieu en
Scénario
Le prince Muichkine revient à
St-Pétersbourg après cinq ans
passés en Suisse où il se soignait.
di 15 février, à 10 h., et l'inhuma- |
tion se fit dans le cimetière pa- |
{son parent, Epantchine, qui, pour
marier sa fille, Aglaé, à Totsky,
veut éloigner l'amie de celui-ci,
Nastasia, en lui faisant épouser
son secrétaire, Gania, Au cours
d'une scène très dramatique, Nas-
tasia se vend pour 100 mille rou-
bles au marchand Rogojine et
lance l'argent à la tête de Gani.
Muichkine n'est pas dupe des ac-
|tes de Nastasia et lui offre de
l'épouser, Elle refuse et part avec
Rogojine qui ne peut la compren-
dre, Jaloux, il veut tuer le prince.
Celui-ci aime Aglaé et celle-ci
lui rend son amour, éclairée sur
ses sentiments par Nastasia qui,
pourtant, aime aussi le prince.
Toutefois devant l'attitude d’A-
glaé, Nascasia va rejoindre le
prince, mais l’esprit de celui-ci lui
Les arrangements funéraires a-
vaient été confiés à la maison
Coutu.
M. H. R. J. DEASE
Le jeudi 11 février, à l'hôpital
Miséricorde de Winnip:g, est de-
cédé M. Hector (Victor) Dease,
niface. Il était âgé de 72 ans.
M. Dease, originaire de Leroy,
D.-N, avait épousé Flora Re-
naud, à Neche, D.-N., en 1906.
Deux fils sont nés de cette union,
mer, qui survit à son père, et
Aimé, décédé en 1912, Mme
Dease mourut en 1921. M. Dease
résidait au Manitoba depuis!
1909. Il demeura à Winnipeg
pendant quelque temps, puis al-
la s'établir à St-Boniface où il |
resta jusqu'à sa mort. Il fut tour
de douleurs, l'esprit du prince
de magasin, plombier et électri- | Sombre dans le désespoir.
cien, à l'emploi de diverses mai-
sons de Winnipeg. | ES jt
En 1923, M. Dease contractal Voici un très grand film fran-
un second mariage avec Mile | Sais tiré du plus beau roman rus-
Régina Renaud, qui lui survit, | 5€ une des plus artistiques réus-
Le défunt laiss> aussi dans le | sites de l'écran dont on doit louer
Appréciation
e| ae 00! .
| deuil 3 petits-enfants, 2 frères, | aussi bien le réalisateur, que l'a-
daptateur et les interprètes, ‘‘L'I-
et AE. Dease, de Walhalla, D..| diot” c'est le drame de la résur-
N., et 2 soeurs, Mmes Malvina | 'ection d'une âme perdue... ré-
Genthon, de Winnipeg, et J.-G.|surrection par l'amour. Le grand
Champagne, de St-Vital, l'ÉSRARERS a sas Aves AuaUe
shnié ons: | Vigueur farouche et quelle ar-
repetineeu que jenidretrié-|dente “éloquence. lon peut ra:
du Grand Nord, le itain |cheter les âmes, sermentiallee
oise W TE Porte nn jrs au fond de la fange. Bien enten-
à Me sa mat“ d “| du, nous sommes ici à une autre
ce irlandaise. Ses parents mater-
nels (Gingras) étaient de Pointe-
aux-Trembles, P.Q.
Les funérailles eurent lieu en
la basilique de St-Boniface le
samedi 13 février, à 10 h., et
l'inhumation se fit dans le cime-
tière de la rue Archibald.
Le monde moderne n'offre pas
des problèmes de cette nature
mais il reste vrai et de toutes les
époques que l'âme peut aller au
fond des abimes ou s'élever jus-
qu'à la perfection selon qu'elle
est mal ou bien guidée, Avec ce
film exceptionnel, Georges Lam-
pin prouve sa maîtrise aüssi bien
en dirigeant les interprètes qu'en
créant une atmosphère très étu-
diée et très vraie. Les décors de
Les porteurs furent 6 neveux:
Genthon et Charles Goulding, |
tous de Winnipeg. |
La maison Coutu était en char-
ge des arrangements.
images de Matras et ses éclaira-
Cité de Saint-Boniface
AVIS
Des demandes en écrit seront reçues par le soussigné jusqu'à
5 h., du soir, le lundi ler mars, pour:
Un (1) pompier au Département de Feu
Salaire initial: $177.30 par mois
Augmentiations réglementaires
Entree en fonction: le 15 mars 1954.
Temps de probation: 6 mois.
Limite d'âge: de 20 à 28 ans.
Les candidats devront soumettre leur degré d'éducation, ex-
perience —- s'il y a lieu — et subir un examen medical
Ceux qui ont dejà par le passe Iait une demande pour un em-
ploi de ce genre devront soumettre une nouvelle demande.
Pour plus de détails et formules de demande, s'adresser à M,
Arthur SPENCE, Chef des Pompiers, au poste no 1 du Dépar-
tement de Feu.
PAR ORDRE
Maurice PRUD'HOMME
Greffier
Hôtel de Viile
St-Boniface
le 17 février 1954
échappe et elle retourne près de |
| Rogojine qui la tue. Devant tant |
époque et dans un autre monde.|
Barsac et surtout les très belles |
“L'idiot” de Dostoiewski au
Paris, le 25 février prochain
Jeudi soir prochain, à partir de | ges savants contribuent pour une |
Î6 h, on présentera au théâtre |large part au succès de cette oeu- |
Paris un film dramatique basé| Te: |
|
|
|
A son arrivée, il rend visite à|du prince, Gérard Philippe est
Interprétation +
Edwige Feuillère en tête de la
distribution dans le rôle de Nas-|
tasia a fait une création digne de
son talent consommé de grande
comédienne, Son personnage est
un élément au succès d’exploita-
tion de ce film au sujet drama-
tique très attachant et qui re-
présente un des plus gros “mor-
ceaux” de la saison, Dans le rôle
tout simplement une ue |
son interprétation n'évoque ici
ni l'habitude du comédien ni la
perfection d'un métier: il fait sien
un héros qu'il incarne. Et cepen-
dant, il ne s'impose pas à lui; il
s'y substitue: fidèle à lui-même,
il l'est aussi au personnage, Il se |
classe avec “L'Îdiot” parmi les!
plus grands noms du cinéma fran-
Çais, ainsi que Lucien Coedel, Na-
thalie Nattier a un riche tempé-
rament qui s'affirme de plus en
plus et qu'on se plait à revoir.
Jane Marken, Debucourt, Mar-
guerite Moréno, Tramel ont tous,
dans des rôles de second plan, très |
bien campé leurs personnages, |
|
|
Bulletin de nouvelles
catholiques du Canada
pour étranger
OTTAWA — Le Service d'in-|
formation de la Conférence ca-
tholique canadienne vient de
commencer la publication d'un
bulletin spécial de nouvelles des-
tiné aux pays étrangers. Ce bul-|
letin, expédié chaque semaine par |
avion, est à la disposition des
journaux et agences de nouvelles
catholiques, ainsi que des associa-
tions catholiques internationales,
Le premier bulletin a été en-
voyé dans plus de 15 pays. Son
but est de faire mieux connaitre
la vie catholique au Canada dans
les différents pays du monde,
Ce bulletin international s'a-|
joute aux bulletins réguliers que |
le Service envoie plusieurs fois
la semaine aux quotidiens et pos-
tes de radio du Canada français
depuis mars 1953, ainsi qu'aux |
bulletins différents mis à la dis-|
position des hebdomadaires en!
novembre dernier. |
Bureau de téléphone
ouvert pour com-
mondes de 9 h. a.m.
à 5 h. 30 pm.
Rapports encourageants
de le bibliothèque de
t-Boniface
Les rapports que nous recevons
sur la bibliothèque de St-Boni
face sont extrêmement encoura
geants. La section française qui
nous intéresse particulièrement
est heureuse de présenter un rap-
port des plus intéressants. Notre
section française a une liste de
plus de neuf cents membres adui-
tes: 924 de la ville et 4 de l'exté-
rieur et plus de 628 enfants, On
sait, par ailleurs, que les enfants
de St-Boniface peuvent puiser à
une autre source, celle des bi-
bliothèques scolaires, Ce qui si-
gnifie que nos enfants lisent ac-
tuellement du français en assez
grande quantité, Il est intéressant
de noter aussi que très peu d'a
duiltes sont en retard quand il
s'agit de rapporter leurs livres,
La circulation se fait régulière-
{ment et rapidement.
La circulation en janvier à la
section française de la bibliothe-
que a été de 1,556 et cela malgré
une température excessivement
froide et des jours de tempête
Comme on le voit, ces chiffres
sont éloquents. Entre-temps la
bibliothèque s'enrichit tous le
jours de nouveaux volumes et
le service est à la hauteur, Peu
de villes de la population de St
Boniface et du genre de la nôtre
- double culture — peuvent se
vanter d'une pareille harmonie
let d'un système aussi parfait,
Nous sommes marchands
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à leurs clients que les livraisons se font deux
fois par jour. On vous demande d'appeler avant
de la matinée, et avant
Winnipeg, le 19 février 1954
HADIO
VENDREDI
1215— Nouvelles
1120—-Nouveiles locales
1220-L'art dans la vie
146—Nos nations su
micro (Juifs)
115-Nos nations eu
Du lunds su vendredi |
imchusirement |
‘ Quyerture rucro (Polonais
: 1 6 Nonsvelles : 45— Opéra
.» 115-Prière du ematin 400— La musique parmi
+ Mi Nouvelles ras
l'AL" : Sans cérémonie 42-Non nations au
LE ,21 suiun à 140 Nouvelles micro
hestre 10$—Sans cerémonie (Ukraimens)
Nouvelle 22-Nouvelles 500-Nos cations au
18.1 heure *xquise 175—Sans cérémonie micro ( Allemands)
1110 Nouvelles VO Nouvelles 600— Match intercité
s19-Quatre dans un 52 CKSB presente
bM-Charades Gold
Standard | 7400-L'univers des
#45-Carnet Social
PA45-Je vous ai tant rsonnases
aime 129- Nos fut étniles
00 N 800-Sur toutes les
s…Poti iiers scènes du monde
25-—Devinette Five 5 00— Nouvelles
EH | #15-—Chron de Ftance
30... Potins familiers 930— Variétés trançaises
4—fHendez-vous chez 1000— Nruvelles
à pr ne L | 1005-L'heure exquise
Nouvel
y LUNDI
45-—Hadiu Sacré-Coeu
+ SACT eut | 339—0Cité des plantes
Nouvelles | 345-Monde animal
Marches | 815—Kents Accordeon
Au clavier College
1225—Information 83%0-Don Camillo
ruraie 9.15-Carrefour
1230—Reveil rural 930-—-Le choc des idées
00— Nouvelles
119-Cond. des routes | MARDI)
15— Prévisions B05—L2 parade des
120—Marché aux bDes- chansonnettes
x - grain | 1015—Au centre de cou-
ra | ture Singer
1120 Radio-Parents
33%0—De l'adolescence
à la maturité
345-—Femmes célébres
| 8320-—La revue des arts
| et des lettres
H15-—Affaires de l'Etat
530—Reportage à tra-
vers le temps
Concert sympho-
nique de Montréa)
MERCREDI
920—A votre santé
1
|
se p | 330—Aventures scient
2 le | 800—Le trio lyrique
. 10." . | #30-—Idées en marche
22 Éoté Parisis | 915-Carrefour
4-88 ÿ , ie ” 53%—Nature du sol.
mt aug | visage de l'homme
| JEUDI
DIMANCHE 8.05— Parade des
50 r Î Chansonnettes
19.15—Au centre de cou-
| ture Singer
| 330—Le cinéma
| 830—Baptiste et
Marianne
|
10.05—L'heu exquise |
1100—Nouveiles |
{ 55 N
10.00 M
1200—L+s institutions 9.15-Carrefour
politiques dans le #30—Connaissance de
r'r
monde
| Chronique de CKSB
1250 Kilocycles
Léo grandit en sagesse . . . et]
en Claudel, Le 15, il célébrait sa
30ème année de celibat. L'Oncle
Léo commence à prendre de l'à-|
ge et, à sa grande stupéfaction, |,
il a découvert un cheveu blanc! {ist à 12h , “Institutions po-
sur le temporal gauche, un demi. |
| litiques”’; à 12 h. 30, “L'art et la
Voici maintenant
Le dimanche 21, à 11 h. 30,
pouce au-dessus de l'oreille. On vie”: à 1 h. 45, l'opéra “Un Ballo
ignore depuis combien de temps | In Maschera’”’ de Verdi: à 6 h., |
l'intrus avait germe. . | “Match intercité”; à 7 h., ‘“Uni-
Depuis quelque temps, 1 aml!| vers des personnages’; à 7 h. 30,
Pierre est devenu silencieux | “Nos futures étoiles”, mettant en
comme un sphinx. D'habitude, | ,edette Paulette Morin, soprano,
on pouvait le trouver au plus|et Robert Bygrave, baryton. A
fort d'une discussion philosophi-| 8 h., le Théâtre de Radio-Collège
que ou culturelle dans la salle | brésente: “La Cerisaie” d'Anton
de contrôle, Maintenant, il de-| Tchekov, avec commentaires de
meure sagement assis, occupé à | M. Raymond.
tourner les disques. P, doit rumi-
ner quelque chose ...
Les talents de J.B, n'ont pas
Lundi, à 11 h. 45 du matin, le
programme ‘‘Fémina’” passera
sur nos ondes. Le sujet qui sera
de limite. À celui de peintre, cari-| discuté sera “Une femme aver-
caturiste, chanteur, il faut main- | {je en vaut deux” ou “Le voisin
tenant ajouter celui de photogra- | bruyant’; à 8 h. 30, “Don Ca-
phe, Il refuse de nous montrer le | millo’”’ et à 9 h. 30, “Le choc des
résultat de ses efforts, mais nous | idées”,
le convaincre
PT US AS VE à Lou Mardi, à 8 h. 30, “La revue
que le monde de l'art a besoin! 4 arts et des lettres”: à 9 h. 30,
de ses oeuvres et qu'il exposera
sous peu ses blancs et noirs
“A travers le temps''; à 10 h. 15,
“Les affaires de l'Etat'';
gramme, dorénavant, passera en
onde tous les mardis soir, à la
même heure.
Mercredi, à 8 h., ‘Le Trio Ly-
rique”, mettant en vede‘te Lio-
nel Daunais, Anna Malenfant et
Jules Jacob; à 8 h. 30, ‘Les idées
en marche” — ‘Le Canada: se-
cond violon des Etats-Unis?”’; à
9 h. 30, ‘“‘Nature du sol, visage
La Librairie Catholique
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St-Boniface, Man,
. de l’homme’,
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. te et Marianne’; à 9 h. 30, ‘‘Con-
rapidement naissance de l’homme”.
Vendredi, à 3 h. 30, ‘‘Un chré-
tien devant saint Paul”.
Samedi, à 6 h., ‘‘Notre français
| sur le vif’ et, à 7 h. 30, ‘‘Le ma-
gazine des sports”,
TOUS les bons LIVRES
nan
ce offre deux produits.
L'argent en est un,
L'autre est bien plus important. C'est une combinaison de ser-
vice et d'administration. Voilà qui est capital cor l'argent n'a
de puissance que dans la mesure où il est bien géré. -
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{
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Réception à l'Ambassade du Canada à Lima -- A l'occas
ion
du départ de S. Exc. Mgr Giovanni Panico pour la Délégation
Apostolique au Canada, l'Ambassade du Canada à Lima, Pérou,
a donné une réception en son honneur
canadien,
St-Léon de l’Amazone: S. Exc. Mgr Panico, qui était none:
Damase Laberge, franciscain
lique au Pérou depuis 1948: et
De gauche à droite: Mgr
préfct apostolique de
aposto-
Exc. Emile Vaillancourt,
S M
ambassadeur du Canada au Pérou.
Nos communautés religieuses
Les Filles de la Croix
|où la fortune de la famille était| Benjamin agissaient comme té-
len jeu: celle-ci se trouvait con- | Moins et MM. Léo et Louis Ben-
(suite)
Pour échapper aux recherches,
le Père André exerçait son mi-
nistère dans différentes retraites:
tantôt dans une chambre, tantôt
dans une grotte, tantôt au fond
»s bois Il célébrait ainsi une
se nocturne dans la grange
des
demoiselle, accompa gnée d'un
vieux serviteur, virit se méler à
l'assistance. Ardemment désireu-
se de recevoir les sacrements, elle
avait été heureuse d'apprendre
qu'un prêtre revenu d’exil célé-
surmonté bien
se procurer
participer.
res et elle avait
des difficultés pour
la consolation d'y
tre de Dieu, son air de sainteté
la frappa singulièrement et elle
se sentit portée à lui ouvrir son
âme. Elle le rencontra donc au
saint tribunal et partit toute ré-
confortée, sentant que Dieu avait
exaucé sa prière, qu'elle avait
| trouvé son Ananie.
| La fondatrice
| La Providence avait donc pré-
| paré la rencontre de S., André-
Hubert avec celle qui devait de-
venir sa première cCollaboratrice.
| Celle-ci s'appelait Elisabeth Bi-
chier des Ages, Elle était née au
Blanc en 1773, de parents aussi
chrétiens que nobles. De bonne
heure se manifesta chez elle un
excellent naturel qui la portait
à la piété envers Dieu, à la cha-
rité envers les pauvres. De dix
à quatorze ans, elle fut mise en
pension à Poitiers chez les re-
ligieuses Hospitalières dont la
était sa parente, Elle fut pour
les autres pensionnaires la plus
{charmante des compagnes, leur
| laissant toujours, sans en
| l'air, ce qui était le plus agréa-
| ble. Son jeu favori était de cons-
|truire de petits châteaux de sa-
ble; aussi lorsque, plus tard, elle
eut à diriger d'immenses travaux
de construciion, elle disait plai-
samment: “Ce devait être là mon
métier puisque j'en ai fait l’ap-
prentissage de si bonne heure,
| Dans cette religieuse atmosphè-
re, sa piété prit un nouvel essor
[et sa première communion lui
| a laissé au coeur une faim insa-
tiable de l'Eucharistie.
Mlle des Ages dans le monde
Rentrée dans sa famille, ses pa-
rents continuèrent de la forrner
pour la vie qui, vraisemblable-
ment, devait être la sienne, tan-
dis que son oncle, l'abbé de Mous-
sac, vicaire général de Poitiers,
la pourvut de connaissances va-
riées, depuis la religion jusqu'à
la comptabilité, Elisabeth deve-
nait chaque jour plus accomplie,
Douée per la Providence d’une
intelligence de premier ordre,
d'un jugement parfait, d'un coeur
excellent, elle était aussi
beauté ravissante et
le monde
commença à la rechercher, “Mon |
bal ne sera qu'obscurité et lai-
deur. disait une dame de la so-
ciété poitevine, si Mlle Elisabeth |
ne vient l'éc'airer et l’embellir
de sa présence”. Mais celle-ci é-
tait ingénieuse à se dérober à ces
invitations.
L'heure des épreuves sonna
bientôt. Ce fut d'abord M. des
Ages qui contracta une
maladie:
le chevet de
jusqu'à
son lit, l'entourant
sa mort de soins et de
tendresse, On était au début de
1792: la Révolution avait déjà
commencé sa sinistre besogne, Les
révolutionnaires du Blanc voulu-
rent imiter ce qui se faisait à Pa-
ris et poussèrent l'audace jusqu’à
proposer à Mlle Bichier de jouer
le rôle de la déesse Raison et de |
trône dans
figurer sur un son
église paroissiale pour y recevoir |
les hommages du peuple. Pour
toute réponse, elle se redressa
avec une méjestueuse dignité et
foudroya les impies d'un regard
si courroucé qu'ils se retirèrent
pleins de honte.
Avenir brillant pour elle
Ensuite,
et son plus jeune fils furent en-
fermés dans la prison de Clä-
teaurofx où et
mois, ils furent relâchés mais Eli-
| sabeth dut rester encore dans cet-
| te ville pour soutenir un procès
Soulagement immédiat des
DEMANGEAISONS =="
Dès la première application, la Prescription
D.D.D.—1 de adoucissant et rafraichissant—
soulage les démangeaisons algues causées par
l'ecréma, l'irritation du cuir « clu. les érup-
tions et autres genres de dér geaison. Non
| graisseuse el ne Lube pas. Fla +] ai, 4
à atisiaire gent se Le
mandez la PRESCRIPTION D.D.D. à votre
DE
Dinde lé CD
Marsillys lorsqu'une noble|
brait en secrets les saints mystè- |
Lorsqu'elle vit à l’autel le minis- |
supérieure, éducatrice accomplie, |
avoir |
d'une |
cruelle |
Elisabeth ne quitta pas |
Mme Bichier, sa fille |
nt beaucoup |
à souffrir. Au bout de quelques |
fisquée du fait que l'ainé des fils
avait émigré pour suivre la famil-| y f4 €
ÈCr | Gerry Gelley, accompagné à l'or- |
le royale à l'étranger. Après bien
| des démarches et des ennuis de
toute sorte, la jeune+fille eut en-
| fin gain de cause, grâce à sa com-
pétence comme à l'estime qu'elle
&vait su inspirer, Parmi ies com-
pliments que ce succès lui attira,
{le plus singulier fut sans doute
| celui de l'ancien cordonnier de
[sa maison:, “Citoyenne, lui dit-il,
[il ne te manque plus que d'épou-
{ser un bon républicain”, Cela!
| n’entrait certainement pas dans
Iles intentions d’Elisabeth. Le
{monde brillant et quelque peu
léger connu durant son adoies-
|cence ne l'avait point attirée, ce-
lui de 1793 ne pouvait lui inspi-
rer que du dégoût. Sa mère, dé-
|sireuse d'assurer son avenir, lui
| faisait quelquefois, quoique tou-
| jours inutilement, de propositions
| d'établissement dans le monde;
| un jour où elle insistait pour fai-
|re accepter un parti qui lui sem-
blait réunir toutes les qualités
désirables, une réplique sponta-
|née s'’échappa des lèvres d’Elisa-
beth: “Eh bien, maman, puisqu'il
l'est si parfait prenez-le pour vous-
|même”. Elle se reprit aussitôt et
|corrigea ce que cette répartie a-
vait de choauant, maïs Mme Bi-
{chier comprit que sa fille avait
| des ambitions plus hautes.
Désir de se consacrer à Dieu
Celle-ci désirait se consacrer
| uniquemènt à Jésus et à Marie
{comme elle l'écrivait dans son
|manuel: “Moi, Jeanne-Elisabeth-
Marie-Lucie Bichier, je me dédie
[et consacre aujourd'hui et pour
| toujours à Jésus et à Marie... le
5 mai 1797”. Elle aspirait donc à
la vie religieuse; mais comment
réaliser ce dessein dans le désar-
| roi causé par la tourmente révo-
|lutionnaire? La pieuse jeune fille
| priait Dieu de rendre la paix à
| l'Eglise de France et de l'aider à
| réaliser l'idéal de vie auquel elle
| aspirait. En attendant l'heure de
| la Providence, elle faisait l’im-
| possible pour recourir secrète-
|ment au ministère de quelque
| prêtre fidèle, et c'est ainsi qu'ay-
|ant appris la présence de l'abbé
Fournet aux petits Marsillys, elle
s'y rendit aussitôt.
(à suivre)
les maladies du coeur ont
| décidément augmenté, probable-
| ment en raison de la rapidité et
de la tension de la vie moderne.
Beaucoup de gens qui dépassent
la quarantaine oublient qu'ils ne
{sont plus des adolescents, capa-
| bles de monter les escaliers en
| courant ou de descendre les cô-
tes en ski. 11 est prudent de se
rappeler son âge et de se ménager,
UN SERVICE
RENOMME POUR
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etle M AM desservent Cobh, Irlande.
LA LIBERTE ET LE PATRIOTE
PAGE CINQ
De nombreux prix donnés aux
‘cartes des parents scouts de St-Boniface
La deuxième d'une série de cinq}
parties de cartes organisées par |
lies parents des Scouts de St-Bo-
1
[en
|
|
|
| liette Benjamin,
niface eut lieu lundi soir dernier.
Nous offrons nos félicitations aux
heureux gagnants des magnifi-|
ques prix qui échouèrent comme |
suit:
Prix des cinq mains: Mmes A.\|
Beaudry et H. Beaulieu, Mile Ja- |
net Sweeney et M. A. Pichette: |
prix du “pool”: Mile Claire Ga-
lipeau; prix d'entrée: Mme H.|
Dubé: prix des dames: ler, Mme |
Li
Mariage
BERNIER-—_BENJAMIN
Le samedi 30 janvier, à 11 h., |
la basilique de St-Boniface,
eut lieu le mariage de Mlle Ju-
fille de Mme
Thérèse Benjamin et de feu M.!
André Benjamin, avec M. Claren- |
ce Bernier, fils de M. et Mme Na-
zaire. Bernier, de 594, rue St-
Jean-Baptiste, St-Boniface. M.|
l'abbé U. Lafond donna la béné-
diction nuptiale aux nouveaux
mariés
Pour la circonstance, la mariée
portait une ra tte se-
mi-longue
Les manches termin
pointes de lys. Sa coiffure
posait d'un voile trois-quarts 1
se
tenu par un petit bonnet en for-
me de coeur. Elle tenait un bou-
quet “Cascade” de roses rouges
et de stéphanotis.
La demoiselle d'honneur, Mlie
Jeannine Bernier, avait une ro-
be de nylon bleue trois-quarts
M. Henri Benjamin était garçon
d'honneur.
MM. N. Bernier et Clément
jamin, comme huissiers.
Pendant la messe nuptiale, M
gue par Mme Bourbonnière, exé-
cuta l'“Ave Maria” et le ‘“Panis
Angelicus”,
A l'issue de la cérémonie reli-
gieuse, une réception fut tenue
au ‘“Homestead” puis l’heureux
couple partit en voyage à Min-
neapolis. Pour le départ, Mme
Benjamin portait un costume bleu
avec accessoires blancs.
M. et Mme Benjamin établirent
| résidence à 446, rue Jeanne d’Arc, |
| St-Boniface, |
Petite Note
Remerciements
A. Marion, vivement touchés par
les nombreux et sincères témoi-
gnages de sympathie manifestés
mercient de tout coeur tous les
parents, amis et concitoyens qui
|
L'EUROPE
deuil. Remerciements spéciaux à
l'exécutif de l'Association d’'Edu- |
cation et au journal La Liberté |
et le Patriote.
Une vie heureuse ou
iun mortel ennui?
Si vous vous proposez de pren-
dre votre retraite d'ici dix ans,
cherchez tout de suite quelque
genre d'occupation, profitable ou
non, qui se substituera à l’emploi |
que vous laisserez. Bien que la
plupart des gens attendent avec
impatience les longues journées
où ils n'auront rien à faire, où ils
ignoreront le réveille-matin et les
heures de travail, ils s’aperçoi-
vent d'habitude que l'oisiveté
peut être pesante au bout d'un!
mois ou à peu près — et que l'en-
nui peut rendre malheureux.
D'aprés les médecins, quand on
a un ou plusieurs passe-temps
pour s'occuper après la retraite,
l'esprit et le corps en bénéficient.
S'intéresser à un passe-temps ou
à quelque occupation peut faire
toute la différence entre une vie
heureuse et le mortel ennui.
Epuisé, fatigué, 13
LI # - LA 9
Faible, déprime ?
Fini! Vous serez étonné du regain de force,
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|et Hadges, MM. J.-0. Lambert et
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Les membres de la famille J.-;
à leur égard à l'occasion de la |
mort de leur bien-aimé père, re-
se sont associés à eux dans leur |
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Rotterdam
La traversée à bord des poavebots de la
Holland-America Line est plus agréable que
jamais, grâce à leurtradition maritime héritée
de plusieurs siècles d'expérience, leur pro-
reté méticuleuse, leur chaude hospitalité,
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La Haye, Hollande,
Degart T'Haltar à destination directe pour Rotter-
dam: Watermen, le 11 mars: Groote Beer, 9 avr.
Da Quebec vers Southampton et Rotterdam:
30 avr; Zuiderkruis, 13 mai,
escale au Havre. De Mes Vert vers Southampton
et Rotterdam: Grocte Beer, 17 mars; Waterman
Agence: Holland-Americs Line.
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parties de
E. Proulx, 2ème, Mme A. Séné-
cal, consolation, Mme Alice Dru-
wé; prix des hommes, ler, M
sucun Ménard, consolation, M Méanger et tamiser 3 fois, 214 tasses farine à pâtisserie
ou 214 tasses farine à toutes fins) tamisée une fois,
31% c. à thé Poudre à Pâte ‘Magic’, 14 c. à thé sel, We.
à thé macis moulu. Défaire en crème 14 tasse beurre et
y incorporer % tasse sucre granulé fin; y ajouter, en
battant, 1 œuf bien battu, 1 c. à thé zeste d'orange
râpé et 14 c. à thé vanille. Ajouter les
ingrédients secs au mélange crémeux, en
alternant avec % tasse lait. Verser la pâte
dans un moule à pain (44° x 84°") graissé
et garni d'un papier graissé. Cuire au four
modéré, 350°, environ 1 heure. Laisser re-
froidir le pain dans le moule. Servir le
pain froid en tranches beurrées.
La rafle spéciale favorisa Mmes
Alice Levacque et Eléonore Gen-
dron et Mile Alice Normandeau,
et les prix de la rafle ordinaire
allèrent à Mmes A. Druwé, Mi-
chel Normandeau, Rose Dionne,
lette Huot (2 prix), Mmes E. Bi-
lodeau, F.-X. Paillé, P. Hébert, |
P. Quenelle, A. Proteau, M, Volk
Les parents des Scouts désirent
exprimer leur sincère reconnais- |
sance aux nombreuses personnes |
et maisons d'affaires qui ont eu
prix
au bénéfice de leurs parties de
cartes, Ce sont: C.-R. Dufault
Ltée, A. Huot, J. Van Belleghem,
Toujours fiable
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Bockstael Construction, Hospice |
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à St-Boniface
umber & Fuel C pâtisserie ñ
Lumber à Fuel Co. Lid, Patisserie La Société Historique de St
Pelland, Modern Food Centre (M Boniface tiendra une réunion pu
x s ‘ A : | e ré 1 |
Marcoux), Empire Soap, Gene La nomination des candi- biloue la . 11 à " ? x +
. 1 1ique eue sont inviles JUS
Gauthier, De la Rue Transfer,|| dats au poste de commissaires He, A QUO dire “ À
lercrec
membres et amis, le
j
Dhatairs uguay agas Ma- naiss é x aur': ses 1 m
Restaurant Duguay, Magasin Ma d'écoles de St-Boniface aura soir Hi Motte à D à 15 Le des
er, Pal's Confectionery (Mme|| iieu le mardi 2 mars, entre mi- : cs
No! I et Maontéin ot € 4 es férencier principal sera M. l'abbé
Nolin), Daoust Electric et St Bo- || di et une heure. É François Rae curé d'Au
| niface Hardware, Si plus de deux candidats || hjgny. qui parlera sur les origi-
Nous invitons chaleureusement || se présentent pour remplir les || ne5 4e Ja AE co. d PLETSS
ous amis des Scouts à venir || deux postes vacants, les élec- | public Le Evité l'ételotes à ble
se récréer de nouveau à notre|| tions auront lieu le vendredi sétréà Le Fu .
troisième partie de cartes qui au-
ra lieu lundi prochain, 22 février,
au local scout
AUBAINES SPÉCIALES
de FIN DE SEMAINE cu
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1
19 mars. la
| L'assemblée sera tenue dans
| salle Ste-Cécile de la basilique.
Angle Braemar
et Marion
Ouvert le vendredi
jusqu'à 9 h. p.m.
la Ib, 2]c
la 1, D9c
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Rôti de boeuf, ri.
derrière, nimporte
quel morceau ‘
L'itom de la semaine
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Tomates, ::*. 3 vu 52c
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“COFFEE RING” 25c
Fruits
Pommes jaunes Newton,
Courges Hubbard,
Pamplemousses, :::::: *
(Un régal pour la fin de
semaine)
blanche
[PETEELITELE
Winnipeg, le 19 février 1954
Monique Guyot Jacques Ouvrard
Mme Marta (docteur Jacques
Ces jeunes artistes font partie de l'équipe du Cercle
Molière qui présentera demain soir, au théâtre Playhouse
de Winnipeg, la comédie en trois actes d'Albert Husson:
La ligne de chance.
Le doct Jacques Jacques, frais sorti de l'école de
edex € t encore dans l'obligation re
le facon suivie son pere Pour lui donner des n ei-
es, sans doute, et lui témoigner son amour filial, mais sur-
tout parce qu'il a besoin d'argent. Un jour pourtant, son
pére vient le voir parce que les lettres se font moins fre-
uentes, et il trouve son fils dans a TRE de tireuse de
arte Jacques Jacques s appelle 1-Bey 11 s'est fait
{akir parce que la voyante extra-luc de F4 deuxième, Mme
Marfa, a une trop grande clientele, et une situation finan-
ciere beaucoup pl nteressante
Le R. P. L. Vielfaure, P.B., troisième
prêtre ordonné à La Broquerie en un an
1s
LA BROQUERIE Le 2 fé-, Louis Vielfaure s'avança à la
rier dernier, en la belle fête de A alors que d nom
Purificatior de la Sainte | breux parents et paroissiens dé
Vierge, avait vu dans notre |filérent pour recevc en
égiise paroissiale l'ordination sa-' diction et 1 ba r
cerdotale du R. P. Louis Viel Ensuite, Son Excellenc es
faure PB membres du ergé present et
4 10h, $S. Exec. Mgr Maurice | les nombreux parènts Y €
Baudoux célebra ine messe | rendirent à la salle p L
basse, assisté du R. P. R. Audet, | où un diner fut serv
P.B., et de M. l'abbé Leon Roy, A ce repas, M, Gérard T«
curé de La Broquerie, M. l'abbe ! trault, beau-frère d nouveau
Roland Bélanger dirigeait :s!prêtre, agissait comn
cerémonies. Le R. P, Oscar Boi-! de cérémonies. Ceux q pr
SJ. assistait le nouvel or-|la parole en cetts occasion f
donné alors que celui-ci co<ele-| rent M. A. Bédard, préfet de la
brait avec Son Excellence. Afin! municipalité de La Broquerie
de permettre aux nombreux as-! M. Arthur Fre , Syr ]
sistants de mleux suivre et com-} RR, PP, Audet et Vachor 1
prendre les cérémonies, M. l'ab-! M. Antonio Vielfaure, frère du
bé Joseph Choiselat en donna!nouvel ordonné, les RR. PP
l'explication du haut de la chai-! Hardy et Boily, SJ. M. l'abbé
re Robert Nadeau, M. Fernand Bal
Au choeur, on remarquait des | Caen M. l'abbe Léon Roy, l'elu
membres des clergé ré ulier et! du jour lui-même et S. Exc. Mgr
séculier. De la cmmmunauté des M. Baudoux
Pères Blancs _citons les RR. PP Premières messes
Audet et W, Vachon: des Jésuites * LE F
du collège de St-Boniface, les|, Le 1 ndemain ? février, à 9 h
RR PP. L. Hardy et O, Boily: | le R. P. Vielfaure, assisté de M
le R. P. M. Hudon, C.SsR., de|le curé, Ceékébra sa premiére
Ste-Anne des Chênes, MM. les MESse, en l'église paroiss sé
ibbéé Léon Roy. curé de La La première mess ennelle
Broquerie Rob:-rt Nadeau vi- du nouv | ordonné fut intee
caire à Notre-Dame de Lourdes, | ©" l'église er taper Mer 9 e
Joseph Choiselat, professeur au eÀ ee À og vd de À Unis
soit 7 ë + 4 é rt Ne a 1 Jose hois
‘e pes a me ve À + er Gau servaient comme diacre et st
PT “A+ ke diacre. Le R. P, J, Gendron, SJ
Après la cérémonie, le R. P.|A titre d'ancien profe r du
} e prêtre, prononça le sermon
d2 circonstance, lequel t
de la beauté et de la grandeur
du saint sacrifice de la masse
Les Res Pères Biancs de St
Boniface et le R. P. J. d'Aut
Richard, S.J., du collég: £:-B
niface, étaient présents au sanc-
tuaire
Soiree
| Le soir, à 8 h, 30, une soiree
recreative organise pa pa
roisse fut donn a 1 sa pa
| ruissiale, en l'honneur du nouvel
ordonne. La salle etait comble,
| témoignage eloquent de la grar
| de joie et de la légitime fi
de la paroisse entie de oir,
en moins d'un an, le troisien
| de ses fils eleve à la dignité sa
cerdotale
St-Germain
Bénédiction des enfants
Le 24 janvier dernier eut
la bénédiction des enfants dans
notre paroisse La ceremon
commença par la bénédiction du
T. S, Sacrement, suivie d'ur
ermon commen t €
aissez venir à Mo pet
enfants”
Cette Le R. P. Willibrord, OF lé
manda ensuite à s les pe
ennonce accompagnés de leurs pe t
mères, de s'approcher
est inseree es pied du petit J 1 à
‘écn A tou list il
pe médaille miraculeu
DREWRY n° remarquait le. petit Lion
C 1rCnE 1e agen 1 Le
DIVISION diction et do sa I
DU MANITOBA irande au petit Jesus qd à
Cneé pc L) d rniere 1
DE e lendemair : dit
1 À s( qu 1!
ne D
WESTERN saint
CANADA
Remerciements
M. et Mme € ) à
ans 4 S
BREWERIES ; Réneqelies + où.
ER: mg * rene
LIMITED sf Date St_Vita :
a £ )s 1 s
tee € ers {
ain [| s € s D s
m Q Le £
pe
|
LES SURPLUS ET UN |
COMMERCE MOINS RESTREINT
Les Etats-Unis et le Canada sont inquiets au
sujet de leurs surplus de blé non vendu, et
cependant dés millions de personnes dans le monde sont in- |
suffisamment nourries. Si le Canada et les Etats-Unis redui
saient leurs tarifs sur les produits etrangers, cela aiderait
certainement les autres pays à acquerir plus d'argent cana
dien et americain avec lequel ils pourraient acheter plus de
nos surplus de ble.
SEARLE GRAIN COMPANY, LTD.
La troupe du Cercle Molière, au théâtre P
AT LIBERTE it EE PATRIOTE
René Chartier
Auguste)
Marie Bergeron
Nicole)
Ce changemeñt de métiers donne lieu à toute une série
de mésaventures. Au nombre de ses clients, Jaca-Bev comp-
te une jeune dame blonde et un détective, Grâce aux ren-
seignements de ce dernier, il “voit” vite, clair et loin . ..
pendant un certain temps
Mme Marfa n'a toutefois pas que des clients. Sa fille,
Françoise, et son ami, Ramirez, jouent une part importante
dans les épreuves du fakir. Albert Husson exploite avec
finesse les situations dans lesquelles il plonge ses person-
nages et l'equipe au Molière sait faire valoir toutes les
lances au texte
Mme Paulir
en scène de
Christiane
ne dernière
1e Boutal, qui assurne la direction et la mise
la piece, avec le concours de Suzanne Tremblay,
LeGoff et Armand Guenette, déclarait la semai-
J'ai rarement vu une équipe aussi homogene”.
Lorette
Raymond Faur
(le détective)
Jeanne Forcier
Françoise)
C'est dire que les amateurs de théâtre qui se rendront au
Playhouse demain soir ne seront pas déçus
La ligne de chance est une pièce vive, spirituelle et sans
prétention aucune. Elle a connu un succès d'estime de la
part de la critique et un succès tout court de la part du pu-
blic, ce juge souverain, lors de sa création à Paris en 1948.
Et son auteur, Albert Husson, déclare l'avoir ecrite pour
distraire
En effet, M.]J
bitude si severe
-J. Gauthier, critique du Figaro — d'ha-
disait au lendemain de la générale, le
plaisir qu'il avait pris à la représentation de La ligne de
chance. Un gentil, un agréable divertissement, un passe-
temps sans gravité, mais pas sans vivacité d'esprit. Quipro-
quos, surprises péties, rebondissements, tout cela est
tres adroitement mené et fait penser à une comedie ameri-
caine oui serait dans le goût francais
per
Laurier
PAGE DEP
layhouse, demain soir, dans LA LIGNE DE CHANCE d'Albert Husson
Benoit Guyot
(Ramirez) (le
Georges-Edouard LaFlèche
père de Jacques)
M. Maxime Beéliard autre critique parisien louait
l'auteur d’avoir l'esprit et le tact de ne pas ennuyer le pu-
blic et de savoir même très bien le divertir par des réparties
originales, imprévues, nées d'une situation qui ne manque
pas de piquant.
Dans Spectateur, M. Thierry Maulnier, auteur dramati
que et critique, qualifiait cette pièce de réussite à peu pres
parfaite,
Albert Husson est lyonnais; secrétaire general du théà-
tre des Célestins à Lyons en 1948. En 1947, une autre de
ses pieces, Monsieur Providence, lui a valu le grand prix de
a Saciéte des auteurs
La pièce a été represent la premiere fois aris
F à Par
au theâtre Gramont, le 17 juin 1948, dans une mise en scène
de Michéle Verly.
Les écoliers de Vassar rendent
ee po ir
Cercle des Filles d'Isabelle Sports
Une rés so M. le curé et M. Alphonse Bou- . \ .
UT Dore chard, deux fervents du curling, visite à e d S th ]
belle, aura lieu à la salle parois- ont pris part au bonspiel de Mc-| C ux e ou unc ion
siale e samedi 2? > er ‘rearv, | semaine er e
a sig ” we bd € se “ Lis nier eu Lu de SOUTH JUNCTION Vendre-, supplémentaires s'éèveront ap
débutera par une No 'antams Ont TeMPUTE | di dernier, 12 février, Jes élèves | proximativement à $300.00 par
rtes, Un prix spécial JA. VICCOIrS dans F4 pdf A de de l'école recevaient la visite dés | année, répartis entre environ 50
sera tiré à 8h gré- a R e d ge 5 Em ‘’|elèves de Vassar, Il s'agissait de | contribuables
aux prix seront don- a ote-nRose 1 Le 1S Une féter la St-Valentin. Ces visites pe . = =
h., y aura progres sharp At Is ont gagne CON- | méritent de l'encouragement par e
et danse a olklore. tre cnre VIVE par un pointa ce qu'elles favorisent les ncon Pp
ichisscments et un suc- ge de 5 à 2, et dans une sie con es entre écèies me Rx ; rh owerview
r seront servis | tre Rorketor gi 4 ne 5 Deux item étaient au program Mariage
Cord bienvenue à tous Les ts de ont fait partie nulle | me Ce fut d'abord une partie de Le same 6 février, à midi,
” AIR ET 0 NUE d+ +-à d Ha pAcet Le | hockey tré mouvementée South ! dans l'églis Thérèse, M l'ab-
] enons à remercier par s pvc ue at: 1 | Junct on remporta la victoire au | bé M. Messier bénissait le ma
a voix du journal tous ceux et | prochain x agi À re de ho ke) . *{ compte de 7 à 1. 11 faut dire que | riage de Mlle Nellie Souka, de
celles qui ont répondu si gené- dimanche 21 février, à Laurier Îles joueu de Vassar sont très | Pine Falls, avec M. Jos, Albert,
re mr re petits bas de Noël au Partie de cartes nr gr Der 4 ce n'est que la deu- | d'{ ceat 1 Fal 8, C B, Les témoins
its be #. 1 “… + VRCAQP EE L ju 4 : | qu'ils jouissent de | étaient Mlle Diane Souka et M,
profit de notre église. Ce fut un Ce fut une belle soiree que la | l'usage d'une patinoire. M. le cu-| Léonard Ramono.
réel succes. Qu Îq es contribu- premiere partie du 14 février et | 56 arbitrait la partie He,
tions nous parviennent encore LnoRe en 1 Rae PTRO DIE" La deuxième partie du pro Mme Antonin Bérard est de
Donc un merci sincère à tous. teurs. Les pPrIX irent gagnés | gramme comprenait une démons- | retour chez elle après avoir été
pr te comme suit: bridge, Mme Alphon- | {ration de patinage de fantaisie | hospitalisée à St-Boniface, à la
Dimanche à 2 h. avait lieu no- {se Verley et M. Claude Deslau- | bar une douzaine de jeunes fil-|suite d'un accident de la circu-
r : , À , riers; whist® Mme Louis Dupré|f, L Wilhes A Mol pape (atfs ;
réunion mensuelle A IT À Cine Auris dudloues les de Vassar qui firent preuve | lation
Bon nombre de nos Soeurs y tours de bingo. in succulent goü- cree, aratl (PUS) | Partie de cartes d
issistérent mais nous espérons |ter fut servi. Un grand merci à | ollatio "HU HE vHE S. | La partie de cartes du 7 février
que toutes seront présentes à la | tous | collation, Les élèves de South |a remporté la somme de $136.00,
prochaine q aura lieu le 2e | ' NS Junction s'étaient cotisés pour dé- | M. et Mme Arthur Bruce rempor-
dimanche de mars. M. et Mme Antoine Bourdin et Éreyer ee Gens RER & in succulent | tèrent les premiers prix des car-
La co-éducation de nos jeunes leurs enfants sont arrivés de M FL # Mn de an |tes: Mme Arthur Kemball et M.
fut discutée avec intérêt. Il n Vancouver pour un séjour d'un pr ir A A por Rév Sr 49" | Ludger Jubinville, ceux de con-
faut pas oublier que c'est un su- mois chez leurs parents, M. et Gille institutrice, la Rev, Sr St-| solation: Mme Alfred Kemball,
jet des plus important que de Mme René Bouchard. di) ; j le prix d'entrée. M. H.-J. Parent
s'occuper de ce qu'il y a de Le sergent-major Danny McGowan, de Camp Borden, Ont. pa SRSMPANANR RER SR EE | ., Nouvelle école fut le gagnant à l'encan chinois
eux pour bien preparer nos retire du four une cuite ds pain confectionné pour la première fois | Le département d'éducation se | et la jolie couverture (Baie d'Hud-
unes pour l'avenir à la façon canadienne pour les soldats canadiens stationnés en Al-| | Aubigny montre trés favorable à la cons-| son) alla à Ia jeune Lucienne
- —— | lemagne. Jusqu'ici, le pain servi aux membres de l'armés cariadien- truction d'une nouvelle école. | Normand, F
. ne en était un moins raffiné, cuit à la mode anglais:. Le sergent- Tableau d'honneur Nous devons en remercier en par- | Baptème
Elie major McGowan est le cuisinier en chef du 2ème bataillon du pour janvier : |ticulier le commissaire officiel,| Le 6 ier: Bertrand-Raoul-
22ème Régiment. (CW) à ï À M. A. McDonald, qui nou: four Joseph d'Albert Pelland et
ETVE A pAR CRC OS PSE Em 14 Grade 1I: Catéchisme, Adrien-|nira sous peu un estimé détaillé. | de Georgiana Vincent, né le 24
: : ie : ne Richard, Lise Vermette, Denis | 11 semble bien que le coût ne se- | janvier, Parrain et marraine, M.
I 13 janvier: à l'hôpital St- M. Pierre Frossais préside f'étsomblés Richard; Français, Lise Vermet-|ra pas une surcharge: les frais |et Mme Emile Degan
Bonifac Ra d-Louis-Joseph, te, Adrienne Richard
fil À ‘ 4 Pa j ! TA 1 * auréètis “il . +
Se et Mme Leopold G! annuelle de la Caisse Populaire de Dunrea Fr Qi
vier et eut po parrain et DUNREA--Le mardi soir 9 fé-! chants, Mlies Louise Boulet, irette, Léo Perreault. |
marraine son oncie €l Sa lanie, | vrier avait lieu à notre salle pa-| Jeannine Bisson et Cécile For- II: Cat. et Fr, Paul
M et M À Lo 14 F Joube rt, de roissiale l'assemblée annuelle de | tier; solos de violon et accordéon, ar tie AE j À |
St-Pierre, remplacés par M. et} nôtre Caisse populaire. Elle fut! MM. Léandre Bisson et Gilles! Grade IV: Cat. Yvette Sauret-
Mme Grég r( Girard à présidée par M. P. Frossais, ins-| Fortier. M. Talbot, de Somerset, | te, Anita St-Jacques; Fr, Yvette |
Le 21 janvier: 4 l'hôpital de la | Lecteur des Caisses populaires, y alla de quelques chansons co- | Saurette DRI-CHARGED
Miséricorde, Claud<-Richard, fils Qui prodigua de sages conseils miques qui eurent le don de dé- V: Cat, Maurice Tou-
de M. et Mme Gilbert Désilets. | Dour le bon fonctionnement de rider l'auditoire. chette, Eveline Palud; Fr. Eveli-
Il fut baptise à Elie ie 31 janvier | hôtre Caisse et son progrès pour La soirée se termina par un/ne Palud, Georgette Carrière, Chargée à 10c, elle ne peur, détériorer
et eut pour parrain el marraine | l'avenir. Il se montra très satis- |. réconfortant goûter Grade VII: Cat. et Fr. Clau- à l'enteposage, cer l'œcide n'en ajouté
son oncle et sa tante, M. et Mme | fait de la manière dont elle était! Un cordial merci à Fros- | dette Palud, Raymond Bouchard. | eu'ov moment de l'uchet,
Richard Désilets administrée, mais il y a toujours sais, qui s'est dérangé pour nous Grade VIII: Cat. Berthe Ro-
Va-et-vient moyen de faire mieux. faire l'honneur d sa presence bert, Thérè e Palud: Fr. Annet- AA ss
MM. Zephirin Lachance et Actif et de ses bons conseils, te Clément, =
Laurent Chabot sont partis par L'actif pour l'année écoulée Va-et-vient | ’ 1e
avion, visiter l'Amérique du Sud. | est d'à peu pres $73,000.00 et M. Pierre Aubin est parti pour LS A s| ; A
M. et Mme Hector Désilets depuis sa fondation, il y a onze quelques semaines de vacances te- me ie 722
sont partis visiter leurs fille et ans, $760,000.00. ; chez ses parents; M. Alphonse CES 4 ; ; F &.
Sonde L'ART TIR Ont. Le rapport financier fut donné | Potvin, de Somerset, le remplace Tableau d'honneur pour le mois | La
INR ES ee tbe on | DE M Pailipee poulet, notre | auprès de M. Philippe Bisson, sr, ya É à l'école St-Vincent
bonne Vois. dé guérison apcès | ‘°UOUrS vus gérant. son beau-père. ANR SE *
avoir subi une grave opération à Comites Veillée d'adieu rage ? Catéchisme, à. RP | Æ /
l'hôpital St-Boniface L'élection pour les differents Le dimanche soir 7 février, Verhaeg she; Français, Paul Ve- que vous
» ____ ___ |comités se fit comme suit: Crédit, | une veillée d'adieu réunissait un rhaeghe. A
Grade Il: Cat, Lorraine Lan-
MM. Georges Boulet, Henri Côte
se à 4 ’ l ) ,., ” | et Alphee Labossière remplacent
Dee, GRR RES ao MM. Albert et Théo. Boulet, Leo
PA TAR Grignard; font partie de ce même
comité, MM. René Côté et Ed-
, mond Beaupré. Le ragpari fut
René ARTHUR donné par M. Albert Boulet. Co-
x mité de surveillance: M he"
animateur de ‘MATCH Rondeau fut élu pour remplacer
à Radio-Can M. J.-A. Lavoie; font partie de ce
edio-Conede comité: MM. Nap. Boulet et Al-
fred Para Lavoie lut
le rapport
MM. Wilfrid Fortier, Henri
Côte, Gérard Boulet, R. Rondeau
et Alphée Labossière font partie
LI du comité de direction, dont le
ju rapport fut donné par M. Wil-
frid Fortier, president
ie, en route Programme recreatif
me] ; Pour faire une h:ureuse diver
sion et agrementer la soirée, un
cou mais interessant program
ie me de chant et de musique fut
présente, ayant comme maitre
de céremonies M. Nap. Boulet
Prirent part à ce programme
is. M. J.-A
qui vous pose les questions suivantes:
Q est le célèbre humo-
ait ‘J'ai-
St-La: zare
Tableau d'honneur
I Grade XI: Anna Prescott 93,
Mary Chase Omer Chartier 83, Mélina Char-
’ ? her important la tier 8] André Huberdeau
ade X: Corinne Chartier
pu Thérèse | need 91, Dolorè
- NET +E ‘ ; À moine 76. Georgette Fouilla
Marie Fouillard 63
y 62
IX
Jacqueline
} J- Alma Pépin 65, Si
Vaudry 63
Grade VIII
90, Odile Des
Grade VII: L
Jeannette Desja
Roy 73, Yvan Tremblay
r Hudon 69, Leo Ro»
Bu 58
| Roberta Simard 89
à Cr tier 73, Gerald
73. Roberta Hudon 64, Va-
l, Carmelle Ma-
s Simard 51.
> Chartier
79
uer
Claudette
hambauit
88
Yvonn
73, Ar-
60, Mau-
Gra
"
eni
grand nombre de parents et d'a-
dry; Fr. Marie-Ange Verhaeghe.
mis à la demeure de M. et Mme |
Antoine Boulet, en l'honneur de Grade III: Cat., Lionel Fayant;
leur jeune fille, Jeannette, qui Fr., Germaine Verhaeghe et An-
doit entrer prochainement chez | nette Pinette.
les RR. SS. Chanoinesses des Grade IV: Cat. André Pinette:
Cinq Plaies. Fr. Philibert Labelle
EE à DAS Grade V: Cat. Juliette Landry;
Fr. Adèle Verhaeghe
Letellier Grade VI: Catéchisme et Fran-
ça Léo Therrien
Remerciements Grade VII: Cat. Lévis Pinette:
La famille Jubinville désire re- | Fr.. Marjorie Fuller
mercier ses paren et amis! _ Grade VIII Catechisme et
pour les nombre! témoignage França Lorraine Pinette
de sympathie çus à l'occasior Grade IX: Cat, Rose Yochman:;
de la rt de M. Frédéric Jubin-!{ Fr, Solange Roussin.
vi mer tout spécial pour pi
es offrandes de bouquets spir Concours de dictée
tuels et de fleurs et pour les ser En vue d'encourager et de sti-
es qui furent grande- | muler étude du français,
ment ! cié jeux données chaque
os HOT t nn maine res des grades
V à IX ensemble
Otterburne Ce sont deux élèves du grade
+ VI qui ont conservé la plus hau-
Baptéme te moyenne des hr à dans le
Le 14 février Jean-Pi e-Jo " de anvier Jeannette Ve
seph-Georges, 1 e 16 er haeghe, 96° et Léa Archam-
f s de Ferne a ty et de) bault, 95%, Qui remportera la
Jean Griffoin. t ma palme le mois prochain?
raine, Jean-Pierr nt. repré RUE NS + CICR SEE
senté par Ambroise Joubert, et 2
Eugénie Foucay, représentée pa: Réponses
2 etine not \ " R
Ce 19 rt 5 Dee. M " (KENE ARTHUR)
Partie de cartes 1 Step} eacock
) anct de . ‘ 2 Jn tas de feuilies n” tes
avait a 2 La question du jour: res
es Le r b'is. français
2 ant j
ar dé: x » 3 L'ab e est l'absence ma-
pe. . adive de ) té
prix a Be 6 Gibralta
et ) prix d "a mile
Car c e 0 .
Alex. Be C'est 1 apprendre
di D A ( doit t ' ouffrir pour le
I La La ‘ :
prix du tirage, Mme Joseph F
ris 4 Q a erait ne étoile
1 = " # 1€
4 E aine p 6 iura eu 0€ F
fevrier. Prière de retenir En Nelligan, dans son
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| sonnet Le vaisseau d'or”,
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tous les matins :
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Que c'est bon une bonne tasse de café bien
chaud du FEDERAL LUNCH . rien de plus
favorable à la détente!
Le FEDERAL LUNCH est situé à 185, rue Wa-
ter, à Winnipeg.
PAGE HUIT
Requiescat in pace
Læ jeudi 4 février, la population |
atholique et française du Mani- |
toba perdait un des plus impo-|
sant membre de son avant-gar-|
de de la foi et de la langue,|
dans la personne de M. J.-A. Ma-
rion, victime d'un accident de la!
circulation
M. Marion avait lutté ardem-
ment pour obtenir le droit de cité
de notre langue française au Ma-|
1
nitoba. Ses charges politiques et |
es rôles éminents qui à joués |
lans l'éducation lui ont valu de|
nombreuses décorations de l'Uni- |
versité du Manitoba, de l'Univer- |
té Lava du gouvernement |
ais, du Saint-Pére même, qui |
e fit Chevalier de St-Grégoire|
e Grand
M. Marion f in des fonda-|
! l'A n d'Education
et en était encore un membre |
trés dévoué, et probablement je!
f acharné, f a cause fran-
{ f °.
Les Jeunes Franco-Manitobains
du collège de St-Boniface dési- |
ent exprimer ici à tous ses pa-
rent enfants et petits-enfants
eurs plu êres sympathies à |
occasion de ce deuil qui les frap-
pe directement
Il ne faudrait pas laisser tom-|
ber les armes: tous nous devons
marcher sur les traces de ce pré-
curseur, de ce géant de la cause|
française, |
Les Jeunes |
Franco-Manitobains |
Un missionnaire raconte
sa vie parmi les Rouges
Le 3 février, nous avans eu
honneur d'entendre une conte |
ence sur la Chine, par le Père
Lauzon. La stature carrée du con-
férencier faisait contraste avec
a voix douce et ses manières sim-
e
;
Le Père Lauzon nous exposa
brièvement, sur un ton de conver-
sation, ses aventures sous le ré-
gime communiste en Chine. D'a-
bord, il fit remarquer que l'ar-
mée rouge traita d'une manière
espectueuse les missionnaires et
les fidèles catholiques.
Aprés quelques mois, tous les
propriétaires se virent enlever
leurs terres. Les marchands fu-
rent taxés si lourdement qu'ils
durent abandonner leur commer-
ce, Les propriétaires agricoles fu-
rent exécutés par milliers et les
dirigeants communistes donné-
rent leurs terres aux pauvres (les
commerçants ruinés...),
Puis vint la persécution contre
l'Eglise, Le Père Lauzon fut con-
finé dans son village, Mais les
Rouges, voyant les grandes fou-
les venir à la messe du diman-
che, s'emparèrent de l'église pour
en faire une salle de réunion. Le
Père dut dorénavant dire la mes-
se en cachette.
Un mois s'écoula, puis on ame-
na le Père Lauzon dans un autre
village où il demeura avec un
confrère missionnaire, C'est lài
Le Coin du Collège
VOL. XXVII=-No 18
qu'il fut fait prisonnier. Certains |
jeunes communistes étaient à sac-
cager la sacristie, quand le Père
Lauzon esssya de sauver une
tit statue de Ste Thérèse.
sortant, il donna un coup d'épau-
le à un jeune homme. Celui-ci se
| mit aussitôt à crier qu'on voulait
le tuer. La police, cachée derrière
la porte et qui n'attendait que
ce signal, arrêta le Père.
La description qu'il nous fit
des prisons communistes fut très
réaliste: manque absolu d'hygiè-
ne, mauvais traitements, Dès les
premiers jours, le Père subit une
attaque d'angine; grâce au dé-
vouement d'une religieuse, il fut
sauvé. Après des mois de séjour
dans cette première prison, il fut
transféré à une autre où il eut
son procès et fut condamné à
l'exil; la raison? 11 était un espion
américain.
Conférence qui m'a fait réflé-
chir. Je vois combien la pratique
de la religion nous est facile et
combien peu nous en profitons,
Ernest LETOURNEAU
Ciné-Club
‘Un ami viendra ce soir”
En qualité de président du Co-
mité de l'Education cinématogra-
phique, j'aimerais, en marge du
prochain film et dans le but de
préparer les esprits à cette réu-
nion, donner l'aspect général du
film.
Nous invitons tous les membres,
ainsi que tous ceux qui veulent
le devenir, à assister à la repré-
sentation du 21 février, à 7 h. 30,
dans la salle du Cercie Ouvrier.
“Un ami viendra ce soir”, pro-
duit en 1946, est une réalisation
de Raymond Bernard, C'est un
drame de la Résistance, Les Alpes
prétent magnifiquement leur ma-
jesté aux exigences de ce film,
dont les principaux interprètes
sont Michel Simon, Madeleine So-
logne, Paul Bernard et L. Salou.
Le film, construit à la façon du
film policier, nous laisse inten-
tionnellement dès le début dans
une atmosphère de mystère et de
confusion. La photographie est
puissante et le réalisateur sait
nous aménager des scènes très
poignantes. L'interprétation de
Paul Bernard, dans le rôle du doc-
teur suisse, est des mieux conçue
et Madeleine Sologne se montre
splendide dans la scène de ven-
geance.
Donc vous êtes tous invités à
participer activement à cette soi-
rée qui vous plaira; ces échanges
d'idées sont toujours enrichis-
sants.
Léon FOREST
L2
Actualités
Le vendredi 5 février, les col-
légiens avaient le privilège d'as-
sister à la messe du Père Louis
Vielfaure, Père Blanc, récemment
ordonné dans sa paroisse natale
de Broquerie. C'est à titre
d'ancien du collège (1949) qu'il
Concours IF M |
Réponses et gagnantes du concours no 10
Voici les réponses du concours no 10 publie dans La Li-
berte et le Patriote du 5 février:
Wash-board: Planche à laver.
Clothes pin: Epingles à linge, fichoir.
Une mop: Une vadrouille.
Vacuum cleaner: Aspirateur.
Safety pin: Epingle de sûreté.
Cash box: Caisse, cassette
(a argent),
Bicycle stand: Support, pied de bicyclette.
Skyscraper: Gratte-ciel.
Une crane: Une grue.
Un tray: Un plateau.
Un
Un
Un
Une sewing machine: Une
toaster: Un grilleæain.
can-opener: Un ouvre-boite.
egg-beater: Une batteuse d'oeufs.
Un salt-shaker: Une salière.
machine à coudre.
LES TROIS GAGNANTES
1, Danielle Rubigny, ecole du Sacre-Coeur, Winnipeg.
2. Marie-Jeanne Berard, Ste-Elisabeth.
3. Agnes Martine, Grande-Clairière.
ncours sur
quées plus bas
Premier
Deuxième prix
l de France à Winnipeg
cons
Faites un
vos impr
ses désavantages
col
rection
graphe
les
concours futurs
Indiquez fidèlement: nom
NOM
ADRESSE
ECOLE
Troisième prix offert par un bienfaiteur anonyme. |
Conditions du concours
Concours IF M
Grand concours de langue française
Nous presentons aujourd'hui le douzième d'une série de
con la langue française. Ce concours est organise
par les J:unes Franco-Manitobains du collège de St-Bonifac®;
seuls les elèves des collèges classiques sont hors concours.
Des prix intéressants seront offerts chaque semaine aux
gagnants, On demande de bien remplir les conditions indi-
Concours no 12
prix offert par le R. P. bibliothécaire du collège.
offert par M
le comte Serge de Fleury,
rte composition (maximum, 125 mots) don-
ssions sur le concours J.FM (Ses avantages
vos suggestions . .
Nous tiendrons compte du bon français et de l’ortho-
ous prendrons en considération vos suggestions pour
.) Pour la cor-
Faites parvenir votre copie avant le 27 février à: Les
Jeunes Franco-Manitobains, Collège de St-Boniface.
adresse, ecole, grade.
|
|
À
prit les Philos 11 en flagrant déjit
de laboratoire de biologie. Nous
lui souhaitons tous un heureux
succès dans son futur: apostolat.
Dimanche soir, cinq autobus
| venaient chercher les collégiens
pour les transporter au nouvel
| (pour Ja
| collège) é une avance de
d'enthousiasme et surtout
tour à minuit!
| Le mardi 9 février, les coilé-
| giens, avec un grand nombre d'é:
tudiants et d'étudiantes du diocè-
vint aussi adresser la parole aux |
Philosophes. C'est ainsi qu'il sur- |
aréna de St-Pierre. Le grand club |
rencontra le club Ge St-Pierre |
pps des anciens du |
algr
2 à 0, prise au début de la par- |
tie, nos hôtes se révélérent supé- |
| rieurs et l'emportérent par 6 con- |
tre 3. Agréable soirée, ut re.
. re-
LA LIBERTE ET LE PATRIOTE
Hommage à M. Marion
Bien des voix se sont déjà fait
entendre pour louer les mérites
de M. Marion.
|
INSTITUT COLLÉGIAL
PROVENCHER
Saint-Boniface
Dirigé par les MARIANISTES
|
ZT-.-——
A la mémoire de
Louise Dégagné
de St-Jean-Baptiste
Notre petite compagne
Je sympathise beaucoup avec
ses parents pour la mort de ma
petite compagne de classe, Louise
Dégagné. Elle sentait venir la
mort avec piété en disant son acte
de contrition en s'en allant à l'hô-
| pital. Quand elle a su qu'elle de-
: M. Marion et l'éducation ait partir pour voir le petit Jé-
sus
1
se, assistaient à une messe de Re- | tre façon, les sentiments qui nous |
quiem chantée en la cathédrale animent devant la perte cruelle
pour le repos
rion. Cérémonie
le nombre des assistants
de 2,000) et par
(près
la beauté du
de l'âme de M. Ma-|que nous venons de subir en la
imposante ‘par | personne de M. Marion.
Sans lui l'école Provencher ne
serait pas ce qu'elle est à pré-
|
Chant, dirigé par le Père Caron. | sent. Il a présidé à sa reconstruc-
Après la messe, les étudiants se|tion et à son agrandissement. Il
réunirent en masse devant la ca-|a surtout aidé à lui donner une
thédrale où M. Raimbault et le
R. F. Bruns firent un bref éloge
funèbre du défunt,
Lucien ISABEY
| IMPRESSIONS
D'UNE RETRAITANTE
Chère Lucille,
taient épatants, on
demander mieux. Ils étaient in-
téressants, aimables, pas génants,
joyeux et, sais-tu,
Partout nous nous sentions en-
veloppées d'une atmosphère de
paix, de cette paix si reposante
qui nous rapproche de Dieu, Les
instructions m'ont éclairée sur le
sérieux de la vie et sur l'amour.
Et Lucille, nos petites chambres,
de vrais petits bijoux où nous
pouvions réfléchir sur les ser-
mons et nous reposer tranquilles.
Les repas ne pouvaient être
plus succulents. Tout nous ai-
da à faire une bonne retraite.
Chère amie, les mots me man-
quent pour te dire comment
cette retraite m'a fait du bien.
Je l'ai grandement appréciée!
C'est en ta compagnie, n'est-ce
pas, que l'an prochain je vais
me rendre à 680, rue Langevin,
pour passer une belle fin de se-
maine?
Une amie sincère,
YOLANDE.
|
A l'essai
Oui, le moment le plus pré-
cieux de l'Ecole Normale est ve-
nu. C'est l'apprentissage.
sa toile avec précision, nous, il
nous faut tisser les preuves de
nos capacités et nualités en une
plus grande toile encore: celle
de notre formation d'instituteurs
| accomplis et prêts pour l'attaque
| éducative,
| Ce n'est rien de facile, mais
{c'est gai. Levé de bonne heure
le matin, il nous faut prendre
l'autobus: couché tard le soir,
|afin de bien préparer la leçon
| du lendemain qui saura plaire
|aux professeurs qui nous obser- |
vent pour en faire une critique
| détaillée.
Plusieurs d'entre nous passent |
des heures d'angoisse à suppor-
{ter la palpitation d'un coeur an-
| xieux et à transpirer (mauvaise
| habitude) devant une classe tou-
jours nouvelle.
| Je dois citer un fait qui m'a fait
|rire tout de même. Un élève du
| grade I fit cette remarque à une |
| jeune normalienne: “Vous êtes
| bien trop petite pour enseigner la
! classe!” C'est flatteur.
| La durée de l'apprentissage est
| de trois semaines, Je me deman-
| de si tous sont d'accord avec no-
Ître principal qui certifiait que|
| ces trois semaines seraient
| lien regretterait de n'en pas avoir
| trois de plus! Affaire de goût.
| Il faut la chance à chacun, c'est
| pourquoi j'en souhaite amplement
ja tous.
Henri GREGOIRE
L L2 LI
Beau temps . ..
pour un temps
Que! changement! D'une pério-
| de froide de 40° sous zéro, nous
| voilà dans une Californie mani-
tobaine à 40° au-dessus. Nous al-
lons de la cave du thermomètre
Me voilà revenue de “prison’” | MI
comme tu dis. Tu ne me croiras |S!: ‘ * +
jamais, mais j'ai-vraiment aimé|le reste de l'après-midi”. A ces
ma retraite fermée et tu peux| mots les applaudissements se fai-|
être assurée que ce ne sera pas!Saient (
la dernière! Les prédicateurs é-| Coins de la salle.
ne pouvait!
Tout comme l'araignée tisse |
si |
l agréables que le groupe norma- |
au toit! Ce n'est pas régulier, mais |
c'est nouveau.
Oui,
se dégèlent et encore une fois,
| l'atmosphère joviale et entrai-
nante règne à l'Ecnle Normale.
Un changement subi se fait
aussi dans l'habillement.
les mémoires engourdies |
|âme. Son souvenir nous restera
| cher et son exemple continuera à
; nous inspirer.
m
1
! Un ami de Provencher
| 11 était le “grand-père des élè-
|ves de Provencher”. Le jour de
|la fête de saint Joseph, quand il
|montait sur l'estrade, avec sa
moustache prédominante, il ter-
nait toujours son discours ain-
“Je vous donne un congé pour
entendre dans tous les
Ronald PROTEAU
On ne pêut décrire la peine qui
régnait à l’école Provencher lors-
“pas laids”!| que l’on apprit la mort de M. Ma-
rion. L'autre jour, un petit gars
du grade III me disait: “Je vais
manquer les nombreux congés de
M. Marion”. Je me rappellerai
toujours comment il savait an-
noncer ces congés: ‘Je sais que
vous n'aimez pas les grands dis-
cours, Alors si ce n'est pas trop
demander à M. le principal et à
M. l'inspecteur — et il n’atten-
dait pas la réponse — je vous ac-
corde une après-midi de congé”.
Claude BLANCHETTE
Nous lui devons une grande re-
connaissance pour ses nombreu-
ses visites à l’école et sa présen-
ce parmi nous, chaque année, à
la fête de saint Joseph. Sa mort
fut une tristesse pour tous les élè-
ves qui l'ont connu, A l'avenir il
sera reconnu comme un des plus
grands défenseurs de la langue
française au Manitoba.
Marcel CHAMPAGNE
|
A l'Ecole Normale du Manitoba
Pédagogues en Herbe
Directeurs
François Laroche, Isabelle Beaudette.
Rédacteurs
Carmelle Dumas, Dorothée Lacroix, Gabriel Comte, Rolande Plamondon,
Sr Anne-Marie, Marie Bergeron, Réjeanne George, Olivier Muloin.
installé ici pour poser chacun des
élèves. Une photographie pour
‘“‘décorer” le livre et l’autre pour
le registre, Chacun y met son mot
| pour en faire un volume intéres-
sant.
Notre journal mensuel, ‘The
Argus”, devient de plus en plus
intéressant. Ce journal est sous
les auspices d'un autre comité.
L'assemblée du matin est de-
venue triste avec ces semaines
d'apprentissages, M. le principal
paraît encore plus grand parmi ce
petit groupe qui reste.
Le gouret se donne à la joie
de ses partisans. Malheureuse-
ment pour nous, notre première
partie nous fut un blanchissage.
La marine avait sa force du jeu
dans son gardien des filets qui
arrêta 48 lancers, Puis, il y eut
résultat égal avec “Grain Gro-
wers”. Celle-ci fut chaudement
disputée et non sans intérêt pour
les spectateurs. Dans le ballon au
panier, les nôtres défirent le
C.S.B. Même les filles, parfois,
rencontrent les ‘‘athlètes’” au
gouret! Que j'aimerais être, moi
aussi, ‘‘athlète”!
Et nous allons en classe ... af-
faires de formalités. Quelques-
uns y sont présents de corps, non
| d'esprit; d’autres ne le sont pas
| du tout. Une habitude des plus
intéressés! Nous devons subir
l'alternation des professeurs qui
doivent faire la critique en mé-
|me temps qu'ils enseignent.
L'“Etincelle” semble toujours
faire des merveilles dans les mi-
lieux où elle passe, Mais bientôt,
hélas, elle disparaîtra et ceux qui
auront eu le privilège de la voir
auront vite fait de l'oublier. La
seule consolation sera que les nô-
tres sauront ce qu'est l'Ecole Nor-
male. Alors, elle ne sera pas une
maison de correction, un orphe-
linat où une école pour les pau-
vres d'esprit, mais bien où l'on
apprend la pédagogie, notre for-
mation d'instituteurs et d'institu-
trices de demain.
L'esprit social des élèves res-
te le même, On se comprend,
on s'amuse ensemble, on discute
Hier, | et ainsi, il n'y a pas de clan, mais
{les fourrures et les capuchons é- ; tous sont amis ensemble,
taient de saison; aujourd'hui, les
têtes nues et lo coton écourté
des demoiselles sont à la mode.
Cette transformation fait que
quelques jeunes malheureuses, se
toile fine.
claire, prennent le chemin de l'i
firmerié par une ‘magnifique’
grippe. On doit se coucher, man-
quer quelques jours de classe,
qu'importe.
Gens imprudents, orgueilleux,
habilliez-vous donc. Je le dis,
puisque je l'ai maintes fois en-
tendu et qu'on le répète toujour
Méfiez-vous de la température
Gabriel COMTE
LL LL
_et
n-
Roufine
Un comité a été élu pour l'é-
dition du Jivre 1953-54 de l'E-
cole Normale, À cette occasion
| croyant à l'épreuve du froid sous |
| une blouse de
un photographe de la ville s'est |
Le lieu préféré est peut-être le
cafetéria qui soulage bien des ap-
pétits gourmands. La cantine tient
son rang d'importance chez les
snobz et les amoureux ... il faut
toutes sortes de passe-temps!
LJ L2 LL
Tic-Tic
Maitresse — Pourquoi dit-on:
|“Notre langue maternelle” et
non pas “Notre langue paternel-
le”?
Jean Parce que les pères
n'ont jamais la chance de parler!
L2 L LL
— Eleve Toto, pouvez-vous me
dire pourquoi votre rédaction sur
le lait n'a que quelques lignes,
alors que celle de vos camarades
est de deux pages?
— La mienne est faite sur le
lait condensé, Monsieur!
LE COIN
|4
|
|
1
ï
|
Je ne connais personne, au Ma-
nitoba, qui ait davantage rendu
service à l'éducation que M. Ma-
Nous, les Paladins de Proven-|rion. Pendant cinquante ans il
cher, nous voudrions redire, à no- | fut commissaire d'école. Pendant
37 ans il fut membre actif de
l'Association d'Education et pen-
ant dix ans il en fut le prési- |
dent. Les écoliers de St-Boniface |
subissent une grande perte en M.!
Marion. Nous devons prier Dieu !
de nous trouver un homme qui!
puisse l'égaler pour la cause de
l'éducation.
Lucien CHARRIERE
Le 4 février dernier, le Mani-
toba perdait un de ses chefs en
la personne de M. Marion, Tant |
qu'il fut commissaire d'école, :l!
travailla inlassablement pour
Provencher et pour toutes les
autres écoles. Nous pouvons dire |
qu'il fut le pivot central de l'As-|
sociation d'Education. Jusqu'à la|
dernière heure de sa vie, il a tra-
vailié pour la cause de l'éducation |
au Manitoba.
Danny COYLE
Il a mené une vie entièrement |
dévouée à la cause de l'éducation. |
L'école Provencher, l'Académie!
St-Joseph et l'école Marion, pour |
ne parler que de St-Boniface, lui
doivent énormément. Souvent on |
avait recours à lui dans les dif- |
ficultés.
G. DESJARDINS |
Défenseur de
la cause française |
M. Marion était un vrai Cana-|
dien français, Il s'est donné tout
entier à la cause de l'éducation
française au Manitoba, Ii s'est
dévoué pour conserver l’ensei-
gnement du français et de la re-
ligion dans nos écoles. Pour son
excellént travail pour la défen-
se de la cause française, il a reçu
plusieurs médailles du gouver-
nement français. En lui nous per-
dons un grand défenseur de la
langue et de la religion au Mani-
toba.
Henri LAVALLEE
M. Marion fut un grand hom-
me à qui nous devons une recon-
naissance profonde. Il a fait énor-
mément pour les Canadiens fran-
çais. Pendant 50 ans il s'est donné
sans compter à la cause française
au Manitoba. Sans lui que serait
devenu le français dans notre pro-
vince? Tant de services rendus
ne passèrent pas inaperçus mé-
me parmi les Anglais. Aussi, en
1951, M. Marion reçut-il un doc-
torat ‘“honoris causa” de l’'Uni-
versité du Manitoba.
Jacques FILLION
*
Un pionnier du Manitoba
Le jeudi 5 février, les mem-
bres de l'Assemblée législative
du Manitoba votèrent une mo-
tion soumise par l'hon. E. Pré-
fontaine pour transmettre leurs
condoléances à la famille de M.
Marion. ï
J'assistais à cette session et je
fus touché par la sincérité tou-
chante de tous les discours. A tour
de rôle les amis de M. Marion,
le premier ministre Campbell,
l'hon. E. Préfontaine, l’'hon.
C. Miller, M. Teillet et M. Wii-
lis — le chef de l'opposition et
le chef du parti conservateur, au-
quel appartenait M. Marion — ex-
primèrent la profonde douleur
qu'ils ressentaient à la mort de
M. Marion. Tous admiraient son
bon sens et son sens de l'humour.
C'est vraiment regrettable que
nous perdions un pionnier mani-
tobain comme M. Marion.
Edouard DESAUTELS
L2 * D
Travailleur infatigable
M. Marion était un travailleur
infatigable, Malgré son âge très
avancé, il venait souvent visiter
notre école. Tout ce qu'il faisait
était pour les Canadiens français.
Dès le début, M. Marion a travail-
lé pour la cause française au Ma-
nitoba. Sa mort inattendue nous
a beaucoup surpris et nous ne
saurons comment il &’est dévoué
pour nous que dans quelques an-
nées quand ce sera à nous de con-
tinuer l'oeuvre qu'il a si noble-
ment commencée.
John GORDON
Grâce au travail persévérant
de M. Marion, nous avons à l’heu-
re actuelle certaines facilités pour
apprendre le français. Quand il
entreprenait une oeuvre, il la
poursuivait jusqu'à satisfaction
complète, I] disait que reculer de-
vant une difficulté équivalait à
une défaite, Aujourd'hui, le mon-
de est corrompu à cause des pa-
roles fausses et des promesses
non exécutées. M. Marion a tou-
jours travaillé pour nous aider à
devenir de meilleurs Canadiens
français. |
; Arthur PROULX |
Un grand homme
M. Marion est un des
grands hommes que St-Boniface
et même le Canada aient ja-
mais produit. 11 a été parmi nous
un des plus grands défenseurs
des Canadiens français et des ca-
tholiques. Durant toute sa vie il a
travaillé à conserver le français
au Manitoba et si aujourd'hui
nous pouvons parler français dans
les écoles, nous le devons à M.
Marion. !
G. GUERTIN
plus |
|
Elisabeth de France
sera-t-elle béatifiée? |
tudier l’héroïcité des vertus d’'E-
lisabeth de France, soeur de Louis
chevêque de Paris, a ordonné l'é- |
tude des écrits d'Elisabeth |
commission épiscopale, la Con-|
grégation des Rites à Rome prend
PARIS — A Paris a débuté un |
procès d'information chargé 1 |
XVI, qui mourut décapitée en|
1794 S. E. le cardinal Feltin, ar-|
Lorsque ce travail préparatif
est terminé avec succés par la |
possession du dossier et commen-
ce le procès de béatification.
|àa ses petits frères que
et la sainte Vierge qu'elle
âimait beaucoup, elle disait son
chapelet dans son lit, bien mala-
de, C'est une consolation pour
nous et ses parents de la voir si
prête devant le bon Dieu, et j'es-
ère qu'elle nous aidera à rester
nnes en attendant aussi notre
tour. Louise était une petite fille
bien aimable et toujours sou-
riante,
Une petite amie qui aimait
beaucoup Louise,
Lucille BEAUDETTE.
Je l'aimais bien la petite Loui-
se. Elle était polie. L'autre di-
manche, M. le curé a parlé d'elle
en bien. Il avait les larmes aux
yeux. 11 dit que cette petite-ià
avait été communier le diman-
che matin et dans l'après-midi
elle avait amené ses deux petits
frères à l'église, et ensuite elle a
été à la grotte. Elle a expliqué
la sainte
Vierge était là. Elle s'en alla au
presbytère voir M. le curé. Elle
dit que ses petits frères voulaient
faire un cahier marial et M. le
curé leur donna des images. A-
vant de mourir elle dit tout son
chapelet sur la terre avant
monter au ciel. Maintenant, elle
est notre petite soeur du ciel.
Nous lui demandons des grâces.
Une petite amie,
Colette JUTRAS.
LU L]
. Louise était une petite fille qui
était très bonne et très sage, Elle
s'assoyait près de moi à l'école,
Elle ne parlait jamais. Elle est
morte dans les bras de son oncle.
Il est resté très surpris quand il!
s'est aperçu qu’elle était morte.
Elle a été opérée pour l'appen-
dicite. Le soir, elle a dit son cha-
pelet avec sa tante, Marthe, et
un plus tard elle a demandé à sa
mère de lui faire faire son acte
de contrition. Elle est morte ,à
10 heures.
Une petite amie,
Denise GARAND.
L1
*
La petite Louise était ma com-
pagne. Elle était dans le grade
III. Elle avait 8 ans et 9 mois.
Elle était très obéissante et très
pieuse. Nous regrettons beaucoup
sa mort si soudaine. Mais elle est
partie avec Dieu dans son beau
grand ciel.
Jeannine VERMETTE
Notre chère petite compagne |
de classe est partie pour le ciel,
jeudi dernier. Le petit Jésus qui
aime tant les petits enfants est
venu prendre une de nos petites
compagnes, En s'en allant à l'hô-
pital, elle avait dit à son papa
qu'elle était prête si le bon Dieu
venait la chercher parce qu'elle
avait dit son acte de contrition
parfaite, Elle était membre de la
Croisade Eucharistique. Elle a-
vait 8 ans. Elle était dans le 3ème
grade, Elle était très bonne au
jeu et en classe, Et aussi, elle
avait commencé son album ma-
rial,
Yvette LAFOND
Pèlerinages d'ouvrières
pendant l'Année mariale
BRUXELLES À l'occasion
de !'Année mariale, les Ligues
vuvrières chrétiennes flamandes
et les Femmes catholiques tra-
vailleuses organisent trois pèle-
rinages à Lourdes.
Le premier pèlerinage a lieu
du 28 juin au 5 juillet: le second
du 19 au 26 juillet et le 3ème du
9 au 16 août.
Prière à
Marie, Reine des Coeurs
La reproduction de cette prié-
re a été payée en reconnaissance
de faveurs obtenues.
O Marie, Reine des Coeurs,
avocate des causes desesperees,
Mere si pure, si complaisante,
Mere du divin Amour et pleine
de lumière divine, je mets en-
ire vos mains si tendres les
faveurs que nous attendons
de vous aujourd'hui. Regardez
nos misères, nos coeurs, nos
larmes, nos peines intérieures,
“os souffrance.. Vous pouvez
nous exaucer par les merites
de votre divin Fils, Jesus.
Christ. Nous promettons, si
nous sommes exaucés, de re-
pandre votre gloire et de vous
faire connaître sous le titre de
“Marie Reine des Coeurs" et
Reine de l'univers entier.
Exaucez-nous pres de voire
autel, où tous les jours vous
donnez tant de preuves de vo-
tre puissance et amour pour la
guérison de l'âme et du corps.
Nous espérons contre toute
esperance: demandez à Jesus
notre guérison, notre pardon
et notre perseverance finale.
O Marie, Reine des Coeurs.
querissez-nous. Nous avons
confiance en vous. (3 fois).
Réciter cette prière neuf jours
consécutifs, se confesser et faire
la sainte communion.
H
631-45P.| lignes contre deux pour l'équipe
de |
|
Vol 5 no 18
|
OTTERBUR
COURS GENÉERHA
Grades 8 à 12
Directeur de la chroni
REDAC
Chartrand, Gerard Du
La liste d'honneur
La liste d'honneur n'est pas une
liste quelconque. Tout le monde
n'y passe pas comme sur le pont
d'Avignon
Elle est le signe de l'apprécia-
tion concrétisée des professeurs
Elle souligne au public, aux pa-
rents et aux camarades les noms
des élèves de premier plan sur la
scène de la vie collégiale
Il n'est pas exagéré de dire que
les élèves qui y figurent affirment
leur valeur rayonnante et aiguil-
{lent leur vie étudiante vers l'ap-
| pel des sommets. Ils prennent la |
route qui conduit à l'épanouisse-
ment d'une belle intelligence et
à l'embellissement d'une person
nalité qui se prépare à conquérir
une place honorable dans la so-
ciété.
Place donc, à ceux qui pour-
suivent cet objectif à coups de
sacrifices et d'efforts constants
Voici la liste d'honneur pour |
mois de janvier
Succès
Grade XII: Louis Courcelles,
Guy Chartrand, Camille Légaré,
Grade XI: Léonide Alarie, O-
mer Gosselin.
Grade X: Gérard Dupuis, Ar-
mand Marion, Marcel Pelletier
Grade 1X: Gabriel Bazin, Roger
Duprev, Svlvio Lachance
Grade VIII: Maurice Catellier,
Normand Hébert, Dona!d Dupré.
Conduite
Grade XII: Guy Chartrand
Louis Courcelles, Roland Caya.
Grade XI: Georges Béliveau,
| Omer Gosselin, Léonide Alarie.
Grade X: Gérard Dupuis, Lau-
{rent Bosc, Charles Lambert, Gé-
rald Bourrier, Denis Lussier, Emi-
le Péloquin, Marcel Touzin, Ar-
mand Marion, Marcel Proulx.
Grade IX: Roger Duprey, Eu-
sèbe Lachance, Roger Pantel, Gil-
les Marion.
Grade VIII: Guy Bélisle, Louis |
Robert, Walter Lambert.
| Application
Grade XII: Louis Courcelles,
Guy Chartrand,
Grade XI: Omer Gosselin.
€
Marion, Armand Marion, Gérard
Dupuis, Marcel Pelletier.
Grade IX: Eusèbe Lachance,
Norbert Vigier, Sylvio Lachance,
Claude Lussier.
Grade VIII: Louis Robert, Guy
Bélisle, Maurice Catellier,
Winnipeg, le 19 février 1954
La Maison Saint-Joseph
Pensionnat — Ecole Supérieure
dirigés par les Clercs de St-Viateur
Louis Courcelles, Albert Mcrin, Georges Beliveau, Guy
| con...
Grade X: Denis Lussier, Ernest |
19-12-54
NE, MAN.
L (High Schoot)
inclusivement
que: Leonide ALARIE
TEURS
puis et Lucien Lussier
nee ee ee
des visiteurs, nous remportons la
victoire au compte de 13 à 9
G. BELIVEAU
N.D.L.R Pour être complet,
ce rapport devrait souligner la
victoire que l'équipe du grade
XII, composée de six joueurs seu
lement, a remportée contre un
club “formidable” formé de tous
les autres joueurs du collège. Na
turellement le chroniqueur spor-
tif préfère ne pas en parler puis
qu'il faisait partie du clan des
perdants, Ça vous apprendra, les
JPuneé
A bas les distractions!
Il
rade
| temps
notre
que
dans
un Cama
cnroniqui
a qui
posait
un problème brülant: ‘Que fair«
pour éviter les distractions?” C'est
une question sérieuse à deman
der, mais 1l n'est pas si facile
d'y répondre, Je me risque. Il doit
y avoir un moyen de chasser
diables de distractions qui épar
pillent nos esprits et nous empé-
chent de bien étudier, Ce moyen,
il faut le chercher et l'édopter
parce que les distractions sont les
destructrices d'un temps précieux
et la cause de bien des retards
chez les étudiants
Il y en a qui se demandent:
est-ce possible de ne pas être dis
trait pendant quelques minutes?
Je crois que oui. Pensons un in:
tant au vieux dicton: “Qui veut,
peut”, Un élève qui se met bien
en tête qu'il veut suivre la classe
ct
peut le faire, 11 s'agit de faire
appel à son courage et à son am
bition. Pour cela, il ne faut pas
être des “lächeurs”, Il faut re-
noncer à cet argument des fai-
bles: “Ça commence à être plat,
je ‘sacre” tout ça là”. Il faut
mettre de la volonté et de l'ef-
fort; beaucoup à certains jours
Le professeur qui est devant nous
n'est pas un personnage dont nous
pouvons faire fi. Il faut lui por-
ter respect, l'écouter; cela nous
aide à faire le point dans la le-
et non pas dans la lune.
Voici une parole d’un de mes
professeurs qui m'a frappé: “Si
vous suiviez votre classe avec
100% d'attention, 87% du tra-
vail serait déjà accompli”, Quel-
le merveille! Quelle assurance de
succès! Quel trésor pour l’embel-
lissement de notre esprit! Il s’a-
git seulement de s'y mettre, Il y
en a qui vont dire qu'il faut être
saint pour agir ainsi Mais non,
ça se fait avec des gars comme
nous.
Si nous réussissons un jour à
LA REDACTION
L * LJ
Au fil de ma plume
Dimanche, premier jour de fé-
vrier, marquait pour nous l'ou-
verture des Quarante Heures, La
messe fut célébrée par le R. P.
Denis, C.S.V., curé de la parois-
se, Cette période liturgique d'’a-
doration fut clôturée mardi ma-
|tin par une messe chantée par
ile R. P. Directeur.
| Mercredi, nous recevions la vi-
site du club de Ste-Anne, La par-
tie se prolongea tard dans la soi-
lendemain. Une fois n'est pas cou-
tume, heureusement,
Dimanche dernier, nous avions
la lecture officielle des notes de
janvier à la salle d'étude,
Dans l'après-midi du même
jour, quelques orateurs avaient
enfin j'occasion de manifester
leurs talents, Dans un débat ora-
toire, Louis Courcelles et Ray-
mond Comeau prônaient le rôle
des pompiers tandis que Roland
Caya et Donald Comeau ripos-
taient que les policiers jouaient un
rôle prépondérant dans la socié-
té, Le verdict du jury a prouvé
que l’on devait auréoler les pom-
piers et renvoyer les policiers à
leurs fonctions au même sälaire.
Le discours du président est en-
core à venir...
L'infirmerie continue d'être un
appartement très- populaire, trop
peut-être, On cherche encore le
tonique ou la panacée qui mettra
fin à ces séjours passagers ou
prolongés.
Deux ‘représentants de notre
collège ont assisté à la journée
d'étude de la J.E.C. à St-Bonifa-
ce, le 31 janvier dernier. Même
s'ils ont eu quelque difficulté
à repérer l'endroit de la réunion,
ils ont avoué avoir profité de leur
| contact avec l'aumônier et les
| autres étudiants.
EN COLLABORATION
LE LA LL
(!
Perte commune,
deuil profond
Je songe, appuyé à ma fenêtre,
Au grand homme qui vient de
disparaitre.
Il ne nous appartient pas de
| faire l'éloge de M. J.-A. Marion.
| Ses mérites immenses ont déjà
| été reconnus par la province en-
|tière. Nous ne pouvons que dé-
| plorer, nous aussi, le brusque dé-
| part de ce grand patriote, de ce
| trésor d'expérience en qui se per-
| dait la confiance du groupe fran-
| çais, de cet hommie puissant qui
|nous a enseigné des choses ma-
| gnanimes.
Le destin perfide nous ravit un |
guide précieux et une âme d'élite,
| La perte est lourde et le deuil
| proford.
Nous offrons nos plus sincères
condoléances à la famille éprou-
| vée.
Le lundi 8 février, une messe
de Requiem fut chantée dans nos
tre chapelle pour le repos de l'à
me de M. J.-A, Marion,
+ LA REDACTION
l . L LU
Hockey
Le mercredi soir 3 fevrier, je |
| club de Ste-Anne nous rend vi-
| site. Raymond Comeau est l'étoi- |
1
du club local: il comnte cinq
Ayant l'avantage de trois
le
buts
rée au détriment des cours du
|
|
|
conduire notre barque nous-mé-
mes, je suis certain que les plus
distraits deviendront les plus at-
tentifs, les plus savants... et les
plus heureux.
Louis SAVARD (XI)
LA L1
DITES-MOI ...
“Dites-moi'’ est une rubri.
que d'orientation. Elle veut
aider les jeunes; elle peut ins-
pirer les parents. Elle se limi-
te aux problèmes des étudiants
en face du présent et de l'ave-
nir.
Q. — J'ai 15 ans et j'ai de-
jà fait six ans de collège,
Quelle grande différsnce peui-
il y avoir entre aller au col-
lège pendant six ans et aller
a l'école de ma paroisse pen-
dant six ans? Je n'en vois pas.
Voulez-vous me le dire?
SOUCIEUX.
R. — Quinze ans d'âge et déjà
six ans de pensionnat! Cela sup-
pose donc un stage au Jardin
d'enfance: avant de venir ici.
Pourquoi vos parents vous ont-
ils placé pensionnaire à l’âge de
neuf ans, au lieu de vous mainte-
nir à l’école paroissiale? Mon
cher, vos parents ont dû avoir
leurs raisons dans le t:mps et ils
seraient plus à même vous
répondre que moi. 11 y avait
peut-être la distance de votre
foyer à l'école . . . et il aurait
fallu vous transporter. 11 y avait
peut-être aussi que vos paients
| avaient à coeur de vous procu-
rer une éducation et des études
plus soignées . . . Si tei est le
cas, vous d:vez leur en être pro
fondément reconnaissant,
Loin de moi de dédaigner nos
écoles paroissialeg du Manitoba,
pour lesquelles D ec une
réelle vénération;, mais j2 suppo-
|se que vos parents ont voulu
| vous donner mieux et c'est pour
|cette raison, Et cela leur fait
| grandement honneur qu'ils aient
| fait le sacrifice de se séparer Ce
vous, et de vous mettre à même
| de profiter d:s avantages qu'of-
| fre la vie étudiante dans un pen-
sionnat. Beaucoup de vos cama-
rades n'en ont pas reçu autant
Profitez-en, mon cher, car la fin
| approche. Armez-vous de coura-
ge Essayez de juger par vous-
| même
| AMICUS.
RECHAUFFEZ
et
servez ce
LA LIBERTE
ET LE PATRIOTE
PAGE NEUF
En Colom Britannique l
Triduum en l'honneur de Marie
à Maillardville (N. D. de | Lourdes)
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mme 4 texte 3 t k
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4 t d T + Sa ement à é pecneur m 1e6 pa ü
uinte V € né da s
apparit 4 pniant Pi
Victoria she D
Deces
Ça et la La R 4 Ste-Euphémie
Mme Georg Parent, 1ère un de St-Bonif r décé
viceæresidente de la Fédératior dée le 7 fé p' \ le 78 ar
assistait à la réunion du Bureau | Elle était la soeur de M. Edouard
de la Fédération, le. lundi 8 fé-| Parent, de cette par €
vrier, à Notre-Dame de Fatima Chemin de croix
Ma e, C.-B To ‘ red de atie
A l'occasion de l'anniversaire | jhnnée les méditatior j "pete
de mariage de M. et Mme Jo-| 4 cro nortent sur “Ma
seph Hudon, de la rue Esquimalt à Pa '
une réception fut organisée pa
leur fille, Rita, pour les mem Visiteurs
bres de la famille La Ré Té Emile «
M. et Mme Dollard Jacob, de! gieuse 1 | Québec, er
la rue Ontario, passent deu , T. n de Ser
mois en Californie t gi
,La famille Beaulac, d a ie { 1 je Rimou
Linden, en promer Fe 4 à | dant quelques je Elle fai
Eureka, Ca lis se rendront à|tie d'un groupe de huit 1 pa
San Francisco, Los Angeles, O-\$ses qui se rendent au Japon. Le
range et San Diego autres sont des relicieuses de
Mme Onésime L'Heureux, de !]l'Immaculée Conception
San Francisco, Ca]., a passe quel-
ques semaines ic visitant les
familles Charpentier, de 1] Vancouver
Harrison, Beaulac et Trer x
M. et Mme Donat Bolduc, de Radio française
Henrybourg, Sask., sont à l'h6- Le mardi 16 fevrier, en la sal-
tel Beverley, rue Yates, pour les | le de l'écol nd Fatima, Maillard-
mois d'hiver ille, le Comite de la Radio, sous !
N'oubliez pas la partie de car- auspices A la Fédération, or-
tes du Club Canadien-Français, nisa une interessante soiree
fixée à ce soir, vendredi 19 fe-! pour honcrer d'un façon spé-!
vrier, à 8 h., ‘‘Au-Vieux-Queébec’ ciale les personnes qui a nt
M. Paul Vialar, de Paris, don-| Pris pari aux différents program-
na une conférence, sous les aus- | Mes de radio-française au poste
pices de l'Alliance française, le CKNW. Une soixantaine de per-
jeudi 11 février, à la salle des! SOnnes assistaient à cette réu-
conférences de l'hôtel Dominion, ! N10n L R P Leduc OM,
rue Yates curé, adressa la parole, ainsi que
M. le Dr Beaudoing, president
Nos malades de la Fédération, MM. Finnigan
M. Casimir Despins, de la rue |et Montpetit,, les annonceurs
Tolmie, M. Annibal Bianco, de | réguliers, Mme Marchand preési-
la rue Menzies, Père LeSann,)dente du Comité de la Radio,
Mme Anne-Marie Lavign sont! et M. L. Da: représentant du
tous rentres à Jeur foyer apres | Poste CKN So tons que
avoir passé des semaines à l'hô- | Les encouragements prodigues à
pital St-Joseph nos artistes ugmentent le nom-!
Se sont inscrits Au-Vieux-|bra des participants à l'avenir
Quebec: Le dimanche 7, le programme
Mile Edith Hotte de régulier du soir, avait eté exe
J.A.C.F. de Montreal, et M. Ga-! cuté par un groupe d'artistes
briel Bassette, de la J.A.C. de | invités. Les solistes furent Mmes
Trois-Rivières, ainsi que M. et|T. Desautels et P. Thompson,
Mme Massot, de Vancouver. MM. Girard et Allard. M. Hudon
agissait comm maitre de cere-
monies
“Je croyais que c'était
du bonbon . . .”
Tout ce qui ressemble
DODDS
KIDNEY
in bon-
| bon tente les petits enfants. Ils ne
PILLS connaissent pas la différence en-
| tre une pastille et une pilul F
un comprimé. Beaucoup
\inenmenS mèdes domestiques inoffe s
RE pour un adulte peuvent êtr 1
CEPMANR TL poison pour un enfant. On doit
D 04 1eou sit 214 donc tenir hors de la portée des!
lenfants médicaments et drogues,
| pilules et comprimés
en a |
|
Ne monquez pas de voir ce
magnifique d'aubaines,
de 626 pages. Nouvelles mo-
des fascinantes jolis ac-
cessoires de maison —- mar-
chandise à des prix economi-
ques pour la famille, la mai-
son et la ferme. Oui, lorsque
le cotologue de printemps et
d'été arrivera chez vous, vous
conviendrez plus que jamais
que
"IL EST AVANTAGEUX
D'ACHETER _CNEZ EATON""
#T. EATON C 2
MINNPEQ CANADA |
livre
Catalogue donné
gratuitement
sur demande
La prohibition
L'enquête rappelle que toutes
les provinces sauf Québec, adop-
térent la prohibition en 1916 et
1917. Quebec la subit en 1919
Voici les années auxquelles les
s provinces l'abolirent:
diverses 0
Colombie-Britannique, Québec,
Vient de paraître
chez Fides
Un hivernage à Stadaconé
par G. Cerbelaud-Salagnac
Le lendemain de ia Pentecôte
1535, trois navires quittent le port
de St-Malo. Sur la plus grande
flotte le drapeau du ca-
it général Jacques Cartier
Le Malouin, en route vers des
s nouvelles, :amiène Taignoa-
\v et Domagaya, deux Hurons
prit à son bord au cours
premier voyage. Se trou
a sur les trois navires
1atelots hostiles à ce voyage:
sont les hommes de main de
certains trafiquants de fourru
qui voient d'un mauvais oeil cet
te nouvelle expédition pouvant
ruiner leur fructueux commerce
Ces traitres ont pour mission de
gèner, par tous les moyens, l'ac-
tion des ‘“découv-eux
Dans le cours du très dur hiver
ie 1535, dans le fort de Stadaco-
né, là où un jour s'élèvera Queé-
bec, la petite troupe de Jacques
Cartier va se trouver en butte
à la trahison s matelots félons
et à la perfidie des Indiens, Et
voilà que, pour comble, vient s'a-
I e terrible scorbut
Ce grand récit est dû à la P 1
me alerte de l'excellent écrivain
qu'est Georges Cerbelaud- -Sal a-
gen Sans cesse, il nous fai pas-
ser habilement de la vérité his-
torique, puisée aux sources mé-
mes des relations de vovages de
artier, à la fiction ro
ut constitue un
q nous permet
toute sa gloire
es p sodes de l'épopée
france ique
Un volume 123 pages. Prix
$0.90 (par la poste $1.00).
cours de la semaine dernière, ac-
compagné de MM. Armand La-
londe, Ernest Chabot et Léon
Marchildon
M. et Mme Louis Chartier re-
cevaient, il y a quelque temps,
| un album-souvenir de M. et Mme
Kent Jackson (Valérie Brisebois),
autrefois de Zenon Park et nièce
de Mme LIL. Chartier, Cet album
contenait des photographies pri-
ses à l'occasion du mariage Bri-
sebois-Jackson, célébré au cours
de l'été dernier à Santa Rosa, Cal.
Remerciements LES
M. et Mme Sylvio April desi-
rent remercier sincèrement les
religieuses de l'hôpital Notre-Da-
me, M. le Dr J.-A, Mandin, les
gardes-malades et le personnel|
de l'hôpital pour leur dévoue-
ment et tous les bons soins pro-
digués à Mme S. April durant
son séjour à l'hôpital.
Nos malades
Mme Marie-Louise Joubert est
retournée l'hôpital Notre-Da
me après avoir été sous observa-
à
tion pendant quelque temps à
l'hôpital St-Paul de Saskatoon
Elle fit le voyage aller et retour
en avion-ambulance
M. et Mme Albert Favreau sont
allés à Saskatoon où M. Favreau !
recevra des soins médicaux |
Mme Lucien Moyen est aussi |
hospitalisée à Saskatoon eli
È e opération
ou
s
M. Philippe Brisebois a dü être
transporté d'urgence par avion-
ambulance à l'hôpital St-Paul de
Saskatoon pour opération majeu-
re le samedi 6 février
A ces malades, nous
prompt
rent
foyers
u 17
Notre-Da
Henri Ro
retour
hc
ier McCrea et bé-
Ali
Laur
Leon
Mme Y
Leblanc, Mme
1bert, Charles Soucy
Mme Elie Hudon et bébé, Mariet
te Ma ildon, Mme F.-X. Sou-
Rita Chabot, Dolo Char
tier, Gérard Lalonde, Lucien V
geant, Philippe Brisebois, en
Joubert et Mme Jean-Marc Mar-
ier,
Leblanc
vonne
Mme
Verrie
bé
Norbert
Louise Jo
Ut
ichildon.
souhaitons |
au |
ce}
ALL'CANADA
INSURANCE
PADERATION
n'a pas besoin d'être répété; d
Nos Ecrivains en Herbe "TEST ES Ne souffrez pas
geole et Simone la picote
Lettre à un petit enfunt malade ! ne idée de faire un plan. Ce pla: à (f) Le troisième H util t
ù elle navaill ensuite Qu Aa le suIvr in lemen
nieix, Sask., | fidèlement. C'est ce qu'elle a
e 5 juin 1953. |et cela a donné le résultat H d |
sit hui cela a donné le résulta un jour de plus
. d'a r n. ié ss
1. (a) Quand j'ai su que tu étais en rite: d ù nécess é du par suite de
malade, je me suis décidée de!"2ls Nous aurons ! Occasion
t'écrire une courte lettre. (b) ft. | revenis : r maux de tête
e que ça va mieux? (c) J'espère! Un aut begin À x troubles
que tu vas revenir pour ta fête à a de OL » petit Attie P ; j d'estomac
s avons une surprise pour | © les ré s a * vs : F
s 7 A er - tes gr à phrases le me : ii dire Je vous assure ‘ indigestion
tites amies espérent que tu seras Simpies, cour et encore, plus bas (4, à, « nervosité
mieux bien vite jamais encombrées. Surtot viendrons vous. voir PR perte de
2 (a) Demain, nous allons éeri-|Cune d'elles nexprime qu'une | vous dirons... ? Et Set sommeil
re les examens français, alors dis ! Seule idée. (A ce propos, voyez Lu «ps LA 4 nl ps leau"? manque
donc une etite rière u le premier paragrapne en parti- |! rer suit rain ment : bi
je fasse Fe “oh gxeniens. 4%) culier.) C'est là une qualité très au bas d'une lettre à un ami fl d'appétit
Moi je prierai pour ‘que tu sois | importante En effet, il faut pro Au début de ce commentaire, atuosité (ga
Cette basilique, construite de marbre noir, date du siècle der-, mieux bien vite céder pour la phrase comme pour | nous avons dit que cette compo f. intestinaux)
nier et se trouve dans les Alpes françaises, à 5,500 pieds de hauteur, 3. (a) As-tu su que grand'mère | le Paragraphe: de même que ce-| sition était bonne, Elle l'est assu he causés par
C'est le célèbre sanctuaire de Notre-Dame de la Salette, commémo-| était malade? (b) Elle est mieux | lui-ci, pour être bien composé, ment. Bt pourtant, n'est-ce pas, ou
rant | pl poor de ia Vierge Marie à deux bergers de la montagne. maintenant. (c) Maman a été lui | doit être bâti autour d'une seule |: que de petites fautes elle contient une élimination paresseuse
A l'arrière-plan l'on peut voir le mont Obiou où s'écrasa, en 1950, ai der pou semaine. (d\ Je ! idée dominante de même la!Ce autes ne l'ont pas empêchee r le N n'Miins ni
un avion ayant à son | bord 54 Canadi- ns. aisais les repas. (e) Pendant phrase, pour être claire et bien | d'être primée, bien sûr, mais elles renes le Novoro du Locteur lierre
sommets ie PE —— | qu'elle était partie, George a eu faite, doit contenir une idée seu- | en ent amoindri la qualité, Ce qui} ‘* soir et voyez par Ogg «ia ai
a rougeole ét Simone a eu la pi- | lement. prouve que, lorsquon compose rime A br RON pes Dee
La C | bi B it te | cote. (f) Je vous assure que nous Nous voulons fairé remarquer On ne saurait jamais corriger a-} "'°" man
0 om 1e r! annique comp e e étions bien contents qu'elle soit à nos lecteurs, en passant, la va-!Vec trop de soin son brouillon Cela tient à ce que le Novoro vient à
reve été que l'élève a su donner à Il a toujours, ici ou Jà, quelque | votre aide sous trois formes: (1) laxe
d b d' | li 4 a) Dimanche s vien a forme de ses phrases. Les unes ite qui se cache, Dénichons-la. | tif, carminatif, (3) tonique
p us gran nom re F.] coo iques drons vous a ” ta h ont très courtes (1. ©. d: 34, a, b. ravaillons. C'est à force de tra stomachique 1
Marie, Aline. Diane et moi nous! d es a plus longues (1, a. | Yaille qu'on parvient à bien a . res d'après bn formule
Suite de la première page) 1921; Manitoba, 1923; Alberta, t'apporte ons des be nbons et des e: 2 a: tantôt e es sont ttes Eugène ADOLPHE di) les, Voolies e srelsie
he D pur pr 1924: Saskatchewan 1925; Onta belles fleurs Nou ve li- | affirmative L'eé.6: 24 4 D sugene 4 , , botaniques de | re. Il eat {
condamnations pour ivresse à) No verié- Bees 1930 De ta petite amie b 1: et tantôt composées Contributions accrues e + oct go à années
772 par 100,000 consomma Vie Bk ES gs fe Have us > 6 a dan a production de
tion movenne de 1951-1952 s'éta Voici la proportion de conson armen BR ANGER le meilleur moven d'éviter la mo. Qu Fonds de l'Enfance hr abohr domestiques dignes de
blit à 1.48 gallon par habitant. mateurs selon divers facteu rade V-A e. Et la composition v ga è *
Po 1951 a proportion d'al l { le St-Lo mouvement et de l'intérêt NATIONS-UNIES N.-Y gr ol g P rem inutilement
parte Le ‘ 201 " es + “ L TER g : OMR FE s de Ia constipation un jour
hobiané pet L.: du pin Le à 20 ans, p 1e St-1 S, SASK { 5 os s maintenant que : pe dors me) pr art a D os plus! Fake comme tant d'autres
tions D vresse, 861 s Vo se composition er ques faute compris celui au al on \, ont font: prenez le Novore dn Dorteur
En "1952 la proportion d'al téressants Nous allons exarnr 1. (a I faudrait dire je se un total de $14,245,000 au dns dont l'efficacité a été indéni.
cooliques set ee t a 1,629 par : DEA SE 79 ner € nble et voir que en n décidée à t'écrir u, nds des Nations Unies pour prier qu Pt 4 par de nombreuses
- - + € C econdaire 7 LT pr u ù À ment ai décidé É années de surcès,
100.000 habitan Anciens d'écoles primaires , , . 65% SOr es principaux merices nfance au cours de l'année Achetez une } ill
Comparaison avec l'etranger ar PARA .. + La première qualité d cette 3, soit 36 p. 100 de plus qu'en | même. Si bn À pére enouré tel
Le Canada occupe le sixième Non L ébés .… composition, clarté. Clarté 1. (e .. que tu seras mieux pe de Novoro près LE LE T4 nd
rang pour l'alcoolisme, d'apres Voici 1 sa es ras À b d'abord dans construction. | bien vite adverbe vite ne va vi ù Log hash a pr. cues frs ecrives
statistiqu? à 1948 que voici 4 oICi 1 proportion ke stemes | Voyez comme cela est bien dis pas très bien avec le verbe L'Ethiopie, l'Iran et la Jorda- pe cevoir notre re d'Essal
: alcooliques eur 100,000 | Selon le peuplement des diverses | posé, bien ordonné. Vous avez|ètre. Changeons l'un ou l'autre nie viennent d'annoncer leurs péciale
ï regions | quatre paragraphes. Or chacun|mot et écrivons , que tu seras contributions à ce programme FOUT TU rmSr «
Rues lon de moins dé 16.609 habitants 330 | d'eux ne contient qu'une idée! bientôt mieux” ou que tu L'iran a donné $5,000, la Jorda- Envoyez ce coupon “Offre |
Danema k Les de 10.000 à 100.000 Habita 28% | principale AENS le rétabliras bien vite” nie a promis $1,400 et l'Ethiopie | Spéciale” Maintenant |
anada les de Fe de 100,000 habitants 24% 1. Comment va ta santé? Nous 2. (a) On dit: les examens de est engagee a verser pour ia | O € Inclus $1.0%, Envoyer moi |
D F Voici les proportions compa-; avons hâte que tu reviennes tra n'est-ce Das? : première fois au fonds une som franco de port une bouteille régr
ourcentage de consommateurs ,é6es de buveurs du Canada et à Demain. les examens del 1" : Ace. . [me de $8.000. | liére de 11 onces de NOVORO! |
Voici la statistique des con- | deg Etats-Unis: be Mc Û 2, (b) . que tu sois mieux ; Eve
sommateurs par province, en Hommes Femmes | T2NCaIs À bien vite’: même faute qu'à 1 (e) Parmi ces contributions gou | |
1952 anadé 2% 76: 64% 3. Ma grand-mère a été malade. En plus répétition Varions le vernementales qui constituent Koin
Colombie-Britannique Etats-Unis n 70% 47, 4. Dimanche, nous irons te Voir. | tour, tout en évitant la faute 88 p. 100 du financement du |
A ri 1 Cela est parfait. L'élève a com-| 3.'(a) L'usage aujourd'hui veut | fonds, c'est la Nouvelle-Zélande |
repart Z P k pris qu'il faut, dans une compo- que grand-mère et quelques au-|qui a verse la somme la plus éle | Adresses vtistsesessimennsiée
Pr es Maritimes enon ar sition, clas ses idées, ranger |tres locutions du même genre, | Vée par habitant, avec un total "4
v P L L Cù et li en p grai es celles qu M cs composées de l'adjectif grand et! de $140,000, tandis que la princi | Bubèsu de Poubs 4
oici la stalhstique des a!C00!- 2 | . |ensemble, La clarté l'exige. Au-! d'un nom féminin commençant! pauté de Monaco se trouve au ra
ŒNOR RAT) PEONIDEES ROUE SRE La DR à pepe + 3 "Es +! ne trement, sr serait pes une | par une consonne, s'écrivent Sves roisième rang des contributions | DR. PETER FAWRNEY “ pps co. |
me anneé gieuses couven A en 1 r is ur uiilhi i . n FE 7 CE £ ne 11 a! : 1 1 ep 52-55-
Co r pat 100,000 habitants | Diaisir de recevoir leur Supé-| ns ne rad PPS ea 1 4 le trait per À non pas avec per capita, dr ve de eh | dA:IL Reésiiser Avédbe. Olens 4e 1
Québ louta _CétEntn de “and Al temarquez € suite comme Îles | l'apostrophe Autre remarque | Les Etats-Unis ont la deuxième [258 Stanley Strent, Winnipeg, Man., Canada
Ontario cette occasion, nos religieuses re- paragraphe s son bien ordonnés ici: le temps du deuxième verbe | place par rapport à leur popula- ee ee mm mm mm
Dore | vétirent : léut A SUUaRT NAN |antre eux: le premier sert d'in-| est défectueux Si, comme on|tion, la première place comme
Manitoba LdadttieniTe He Advédues nécessai. | 'oduction à la lettre, le dernier | nous le dit à la phrase suivante | pays contributeur avec $9,814,- FHSTS SRE
Sask. res pour “Literie AUS exigences | conclusion. Ceux du centre (b), la grand-mere est mieux | 333. Viennent ensuite la Thaï-|! BESANÇON Mgr Maurice
pes: Ep temps présents ” |constituent le corps de la lettre, | maintenant”, il faudrait écrire à | lande avec $573,538, le Canada | Dubourg, archevéque de Besan-
T.-Neuve MM. Albert et Charles Soucy:l}° développement Cet ordre n est | (a): “As-tu su que grand-mère avec $507,614, la France avec çon, qui avait été frappé d'une
| nur: 70e : [ ge Y| pas l'effet du hasard. Au con-|avait été malade” $500,000, l'Inde avec $315,000, y rh PF
Voici comment les goûts dulet Henri Fortier sont allés en |traire, nous pouvons aisément af-| 3 (e) Georges, en français, | le Royaume-Unt avec $280,000, crise cardiaque dans la nuit du
consommaleur ont évolué depuis | YCYage d'affaires à Prince-Albert, |, que l'élève, avant de ré-| prend une s. Ensuite, vers la fin! l'Australie, la Suède, la Yougo- | vendredi 29 janvier, est mort di-
187 à la fin de la semaine dernière. | diger sa composition a eu la bon-| de cette phrase, le verbe a eulslavie et la Suisse, {manche à l'âge de 76 an.
1871-1900 Sont allés à Melfort pour af- ,
Boissons fortes ...., 7a° faires, MM. et Mmes Etienne Po-
piere TEE er |: tié et L.-P. Hudon et Mme Lau- |
FF 151 dnate nt dia Qu | rianne Duperreault. |
Bière 0000: 58% Mlle Rosa Gaudet, de Belle-|
Boissons ob. ES à 4% | vue, passe quelque temps chez |
1941-1950 Ve Ve Lt | ses soeurs et beaux-frères, MM. |
Bière NS OR [et Mmes Alex, April, Fernand
pe tte ce A YO 27 | Favreau, Lucien Joubert et.Ray-
s FIVE sh mond Chicoine.
€ order. PECRARAOE"T M. et Mme Jos, Dion, de Vawn,
nellement, CORNE 10 plus de | étaient en visite récemment chez
bière: 71 p. 100 des breuvages|}e,;< soeur et beau-frère, M. et |
alcooliques bus dans la province. | Me Omer Hamelin pour une se-
La Nouv lle-Ecosse consomme | maine, Ils ont aussi passé quel- |
la proportion la plus élevée de ques jours chez M. et Mme Jos. |
ap gt et de vin: 39 et} Fortin, oncle et tante de Mme J,
11 p. 100, respectivement | Dion, et autres parents. |
La consommation mesures | M. et Mme Amable St-Amant
en alcool pur {sont partis pour Coleville où |
Voici le tableau de la consom-| passeront quelque temps chez
mation mesurée selon la teneur | leurs fille et gendre, M. et Mme |
en alcool, pour 1952 Bertrand Beaulieu, et leur famil- |
Ontario ..:..,: sa 1.62 gallon |le. Ils visiteront aussi leurs au- |
Alberta .,,,: 1A1 par tres fille et gendre, M. et Mme E, |
Dieter .:19 naPitant| Gerlinsky, de Carmel. |
Saskatchewan . : : : : : : 1.08 ” | M. et Mme Eugène Leblanc|
Nouvelle. Ecosse 0... + 0.95 ! sont revenus d'une promenade |
Le rapport ne donne pas dé |d'un mois chez leurs fille et gen- |
hiffres pour les autres provin-|dre, M. et Mme Arsène Rabut, |
ces, sur c2 point, mais établit | de Domrémy. Ils visitèrent en mé- |
cependant la consommation moy-| me temps d'autres parents et|
enne du Canada à 1.48 gallon. | amis à Hoey, Bellevue et autres |
Voici la répartition des alcooli- | endroits. |
ques selon les sexes, à diverses Mile Rita Chabot est de RL
epoques, par 100,000 habitants: tour chez elle après une opéra-
“ARE ES Hommes Femmes! tion subie à l'hôpital Victoria!
1901 2.084 425 de Prince-Albert la semaine der- |
1921 1.043 230 ve
1931 1.118 oo |nicre. : : 2
1951 2 627 525 M. l'abbé Armand Arès a fait
un voyage à Prince-Albert au
ut
SUR LA VOIE PUBLIQUE
Toutes les quinze minutes, un Canadien est gravement blessé dans un accident de la
circulation. Toutes les quatre heures, une personne est tuée. Toutes les deux minutes,
un garde-boue est enfoncé.
L'assurance ne peut ni rendre la vie ni adoucix la souffrance. Tout ce qu'elle peut faire
est d'alléger les charges financières provoquées par l'accident. Mais même alors, les
frais sont élevés.
L'année dernière, les compagnies d'assurance contre les accidents d'automobile ont payé
plus de $75,000,000 en indemnités — et ce n'est là qu'une partie de ce que coûtent
l'insouciance et le manque de courtoisie de nombreux automobilistes,
ALL CANADA INSURANCE FEDERATION
porte-parole de plus de 200 compagnies concurrentes
d'assurances feu, automobile et accidents.
PAGE DIX LA LIBERTE ET LE PATRIOTE Winnipeg, le 19 février 195A
. HADIO GRHAVELBOURG
1230 Kilocycies
Séance dramatique et musicale
Chronique de C(FRG
P d’ h | 11 fé VENDREDI) sx a sar-dessus
400—Un cenretien de- Du lundi eu samed ‘
ri ne 1230 Kilocycies | vant S. Pau \ “ ent S00- 1 ve Fe
a ru omme, e 100=Les dix succes inclusivement _ personnages
LUD'HOMME : out Qui!! Lake. étaient en visite chez Changements a l'horaire ! ses” qui avait lieu à Gravelbourg Een sfo-rournar 6 5—Ouverture 6:20— Nos ue
de l'A rrisle et en l'hon- | le nombreux parent L'émission “Carrefour” de Ra- | dimanche dernier. srrefour | 100-—Sur toutrs les
. ! 3 s t : ù + 0 compto:r u
je Mgr Pierre, de retour M. et Mme A. Lepage et M € dio-Canada, qui passait sur nos On e lé prie : À M, Mucg tnt disque RE : vu le
1 \ P Fra e séan-|loiselle, de Detroit, Mme Edgar ondes le mardi à 8 h. 15, vient} €£T que l'equipe ces réalisateurs SE lu mal 13 Ch D Poonès
| tiq : nusicale eut! Caillé et M. et Mme André Le- d'être remplacée par une nou- du programme ue ru nos me — 8301 x
’ ' … salle paroissiale ! page, de Windsor, étaient en v velle émission intitulée: “Les! Paroisses se preseniera à Mont: 820— Passe-temps murs k 4 :
eud { parents et amis l'affair:s de l'Etat”. Cette nou-! Martre, dimanche prochain, 21 SAMEDI 845—Je vous ai tant N veiles
: velle émission, une gracieuseté | février. : 655—Ouverture RES promet TR" du jour
! e, de l'ile à la du Service des relations exté-| Nous remercions cette parois- | 7.00—Radio-Journa! _ Asxinibois 1000—Fin des emisions
à x M t te chez M. et |rieures de Radio-Canada, est| 5€ qui veu’ bien participer à cet- Hier La Fi 2-30— Bulletin de LUNDI
, Ja 1 1 cpage composee de discours par les | pd emission, Nous sommes con- 815—Manchettes des re ” ee. se ; H » "
‘ srimard était en chefs politiqu:s des partis: Libe- vaincus qu'elle remportera un nouvelles 10.00—Parade de ia ee _
pie P« PT es à St-Brieux ral, C.C.F.. Crédit Social, et Pro- Vrai succes à cette occasion CAEN Te mas | ù ie
terprétée p L Oneil et Adrien gressisteconservateur. Remerciements 900—En parcourant LL te
et de Berthe Lepage Voici l'horaire de ces émis- Nous remercions chaleureuse- Assiniboia | 10.50—Signai-Horaire S60- Recto + À
ér. ln fé Mi + rendaient à Gravelbourg der- sions ment tous nos auditeurs qui s'oc- 4 ER Ep 1100—Quelques valises Sucre —
Ji ceupait du! nmiérement, à l'occasion du 25ème Libéral — 2 et 23 fevrier, 16, cupent de remercier les comman-! “les jeunes! RE re is = n s.30— 1 Ce ch ‘s
4 M. læpage, qui! anniversaire de mariage de M et 30 mars, 13 avril, 4 et 25 mai, | ditaires de CFRG. Même si tous | 1000—Nos étud au | 1200-L'Angélus EE
ser de Derson- | et Mme Dumont Lepage 15 juin nos auditeurs n'achètent pas,|,,,, Micro (CFNS, | 1202-—Quelques retrains la CB 3
: Vésule ” et n DR£é D Ho 2 dit À C.C.F. + 16 fevrier, 23 mars,! pour une raison ou pour une au- ". Uiiéachoner FER Fouven es MARDI
3t-De q ent « grand | Gravelbourg, derniérement, pou: 20 avril, ler juin tre, chez tous nos commanditai- | 11u0—Piano populaire | 100 Randonnee à 1.05 er de
mbre ette séance assister au sacre de S. Exc. Mgr Progressiste - conservateur: 9 ]|res, ceux-ci sont toujours heu- DER pere Le og N Ponteix Radio-Paren
Mariage A. Decosse février, 9 mars, 6 et 27 avril, 18 reux d'entendre dire: “Sapristi,| !°0—£Sandonnee à \2--Qtuéio A FA COMpRO
2 e -m darsc ra
er à été célé M. et Mme Emile Préfontaine mai, 8 juin. nous avons entendu votre annon- |. 136-Studio A pe Lo M or 4.00. D jolestence
+ . : . p n & | 215—Radio S -C De adolescenc
F ie t passé une semaine à Mont : ue s Credit Social -- 2 mars et 11!ce ce matin sur les ondes de ‘no-| 300—Les talents de | 230-Lafièche . . . se 41ô—Femmes celebres
” . ‘ à ‘ . » », : 1os aro 5 1 00— Us
1 G Miie Berthe | martre vez leur f M le D Un prêtre catholique, Mgr Bela Varga. a récité une priére mai. \tre’ poste”. Il faut toujours être! 409_Radio-Journa) 50 fntermeu " VHid joue den à
B l - Lionel] Préfontaine pour le cardinal Mindszenty, à l'ouverture d'une session du sénat Autre changement prêt à se déranger un peu pour! 410—Une tasse de thé | 390—Bulleun de out eù deg lettres
Va-et-vient P eurs de no ‘ té americain L on voit ici Mgr Varga, à droite, causant avec M. Ri. Pour un changement supple- | encourager nos commanditaires 430 en 4e cd t 305—Onze desennu 81s Ler affaires de
( y pitalisé 16pita 1- chard M. Nixon, vice-président des Etats-Unis. Mgr Varga a déjà entaire à son horaire, nous pri | et tout naturellement, nos com- D enaasennentes et l 330Chefs-d'oeuvre de RE
p 1, et t Ce mit: Mile ne été l'’orateur du parlement hongrois, (NC) Fr viéi audit ré de d'aûrtaer patriotes. 500—Notre français | à pt RAS ce
() Painchaud : innette rimard à | : ” » "F2 1 Quilles sur le vif BR 00. | .
tas À 1 ENT mod Doiitue à M. Arthur Bouffard. Celui-ci Srillants sut nos ondes. bril-| 41t-#ents 430 Une tame e | L'orchest
’ M. Hervé Po v » : st un rateur J ièr "he + LE «ai 30— samedi des rhge
our act: M Camille Florizoone, cet un opérateur de p emière | jamts sur les allces de quiles| °° eme ce | 440 ième | | wencaros
La- quarantaine en tout bravent le de Ca der à Mad 1 ° Jeannine Fournier, Madeleine 700—Au crépuscule 5.00—La evue de 10.15—Fémine
, et les tempêtes pour alle pas, demandez à MAGRIEINE , .« .| Grenier, Claude Maltais et Guy| 720—Nouveaute dram l'actuali .06—Dans le bo
: : bd … : n ù . ë ASE ù 8.00—Concer 1 rpg ten
, soda 7 ve red de Don rem est décédé DT Re cG Parissau. En effet, ceux-<i ont LAS rate des pm Mg v g 6 rh 4 00- A ture
Y, CFRG remercie tous les audi-! remporté de haute main la vic- sports pre valut 1.30-—Les idées en
ter rave! l ire s Ù ‘re jioute 9.00- Samedi soir en - t : na €
L . Lé . ” ÿ ; eurs de Grave'bourg pour le! toire lors de leur première joute pe 00 en 5.45—Concert apéritif PE ,
n l u nl à DOMREMY ; La paroisse de! Decker), de San Francisco | franc succès qu'ils ont fait de la | de quilles. De grâce , ,, conti- 9.50— Musique bai PR SRE oCan ne a
af ie e C r e Domr:my perd un ancien et Elise (Mme Détillieux et soirée ‘Talents de nos parois-' nuez! 10.00—Bulletin de nou ST UER CS où se d homme
cell t r ssien an a D "4 me Arthiür re . ù 615-Gravelbourg sur
excellent paroissien dans la per Mme Arthur Détillieux) de | —mmmmmmmnmnmmereenrimnmmess assiste a é es ondes 900 La boîte à
sonne de M. Camille Florizoone,' Prince-Albert: un fils, Jérôme, de i né 5 45—1 heure du chanso
syri r décede le vendrdi 5 février à: Vonda, Sask., et plusieurs petits- 10.30 —Sigmai-horaire chapele! dan 2 Tir: _
à e dde 1 hôpital Ste-Famille de Prince- enfants * e * . T4 1100—Le quart d'heure | 1000-—Bulletin de nou
Albert ü U 4 / F / % de Ste Anne ————…—— 4.00— 2.
‘ Le cl a: ds dn ft Remerciements CT A /I 1) & ue eo 4 LS 11.15—Radio-journal 415—Mus A
HF! : " ‘ é sont rendu Æ Cne ï di pal À, qui ademeurali Les familles Florizoone et Dé- 1120—Intermede musica) 200—Pot pourri 1.00—C1
14 fév 1 à la salle pa ’ affaires avec sa fille, Mme Elise Détil- , Nate détient à mire Fe M k 11.30— Boston Pops 2.30—Le sel de la terre 1.30—Bapti
ro ile u partie de carte I MA t Mmes Antoine Rou ieux, était né le 4 février 1865 Obs L me je” si te ; ds. 1170 Kilocycies 12.00—Les institutions 300— Talents de nos Marian
ée pa fan l .| sel et rt Martin étaient de: en Belgique. Il arriva avec sal 7 "tes por Ré ‘ > É ’ TOUR pren | SASEarreious
& _P } 5 1 a Lt « + lg ai» Ma mess di den on mè dr mé Canaë en 1908 de. gnages de sympathie reçus à l'oc- La semaine dernière, votre! non Park. Nos gens ont éte reçus pee FH Dr: Log ou 400—La musique | HE" HR TSORAneS
to Arme ‘ i Dona em passage à Souris, &é J »rnier, | 4411 al hr der: ut ù Red 6 we pros : à ES st 1 ta 3 ; à à 2. JU: 03: | armi nous | de \omme
ES NE phèt eo € our nr MM et Mmes Georges Mago. | meura dans la région de Périgord casion de leur deuil. chroniqueur a fait une erreur sé-| comme des rois et la foule en-| 60—Béatirication de la | 4.30—Les plus beaux | 900-Au Café Concert
porta É } FA d'u Chère 0 allés | plusieurs F et. de 1934 *à Cà et là rieuse: il a donné le nom d’un/|thousiaste a versé un montant! Rév. Mère Léonie | disques | 930—L'abum de RCA
Ü M. Geors 1 gagna le|tiaux € ai regorge sont allés TES ". : è : rende À . se con: | anti > eur des di 10 ee : Match intere ficto
Fr A A 1948, à Domremy où son épouse $ Mgr Lév Blais, évêque vendeur que personne ne con-|substantiel en faveur des diffe-| 1-—France-Dimanche 5.00—Match intercité VO
naît ici comme vendeur, c'est-à-! rents concurrents nombreux et RS ES CNE BE
pi l'ent { tre b ts! a Régina pour affaires Jo ; ] héan à
le $10.0 g és par M M. et Mme Stanislas Paulhus ! g tr HELE porn ere A 4 part ne Pr rss Bérubé. En realite, il aurait | bien préparés. L'émission de Ze-| BADIO PIE A IRIES:, VOND
| Morea M Lucienne nt passé deux jours à Brandor a a 4 « "rc à F
vive l tte Wilve Î et, en revenant, s'arrétéren é Domremy le lundi 8 février. La rement, l'hôte de M. l'abbé A.-J. D Rp, + ge rare qu À nes ra pr Br Du ver EN”
DS A à Li tértes El iouiséb Virden chez M. Clovis | croix de deu portée par son | Houle ube est en dehors du poste pres-| prochain, 1 evrier, à . de} 1170 Kilocycles
PAPE: MAN re ; rs RUE. d titifils s le K F : a 441 } que continuellement, son nom |l'aprèsmidi. La série des ‘Ta-! à
le gà ( min nard, frére de Mme Ent petit-fils reli le K Louis Nos félicitations à M. et Mme pr re ‘lie , hez " briti VENDREDI 330—Prog. ukrainien
: + eng 4 ; Détillieus di collède:| Euxè#fe Bouti di 45Heù | nous est moins familier que ce-| lents de chez nous” se continue- Ô Ju 1 Qobcla fivsiqu
ge - lent de passage à Bellegarde! Ann ne es Hortéure Iuren tte Très le Nes Pop eh d ntune! ji des autres employés, mais | ra avec l'enregistrement qui sera | 1235—D'une paroisse Du lundi au vendredi parmi nous
ne rêu n du de |: a Eamonton, Le rteurs furen ù » fille » huit mois 1 les à r F ë : autre : ; | F
1 i voit 1] I un on du CR C de la MM J "es Er F Vide " petite uie de huit mo dont le nous tenons à lui rendre ce qui fait à St-Louis, le dimanche 28 à 26 à LE € | inclusivement 430— Doctrine cath
i lont plu- | région no 2 de la Saskatchewan: | MM. Joseph, L ictor ét An- parents périrent dans un incen-!, : uit pige "#77 os 5—Sérénade 5.00—Match intercité
” ; i Détillieu: t Pa 1 lui est dû. fevrier, chantent 6.45—Serénade ‘a
le Hedve avt M abbé Arthur Marchildon, ins- ARR 1% : à dé Pa 7. 7.00—Prog. allemand OA Pt PER | ke se w É NT ”
( ‘ l bbé A. Vanden- | pecteur d'écoles du sud manito- l!Z00ne, tous petits-fils du défunt M. Philippe Bremner, du C.A Chantez ... Souscription 1.30—L'âge de raison horaire eo, PPS
4 D + Es ain 18 D J:Bordet PM. fl lnisse dans le deuil 4 filles | RC. stationné à Ottawa, fils del Dans le #ii B | P 8.15-Carrefour 1.00—Radio-Journal 6.00—Radio-Coliège
k à ÿ s : he , Peu ares] US ER l'an - 5 | ans le film de “Blanche-Nci- Nous n2 vous avons pas parlé! 830—Initiation à 1.05—Bonjour peur te À lres
te St-Hubert, et M. l'abbé Domini- | Maria (Mme Leroy), de Rose Val- M. et Mme Jean Bremner, est|ge et les sept nains”, on chante | de la souscription depuis quel-| l'orchestre __ compatriotes! £ etoiles
que D igas. ley Sask., Art mandin e {Mme en congé chez ses parents, En|“Sifflez en travaillant” is s : ai F gl 900—A la console 145—Prière du matin 1.00—Théâtre canadien
se il doi ed a] rad 1 ez e al nt , mais sur) que temps, mais ça ne veut pas! ; 30— Récital 8.0u— Nouvelles 8.50—Petites symphon.
M. l'abbe l 1, accompa qu s, 11 doit prendre le PAPERS les ondes de CFNS, nous présen-! dire que tout va bien dans ce do- | 10:00--Nouvelles et fin | 8-10—Intermede 900— Musique pour tof
n ) Samaria pour un séjour de deux tons, le matin à 9 h. “Chan-! { 5 ù / 8.15—Bonjour 9.30—La fin du jour
tons atin à 9 h. 05, “‘Chan-| maine. Nous croyons que plu- des émissions DDR lbtes 10:00--Nouvelles et tin
des émissions
gr e M »be KR. Ducharme
TT ; 1 - Rss ans en Allemagne, « | tez « rai ” / in- | &i {
at sente ve Réunion mensuelle de la LFC de *°" "777777" men Nourrounine eur a nos audeurs Go Poe sam | 20e gun |
retra EE ME |vitons à ne pas manquer cette tés à croire que leur ‘‘effort de aimé LUNDI
| 655—-O Canada ÿ.00— Nouvelles tps
‘emission de chansonnettes fran-| guerre” a été suffisant. Et pour-
1 : s rh nes EM En 1 de 0.15—Fémins
© Val Marie çaises tous les matins pour en- F 7.00—-Radio-Journal 9.05—Chantez en AE Léo
et Mmes Félix Sylvestre à |
rges Magotiaux et MM. Ro- £ | tant, il est certain que CFNS ne! 705—Bonjour, travaillant | 12.35—D'une paroisse
" Moisson, Arthur Wilvers et as à oon enue e evrier v: ÿ tendre vos artistes préférées, | pourra pas acheter un émetteur compartiotes 9.30—L'orgue populaire à, l'autre
LA a-et-vient €omme nous avons plus de chan-| d2 5 mille watts avant plusieurs! ?4-—Prière du matin 945— Artistes lyriques 430—Cordes qui
Mme Frank Spiess est revenue | sonn:ttes que de musique conti-|.anné I l'a #.vu—Nouvelles 1000—Au fil de l'heure Ever
SASKATOON SASKATOON stmaitués AUTS fai SE PR 2 “A Ê ss €: es S années, au rythme où l'argent! 8.10—Intermède 10.30—Quatre dans un 100— Amérique latine
SASK: à Ææs membres | Jacqueline Lacroix, de Prin-! de Moose Jaw, samedi dernier, | nentale, nous pourrons vous don i i | 815 59—S 7.15—Bal
ke Sp ART THE rte : mL "net ÿ NTM ernier, | nentale, NOUS p ons \ -| entre depuis quelques mois . . .| 8.15—Bonjour, 10.59—Signal horaire 1.15—Bal musette
de la Ligue des Femmes Catholi- | ce-Albert, après avoir passé une couple de|ner ainsi plus de variété d'une s Pr à compatriutes | 1100—Musique à trois 1.30—Don Caämillo
A C Ile | ques de la paroisse des SS. Mar- Éd semaines en visite chez sa fille, | semaine à l’autre. L'hture: 9 h.| . Nous espérons encore que d'ici! 9.00—Nouvelles temps Rating
u le] ege re: Citation rit Tout PêU: Mile Thérèse Masson était de. Mme Philippe Diacon nn À de AT jusqu’à 9 h. 80, pour quelques semaînes, plusieurs de 0.00 Visite à la 11.15—Radiv-Journa) soie °hog des idées
“= ÿ x . M1 li 14 , . 8 £ . HU, n js sci » ME 5 f — À ay »s gits
S Th M nion mensueiie 1e dimanche 7 fé- passage à Ridgedale, Sask., chez Ont conduit je club de gouret ‘‘Chantez en travaillant”. nos bons amis nous enverront des 9.30—L'école du ‘Bush’ 12 Revell rural 9.30— Programme
t. omas OF srier. M. l'abbé O. Lacroix, curé | sa soeur, Mme Fernand Neault, | ravis 1e club a gouret | pe pale Nr | chèques qui nous permettront d°\iutu—Cuncert vopuiaue | 12:00— Nouvelles sport ukrainien
et chapelain, était présent, I] fut da —— d nior à Blumenhoff, dimanche] pepe D le donner avant trop longtemps à | 10.%0—Père Paris 12.10—Rapport des 10.00— Nouvelles et tin
Le dimanche 14 févric au | décidé, par suite d'une résolution, Ÿ: rnier, MM. Alfred Duquette, Dimanche dernier, l'équipe de | notre auditoire le s:rvice parfait | MAR TR l'ipas: Us den: QMIeNURE
Club Newman, nous eumes l'hon-| d'envoyer une carte de félicita Wolseley bre Barron, Clément Grand et! CFNS se rendait visiter une gros-! qu'il attend déjà depuis plus 1115-Radio-Journal 1225—Communiqués et MARDI
neur et le privilège d'avoir com-|tions à l'occasion de la naissan Armand Quessy. se paroisse canadienne- française | c'un an. Qu'en pensez-vous, chers 1125—Interméde n. rég | 12.35—D'une paroisse
me orateur invité au déjeuner-|ce de chaque nouveau bébé dans] M. l'abbé L. Savoie et Mme F. MM. Omer Clément et Arthur du nord-est de la province, Ze-! compatriot-s? HM--Denueue ds | reel di su—Grands pianistes
commu! + le R PSV acho- | la paroisse, 1] fut aussi décidé Savoie allèrent à St-Boniface as- Labelle sont partis la semaine # CERN ENAESEUT HN + ADR ad MS RS 0 To Spiritwood 1.00—L'heure de 1.00— Amérique latine
VER 0! ML, provincia + O- d'avoir une soirée paroissiale le | sister aux funérailles de leur tan- *erd pour une promenade LAS 2 55 Sas de ÉrAge"AIDerS 1 30 Rev DU dir dés
blat e la province St. Mary's. ! dimanche ? bovidé Hahs 14 eat se sle-cneiir ans les »stEtats-Unis et le Æoville 200—Boulevards er am rh de nl
its € pro ax } dimanche 21 février, dans la sal-}te et belle-soeur M ps sud des Etats-Unis et le Soirée-sur rise en l' honneur de 130—Un peu de tout SSrietens 8.15— Carrefour
Mexique. | 23u—Radio S-C 2 30—Radio Savre-Coeur B30—A travers le
Le R P YWachou . P V2 Rs É :
Le R. P. W 10WIiCzZ a assisté au |le de l'école St-Paul. Les capitai- | Mme Emile Therrien, accom-
M. et Mme Roland Svyrenne, 245— Accordéon 245—Piano populaire temps
S300—Concert sytmph
qu géné al à Rome, l'anines des cinq cercles acceptent la | pagnée de sa fillette, vint en fin M À . | 3.00—Bienvenu Sask 3 A lad
passé, Il nous décrivit son voya-|charge des responsabilités de semaine visiter son frère ma-|4insi que Mme Antoine Dunand| t 0 e e a PARA EONS, es 300—Aux malades a sd Pr
à 4 P ot ge l ÿ 0] e me e urni F, e r n H Re Neue 3.30—Bienenue NP TON TRUE ETES
l'Italie, la France, La présidente, Mme A.-L. Le-!lade, M. Henri Cormier, et au-|e€t sa fille, Jeanne, étaient en vi- | 415—Echos Saskatchewan
st a L]
Espag et le P et dé-!G pi à #1. : lsite à: Jui os + . } Ç U
: | | Gars, remercia les capitaines, ain- tres parents à Wolselev et Sinta- te a Swift Current, la semaine ! s ù ; (| —Petit concert 4.00—Radio-College
peignit avec viv lieux, | si que les ro pour leur | luta, | dernière. ‘ FERLAND — Une agréable | vi:r, de Gravelbourg, M. et Mme 00—Notre français | 415—Radio-Collège Aa nai REDI
et »biets « térêt 4 “yet ph Ste à à | F x 21 is * soirée-surbori anisée nri ri isieux 5—L'orgue populaire Jeudi: 'ches Femina
Hs. ndlr e Te VUS! coopération et leur bonne vo- M. et Mme Adélard Rioux, de} M. et Mme Jean-Baptiste Bleau | SOITee-SUTprise, Darren Le APRES Le ré ro Vénus En | 5.30—Les dix FUCOËs David Roc) pd 12.35—D'une paroisse
penda 0 ice, Sa causerie onté Min brrra rite DATA 6 He sont bartis pour un voyage de!leurs enfants, réunissaient les | et Mme Jos. Bouvier, de Gravel-, ÿ 50m à3t . | à l'autre
"1 lont ntmarire, passérent une cou- 1 a ATEN JYage her : rt 4 1 __ _m usique à emps 445—Un homme et # EX L.
+ À noie y ot , tive Election annuelle ple de jours dans les familles Eloi | Quelques semaines dans la Co-|parents de M. et Mme Louis! bourg, MM. et Mmes “phrem, 6.1»—Nouvelles son péché | #30—Cordes qui
{ut vraiment appréciée par tous. e nds: .. let Emile Tourigny et Mme A.!lombie Britannique Fournier à l'occasion de leur|Bouffard, Alex. Laberg:, Char-! 65—Interméde ne: 4 NE 130-140 6 marche
Il est à espérer q e À P, Pro L'élection annuelle du prin- Laplan ” Fe s AC Mme Réel Leonutt ot quarantième anniversaire de ma-|les-Henri Fournier, Avila Cha-} ne Ro die di s 15 Ven Minirénide 815—Divers
ncial reviendra nous intéresser + "ut lieu du semaine à M: et Mini Jos. Malsch oi Léo. | Xe EE M te it pastis pe + En riage, le mercredi 10 février, à | bot, Louisa Bouffard et Leonard | 705-Opéra et opérette 530—Pour les barbins sr Pot du soi
‘ncore sous pe cole Normale exécutif él ; | : CHE PURE " Get PEUT LEH EURE Lie Û » | 4 ssistérent . 6. | 7.30—Nouveautés | Juu—Les peupies et
encot 1s peu, a eve M nard étai ent les hôtes de M. et|ge à Morinville, Alta, dimanche | leur demeux LES LES HUONES assistèrent à cette cé-| 73 péter ré Hire sans tech | leurs Déncans
Le R. P. Bis:tyo Edmond LeG: s dé ‘Sachalann: Mme A. Pitre, dimanche dernier, | dernier. sage, es € pres | euIon, | 8.00—Tout le monde en 25—Intermède | 10.00—Nouveres et fin
« :dmonc ÆæGars, d# Saskatoon x LM Es E une montre à chacun de leurs pa- | place 6.30—Le chapelcet | des émissions
Dimanch: e R J.| vice-président, M. N. Schultz, de B Nue Conan jee el all hong vrai rents comme gage d'affection et | Va-ct-vient 830—Magazine des 645—Sérénade JEUDI
Bisztyo, de la cathédrale ’aul | Waldheim; secrétaire, Mille Rut} onneville et M, #t Mme Henri 10r65, sont alles en promenade à | 4, ec aisse i | i sports 8.00—Racio-Journal w :
ie Saskatoon, "us montra des | Qu: Je Saskz ps. : AS cl Coueslan visitèrent Mme Lé Régina, la semaine dernière de reconnaissance. Parmi ceux | MM. et Mmes Albert Forcier | 990-—Musique muderne | 10.00—Nouvelles et fin | 1 —Variete 1HC
. FA! juance, de Saskatoon; trésorière, Cover Ai Ml Adèle B pi Les famille” Alek Schmidt et | QUI étaient à la soirée, mention-| et Elphège St-Arnaud étaient en! 9.30—Chansonnette et des émissions 4: —Grands pianistes
s u à p t en es Juesian et Miie Adeie énard| , °° mi A1 EL: 1 € ; s Ame Nan i er. | sie: M + tie variété 7.00—Amérique latine
vues consistaient de paysages ita aux hôpitaux de Régina. Gordon Watson sont en promena- | M PANNE ri guy Sbert Mar. | visite chez M. et Mme Aristide | 559 Kouveiles et tin 1:15—Bal musette
liens, de scènes dans plusieurs Gravelbour Ut ANS Col Ke de à Mailta, Mont, chez M. Ni- , 32, Et 5 u Fournier, dimanche dernier. 1:00—La bonne chanson 7.30—Baptiste et
DS eu D US : g M. et me Gerard Mailhot et colas Schiat cotte (Angéline), M. et Mme} La Ré s RAT, DIMANCHE (Talents de chez Marianne
bar . iriout de pnotos du eur fillette passèrent une couple AN at AR : Louis Fournier, jr, M. et Mm:| a Hev. soeur Marie-Hose a| , nous) 8.15—Carrefour
Vatica Le R. P. Bisztvo est né Milé Jeanne Fiset ‘file dé M |de ous chez 1 ie Mc M. et Mme George MacAulay, Doi (H Je t 4 | dû aller à l'hôpital de Ponteix et | 11.00—Chant religieux 1.30—Quelques valises 8.30—Connaissance de
en Hongrie où il fit ses études pri-|et Mme Lé id Fi Papers queen à € D d Z ieurs parents de de Birmis, Alta. sont en visite | 22 onauer (He ene), 1o:s de} les Hé € Artl Mari t 11.30—Mère Marie- 200— Doctrine catho! l'homme
vi PS ar gs pri- | "me Leopo iset, est partie, Régina ‘hez M. Ephrer Tatiot: ù Meyronne: Gérard, du Collège | les Rev. Soeurs Arthur-Marie et} ? Léonie. 2.30—L'heurz polonaise 9.00—Café-concert
na res, Il étudia à Rome pen-| pour Hamilton, Bermudes, où elle Mlle Florence Bonneviile vint! 2€ M. Ephrem Lebel de Gravelbourg, M. et Mme Gas-! Marie de la Providence sont 1200-Hadin-Coutse 3.00—Conférence mis- 3.30—Concerto
ape la pus: re i : € % cestia VE 8 ap ge FA en fin de semaine chez ses pa- M e: L evueg Giave va pont | ton et Lise, à la maison, Qua-| venues la remplacer. 1330 Radio-Cohége 3 15—À la console PT des émissions
pendi qu rit ces e r et me J.-; Soucy | rent: eny et leurs enfants, de Lorinsg |tre filles, Alice, Denise, Lor- Mr : + F
C2 4 Ê ; Mme Médelger Chabot et sa
magnifiques vus sont de retour d'un voyage dans M. Thomas Perras, de Winni- Mont. étaient en. visite chez M. | raine et Evelyne, de Régina : ”
“eci fut » * inie \ Fe / , € erras, LE v? È e Ps yne, ina, ! mère, Mme C. Douville, de Pon-|!
ere DS rl ne À DNS PIS RENTE de Québec, Henri peg, passe quelque temps chez! Michael Heisler, dimanche der-| n'ont pu se rendre à cette fête, | teix, sont parties en evion dans
_. L è ati4 v- Le Eye . e re venu 'aveo"euxs. ;, sa mére, Mme Rose Perras. nier, 1 | mais transmirent lcurs bons sou-! l'est, visitant Ottawa, Montréal! erras, e piri iver,
rréable soirée : dur ris ; M. et Mme Gordon Cochrane | haits à leurs parents par télé-| ef autres endroits rour un mois. |
et leurs enfants, d'Orkney, é-| phon:. MM. Honoré, Arsfne, A- ÿ
EEE F4 taient en visite chez Mme Jos.|lexandre et Daniel Bouvier, de le Yvonne br RP victime ‘une mort tragique
| s soeur -
Mme h. Leblanc, de Domremy, est décédée Sincennes, la semaine dernière, ! Meyronne et Gravelbourg, M. et | allée visiter ses
frère, M. et Mme E. Douvill:, à
Ro FT-E, i 2 x . 2 e à à E
bert-E. Gobeil, B. Com. deux semaines après son mari, le 9 février," Micnaci Lewans, de Die | re PR PP 'Eanipiee, Ai D écoltene vint cguir ETES | he M OR Cl.
Comptable Agréé : vale: JO sache ARE Vs à 116, | A ‘ ÿ que accident vint ravir à l'affec-| noît, de Vancouver, C.B., Cle-
F g ,,POMR. EMY - Le mardi 9 fé Remerciements PPS pd np : Ë Willow-Bunch VOL SRE se Eire a tion des siens M. Ferdinand Per-| ment, d'Edmonton, Alta, et Ma-
ad Sidi rier, deux aines après le dé-| La famille Leblanc remercie! 5% ##aurice Sincennes et Ro- ADEUSER, AOCODER Lg ras, âgé de 25 ans, fils de Mme | gella, de Paddockville, Sask.
cès de son rer ‘ane Crilé Carol 15 302 + ; and Bellefeuille étaient en voya- ; x Mme Raymond Chabot, Edmond | ÿijn Perras e L 7 Fate 2 Le
SASKATOON, SASK liaque emporta Mme Hercule Le. |, d4mes de Ste-Anne et tous|e d'affaires à Cadillac, lundi Varet-viont Paul et Renald, ‘e Ponteix, sont | V0p2 Perras ot de feu Of Pattes Le SN Dre, M John Pertes, est
srque emparts Jim recule Le-! Le qui lui ont exprimé des! Gornier FF SSPMES.. RRROU M. l'abbé F. Blanchard, de Ver- | venus visiter leurs parents, M L: jeune homme était employé | décédé le 3 juillet 1953, et un de
eme | MRNC. A GéTUNte laisse 16 SOUVE-! marques de sympathie, de quel To RD DL Ted Où Socd vint à WING EUTEN la let Mend Avis Chabot |OR IR ROUE Oil Drill Explo-|ses frères, Blais:, l'a précédé
mn 7 E. #5 GAUDET ir d'une exce ente chrétienne, que ière que ce soit à l'oc- | inerte. + 1ourigny, O.M.I, AUS (TS 22 AUS siszs- 7 où * , ration Co.”, Or, tard dans la soi-| dans la tombe le 6 mai 1950,
d'une épouse dévouée et d'une! cacion du décès 9” supérieur du collège de Gravel- Vendredi 12 février, pour affaires M. et M Paul Morin sont ! rée du 4 février trouvant LE rice funébre fut ct »
Clim dical mère modèle pour <ses enfants | 45197 du décès de Mme LebiahcC. | bourg, était en visite au presby- de sa Ferme Coopérative Lacer-| ie CRE a nn ni pu évrier hôtel de Wild, APS fUQère fut gnante
que medicale et dentaire nn mn MS le sans dNATi le la et auiess Te ent at allés à Moose Jaw, pour affaires de chambre à l'hôtel de Wild-| par M. l'abbé Clément Richer,
Fr + Elle ee pal tie ir cons 4 Baptème +, a ee mr dy accompagné ! des Frères des el la semaine derniere. wood, il décida de coucher dans | curé de la paroisse St-Joseph, de
En face de la Commission tion des Dames de Ste-Anne, dont Le 0 Zévria ADI Al et Mme David Scantland, 1 Chrétiennes, il se an dit ‘à M. et Mme G. D:sharnais sont “09 Camion. Le lendemain ma- | Spirit River, Alta, au milieu d'un
vs he Loue les membres-nésistétant Aux | US ri se bap me Fa PR CAL ê DR, En) Gravelbourg pour voir S. Exc.! allés passer la fin de semaine cu Ne 8 h., Da + TR as-| vaste Là apr d pare ce d'a-
i se tême le triés Mie £ L Vage & onteix, dimanche der- pe ta xrÿ tel Erreur e Huross pnyxie, Disn que toutes 1€s por-|miIs qui remplissaien eglise
Prince-Albert, Sask. - Téléphone 4202 , M Paul à ndeau porta la»; : 2 t baptis se Rp v+ pi be Mer À. Deco LA chez lsurs parents, à Pon:eix. tes de son ps. fussent ouver- | Les Sorieurs furent: MM. An-
ba nière dé Ar ine., Mmes A . y 218 A0 pr M. Denis Denniel est en v Ÿ ec pr EP de RAA VOS tes, JUS le monr rt 98 Le PE M V7 se bhes 5 A Per.
. Douc: Josep \ 4 sollier de, 5 Li chez $a soeur, Mme Coranthin >engougn, & nus re x { médecin, qui fut mandé immé-!ras, MM. Mitchell, Spalding et
Pha posa Duncan € Bi o 4 eorges -lK pe nn: nt 7 Kervish. de Ponteix site à leurs parents et amis, der- Marcelin diatement, le fit conduire sans | Roy. M. Ernest Perras portait la
s venue Centrale gi 1b: C I : i , AC et Mme Michael tieisler: ont ni rermeus, ; % tarder à l'hôpital d'Edmonton. | croix, et M. Alex. Perras condui-
INCE-ALBERT. SASK Aer célébré leur 25ème annive M. et Mme À. Martin sont allés Là, rizn ne fut épargné pour le | sait le deuil. Quelques neveux
{PT IONE par: Be: mdr y Bonspiel de mariage, jeudi dernier à Weybarn. dimanche dernier, Aime J. R. Bell est décédée Je lanimer; six médecins Le traité- du défunt servaient la mess
, ù pho . Rompri \ FH PA Cu Die dx | Vi: M. et Mme Emile Rodri- ATARARS iris à l'âge de rent. Cependant, le samedi 6 fé-! L'inhymation se fit dans le ci
b poterie. etc cue La quête du service fut Le club de cu des dames rendu tai M pr gue 90 ans T'entsemmant eut lieu à vrier, vers 6 h. du matin, il ren-| metière local, pres du père du
Téléphone: 2155 aite pa Mmes A. Doucet et J sous la présidenc Mme télicitations L eur M. Albert Lemieux est allé ré- Prince Aibart le mardi suivant dit son âme à Dieu. défunt.
N Re FA ‘ bonspiel M. Albert St-Jean est allé en | <°Mment conduire sa mère, Mme L s : TR Ur Le défunt laisse dans 12 deuil! Remerciements
‘ cast he à FA CN M. onstas équipes | promenade à Ponteix. la semai- ire Lemieux, chez sa fille, Ça et la sa mére, Mme John Perras (née, La famille Perras offre ses r«
H r C x de deui Louis, Hoey, | re dernière : Mme Bernard Bourgeois, de Gra- M. et Mme Paul Phil Angéle Bellemare), 10 frères et| merciements à M. le curé, aux
2. outu, C.R. dure SE Domrémy ; M Violette F . | velbourg. Elle y demeurera pen-!}, eh: s0me. € A0 ilibert et 3 soeurs: Frank, de Valrita, Ont.,| Rév. Soeurs Grises de la Croix
e, 1 ‘ Ars aa à dant quelques semaines. leurs eg +. Marcel et Denis, | Al Ernest, Victor, Bernadet-| aux membres du choeur de chant
AVOCAT NOTAIRE Félicien, et soi d tournoi, l'équipe LE : vift Malad era à Saskatoon, le diman-\£e (Mme Mitchell}, Nathalie! et à tous csux qui lui ont témoi-
Suite 5. editice Impes eg en “He mpstad a rem- jeudi dernie: ok UE 5m et Mme How rd Ste a w (Mme Roy), de Spirit River, Al-|gné de la sympathie, soit par of-
editice Imperial Bank rien Langlois J 1 Furent à l'hôpital du 6 au 13 + Mme Howard Stensrud, €t 4!{3 Antonio, de Donnelly, Alta, | frandes de messes et de prières,
PRINCE-ALBERT. SASÉ _ Mme Leblanc (née Joséphin: Statistiques Mmes Alcide Grégoire, Bee Aenions LARrpuR, de Cal-! Ajphonse, de Grande Prairie,| soit par bouquets spirituels ou
__ | Langlois) naquit le 30 avril 1899 a: DRE 1 là pou inen, Gail Bérard et Lilliane | 8aTY, qui ÿ était en visité. Alta, Louis, de Régina, Sask, tributs floraux
dise je à ñ Catherine, comté de Stan pour 1 évé gs ts [me fille), MM. Emile! Mme Adélard Marion est allee | mem nes
gences J,-A, Fournier PQ 2ème prix, un service à gâteau fovers et 450 ârnes ouquet, Jack Foley, Louis Cam- | 4 St-Boniface, voir son pér lan-
€ laisse daps le deuil. outre |" A "sème tournoi Mme Fio-| #istré, au cours de pagne et Harry Crawford, Mme | gereusement malade.
AE x De, Aobiauee ot) Au Jme fourtel Bns Pis SubS en ee ere Dénee 2 Life | Le lundi après-midi 8 février, | Cd, me “Ever-Charge”
. Ga de | eurent des boites à pou fe 12.000 com i Woodv, et le bébé Marit, de Fife | un incendie a détruit la demeure oulourd'hui!
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Le Ma diamants || Leblanc, beeu-frère de Mr “ga ER DU , 1e Laura Nadeau, Hildegarde Le-| venue dernièrement de l'hôpital | même après-midi, une souscrip-
Le a roues Des on blanc, de Régina et M : dec + ÿ ne NF, HAÇORE _de Fer- ICK , | de Régina. Son état de santé de-|tion a été lancée, et 1: mercredi NOM sat sterser .…. ADRESSE
1-B GAUDET, prop Emile Fournier, sa belle-soeur, de | chez leur na D. et Mine F6! Willem Biere Hit Mhndons TRES | suivant, il y eut une soiré:, dont
. Prince he 5 fige Fe el: > NUS e llia vhnstone onne chance à tous ces mala- les profits allérent à La famille E. & À. DISTRIBUTORS — 24 i Ù e
— — | Prince-Albert ilix Branger, dernièrement. li Orkney: Arthur rl 4 | des. Ts | 5 UTORs 2458 Atkinson 51, Régine, SASK,
Winnipeg, le 19 février 1954
L4 LIBERTE ET
LE PATRIOTE
PAGE ONZE
Mile Louise Roy donne ra un concert
en la cathédrale de Prince-Albert
PRINCE-ALBENT
19 février,
Princes
Aujour-
la cathédrale
Mile Louise
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Soiree sociale
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Cau-
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St-Brieux
Mariage
28 janvier, deux de nos
M. Steve Varga, no-
tre radioæmeécano surveillant |
des lignes téléphoniques, et Mile
PhyllisCélestine Bédard, fille de
M. et Mme Wiiliam Bédard, re-
cevalient la bénédiction nuptial
Le
jeunes ge ns
et
dans notre église magnifique-
ment décorée. Le nouvel époux
avait pour temoin son pére,
\ Steve Varga, et la ma-
rite, vêtue d'une toilette à la
fois modeste et de fort bon goût,
s'avança à l'autel au bras de son
pére
Les garçons d'honneur étaient
MM. M. Bédard, frère de la ma-
rie Lucien Briens et Roger
Rohel; les demoiselles d'honnesr
furent Miks Hélène et Fay Bé-
dard, soeurs de la nouvelle épou-
se, et Mile Vera Varga, soeur du
marié.
La cérémonie religieuse termi- |
née, un magnifique repas fut
srvi dans la salle paroissiale, à
plus de 150 invites
Le nouveau couple
sur la ferme paternelle
habitera |
Baptèmes
Marie-Anne-Rose, enfant de
M. et Mme Antoine Biandin, née
Schmitz. Parrain et marraine, |
M. Lucien Leray et Mlle Alice
Blandin.
Philippe-LouisJoseph, enfant
de M. et Mme Louis Rocher, née
Coquet. Parrain et marraine, M.
et Mme Donatien Coquet
Denis-François-Joseph, enfant
de M. et Mme Paul Coquet, née
Mahussier. Parrain et marraine,
M. et Mme François Bourgault, |
fils |
Cécile-Marie, enfant de M. et |
Mme Emile Creurer, née Fau.|
Parrain et marraine, M. Arthur |
Creurer et Mille Lucienne Fau,
Maxime-Marie, enfant de M.
et Mme Louis Boulanger, née Le
Gatt, de Pathlow, Parrain et
marraine, M. et Mme Joseph Le
Gatt,
Nos malades
Mme François Thébaud a eu
le malheur de se fracturer une
jambe et elle devra faire un as-
sez long stage à l'hôpital.
Mme M. Rouault est aussi sous
traitements à l'hôpital de Mel-
fort, ainsi que Mme Daubenfeld. |
Nous leur souhaitons un prompt |
rétablissement.
Le berne des profits
sur tout le grain livre aux Elévateurs du POOL en
1952-53 est maintenant
$2,000,000
payes oux membres
ARGENT COMPTANT
UN CENT LE MINOT
$4,000,000
crédites œux comptes
des membres
DEUX CENTS LE MINOT
Us ra li
La coopéralion est avantageuse
SASKATCHEWAN
HEAD OFFICE
| plus jeune fille, Antoinette, Mme
| Alfred Charles,
| M.
| Mme André Baudu.
| Georgette Jacques, sont heureux
‘en bonne voie de rétablissement.
sous la direction de
les gagnants fu
Stockli et Aimé
ernadette Di-
et Aristide
Mme Henri Sar-
victoricuse au Jeu
organisé par
M. et Mme Ernest Bourgeauit.
Le goûter fut servi par MM.!
et Mmes Donald Régnier et Léo-
nard Lemieux et M. Jean Détil-
lieux
Au bingo,
M. M. Gaudet
rent MM
Brossard
nelli, A
Guiliet (2 fois)
razin fut
Chaise musicale
t Marc
Mrne
n doi
Sst-Amant
apprend que
Mme L.-G. Carrier,
‘hôpital Ste-Famille,
sensiblement
On
anté de
pitalisée à
s'améliore
Dumas
Noces d'or
M. et Mme Camille H. Garié-
py visitèrent leurs fils et belle-
fille, M. et Mme Eamond Garie-
py, gérant de la J. C. Case Ma-
chine Co., à Maxville. Ils se ren-
dirent ensuite chez leurs fille |
et gendre, M. et Mme A.-J. Abra-
ham, de 667, rue Elm, à Winni-
peg, et y célébrèrent leur 50:
anniversaire de mariage
ST-HUBERT L'assemblée!
annuelle de la Caisse Popuiaire
de St-Hubert eut lieu le vendre-|
di 12 février, à 1 h. pm. Trente-
M. et Mme Camille-H. C-rié-! six membres et un visiteur
py #e mariérent le 18 janvier | étaient présents
1 F : san-Bantiste
1904, à St-Jean Baptist , Man. La séance fut présidée par M.|
où M, Gariépy opéra une bouti-|G Decelle et le secrétaire, M |
que de forge pendant 6 ans. Ils\E Henschel, lut les minutes de
deménagérent à Dumas avec|], séunion annuelle précédente.
leurs deux enfants, Edmond et
Alma, au printemps de 1916, et
M. Gariépy y exerça son métier
jusqu'en 1932, C'est alors qu'ils
allèrent rester sur Jle.r ferme
non loin du village de Dum. 4, où
ils resident actuellement. Leur |
M. O. Praud proposa et M. W.]|
Blackstock s-conda l'adoption!
des minutes. M. Raymond Mullie |
donna le rapport des directeurs,
adopté par M. O. Brule et secon-|
dé par M. L. Beaujot. Le rapport |
financier fut lu par le trésorier, |
M. E. Henschel, ct démontra que |
les recettes nour l’année se che |
frent à $46,534.69. Les prêts de |
la Caisse Populaire au cours des|
demeure avec
eux. M. Gariépy vendit une por-
tion de sa ferme (320 acres) et!
rer re mp pr _ pere 3 10 ans de son existence sont d'un |
Alfred e harles. Les pr total de $219,024.57. Ce rapport |
laires jouissent d'une excell.te | ji fut adopté sur la propositio® |
re de M. O. Rrulé, secondé par|
Assemblée M. L. Beaujot. Le rapport fi-
7. | rancier fut lu par le trésorier
La première asszmblée de la | # oi. |
Ligue des Femmes Catholiques total de $219,024.57. L'adoption
ET J p “bn | de ce rapport fut proposée par
a eu lieu chez Mme Jean Charles À
la seconde chez Mme Alex. Bou, | M: Paul Jordens et secondée par |
let le 13 janvier, et la troisième ER À Mers À A FAPPOR +
chez Mme Adoiphe Charies, le! 9 pred Flick. MM. O. Brulé et |
10 février. Un bon nombre de Rémi Praud Droposérent et se-
membres y assistaient, ainsi que | condérent pre Es ion sad
l'abbé D, Dorion qui nous fit P pi |
Le rapport du comité de sur-|
une intéressante causerie et nous
>rodigua de bons conseils. On Veillance fut donné par M. A.|
remit également aux membres Smects, adopte pr M. H. Flick |
les insignes de la L.CF. et secondé par M. A. Beaujot. |
Du tissu fut distribué à tous
les membres présents qui en|
feront des vêtements. L'on ven-
dra ces derniers au profit de
notre église. |
Un délicieux goûter fut servi. |
M. D. Smith, de Régina, ins-
pecteur des Caisses Populaires
pour la Saskatchewan, fit quel-|
ques remarques sur le rapport
annuel et donna plusieurs exem-
ples des activites des Caisses
Populaires dans la province.
Les élections pour l'année
1954 suivirent. Tous furent élus
par acclamation: MM. ©. Praud
et W. Blackstock, directeurs;
MM. J. Dartige et R. Mullie, au|
comité de surveillance, et M. A.
Beaujot au comité de Crédit.
Un goûter fut servi par ï)
(l
Baptème
Marie-Diane-Valérie, enfant de
M. et Mme Arthur Charles. Par-|
rain et marraine, Lionel et Anita
Larrivée, oncle et tante de l'en-
fant. |
Va-et-vient |
M. et Mme Maurice Zebière et |
leurs enfants rendirent visite à |
leur père et grand-père malade | J
à l'hôpital de Wawota, Son état | rent montrés, l'un sur les coopé-
s'améliore. | ratives, en particulier la raffine-
M. et Mme Emile Baudu et | -— ”
Alice, de Kipling, rendirent vi- |
site à M. et Mme R. Jacques et à
leurs fils et belle-fille, M. et
messieurs. Deux films nous fu-
| Coderre
Les enfants des classes primai-
Naissance res et intermédiaires de l'école
M. et Mme André Baudu, née | publique ont fêté la St-Valentin
le jeudi après-midi 11 février.
de faire part à leurs parents et| Leurs invites étaient les tout-pe-
amis de la naissance d'un fils, | tits qui doivent commencer l'é-
né le 13 février à l'hôpital de! cole au prochain terme, Le soir,
Wawota. les élèves des grades supérieurs
Nos malades eurent aussi leur fête et s'amu-
M. Z. Rollin est à l'hôpital. |sèrent à différents jeux d'esprit.
M. Alphonse Lamontagnc fit] La soirée se termina par un bon
un court séjour à l'hôpital et est | 8oûter. Merci à leurs dévouées
maîtresses pour l'organisation de
{ces divertissements pour les éco-
| liers de Coderre
| Les dames de l'Autel tinrent
ieur assemblée du mardi 9 février
chez Mme Armand Gaucher: 10
membres étaient présents, ainsi
que M. le curé, On fit lecture des
minutes de la dernière assemblée |
et une discussion des problèmes |
financiers suivit. Mme Gaucher |
servit à ses invités un délicieux |
goûter. |
La prochaine partie de caries |
aura lieu le dimanche 21 février. !
M. et Mme Albert Parent dd
leur fils, Edouard, de Meyronne,
étaient en visite chez Mme J.-B. |
Gaucher, le mercredi 10 février.
MM. Olivier et Willie Gaucher |
étaient en voyage d'affaires à|
Moose Jaw le 12 février,
|
Mme Lucien Peltier, souffrant |
d'une mauvaise grippe, est hos-|
pitalisée à Gravelbourg
Mile Pauline Marcil, de Moose
Jaw, était en visite chez des a-|
mis, à Coderre
eh
distribué comme suit:
MONTMARTRE — La 12ème
assemblée annuelle de la Caisse
Populaire de Montmartre se te-
nait en la salle Beauchemin le
mercredi 10 février, à 2 h. p.m.
M. Hector Lavoie présidait l'as-|
semblée et donna le rapport des
directeurs, tandis que M. J. Jou-
bert, secrétaire-trésorier, fit part
du rapport financier. L'année 1953
en fut encore une de succès pour
notre Caisse, et espérons que rel-
le-ci continuera à progresser com-
me elle le fait depuis ses débuts
en 1941.
Les officie:s sortant de charge
ei MM. Régis dy g Louis
uan, ©. Robert et J.-C. Perron.
3 CENTS Les ane mage à és un Ds
de 3 sont les suivants: MM.
LE MINOT Régis Ferraton et W. Fisher, au
comité de direction: M. W. Latur-
nus. au comité de surveillance, et
M. O. Robert, au comité de crédit.
Bonspiel
Deux équipes de Montmartre
prirent part au bonspiel du vil-
lage voisin de Candia: ce sont
WHEAT POOL | l'équipe de MM. A. Coclican, L.|
| Fournier, H. Cho“whish et W, La-|
© REGINA turnus et celle de MM. Paul, G.|
Lerminiaux, M. Lavoie et J.|
Luster. L'équipe de M. Coolican |
remporta les premiers prix, \
de St-Hubert se chiffrent à $46,534
| de
Election des officiers de la
Caisse Populaire à Montmartre
À Huit de ces Super Constellations géants pesant chacun 66 tonnes seront eh service sur les
| lignes aériennes d'Air Canada à compter du 3 mars. Ces appareils, d'une valeur de $3,000,000 chacun, |
sont activés par des moteurs turbopropulseurs et peuvent survoler une distance de 4,000 milles sans
|arrèt. Les Super Constellations en usage au pays pourront accommoder 94 passagers tandis que ceux
qui seront affectés aux envolées transatlantiques n'en transporteront que 63. (CPC)
Les recettes de la Caisse Populaire
rie d'hui’e de Regina, et l'autre |
sur l'établissement des Caisses |
Populaires dans les provinces
maritimes
Les Rév. Soeurs de l'Haspice
Jeanne d'Arc avaient eu l'ama-|
bilité de nous prêter leur projec- |
tur pour l'ocasion et M. E.|
Gatin en était l'opérateur
Dames de l'Autel |
La réunion des Dames ce|
l'Autel eut lieu chez Mme F.|
Beaujot, le mercredi 10 février, |
avec 17 membres présents. Le
rapport de la partie de cartes fut |
donné et une autre partie de|
cart:s fut proposée pour le 24 |
mars. La prochaine réunion .ura
li:u chez Mme Be!lehumeur, le
10 mars, en vue de confectionner |
un couvrepieds. Les membres |
devront apporter des morceaux |
d'étoffe. Le prix d'assistance, |
donné par Mme E. Beaujot, fut!
gagné par Mme R. Istace, |
eut un goûter. |
Va-et-vient |
MM. Jean Boutin, Victor Gatin|
et Georges Istace, de Régina, |
étaient chez leurs parents en fin |
semaine.
Mlle A.-M. Istace, qui était à
l'hôpital des Soeurs Grises ‘|
Y
Régina, est revenue chez ses
parents en convalescence. |
Mile Elise Mercereau, de Titanic,
est décédée à l'âge de 22 ans
TITANIC -— La mort a enlevé |
à l'affection des siens Mlle Elise
Mercereau, âgée de 22 ans et 7!
mois, décédée après une assez |
longue maladie à l'hôpital de|
North Battleford. Elle rendit |
son âme à Dieu le lundi 8 fé-|
vrier.
Le service funèbre fut chanté
par M. l'abbé R. Jourdain, le
jeudi 11 février, à 10 h. 30,
Les porteurs étaient MM. Au-
guste Mercereau, Armand Rio,
Paul Fiolleau, Felix Arcand, Fe |
saire Arcand et Percy Verreault,
M. Raymond Piché portait la
croix.
La défunte laisse dans le deuil |
son père, M. Arsène Mercereau, |
sa mère (née Marie Fiolleau), 5 |
frères, Emile, Edmond, Paul,|
Claude et Gérard, 2 soeurs, Aga-|
the et Suzanne, tous à la maison. |
Sont venus assister aux funé-
| railles: Mmes Léonard Doucette |
et Allan Dumont, tante et cousi-
ne de la défunte; MM. Cléme.t
Mercereau et Jean Fiolieau, ses
grands-oncles; Mme Marie Pogu,
sa grand-tante, ainsi que M. J.-B,
| Mauvieux et Mlle Reine Mau-
vieux, tous de Duck Lake.
Sintaluta
M. et Mme Marcel Longeau et |
leur mère, Mme Léopold Lon-|
geau, de Lac Marguerite, sont!
venus à Sintaluta, rendre visite
à Mme Henri Oudot et aux fa-
milles Noël Oudot et Marcel Fran-
çais.
Mme Henri Oudot et les fa-
milles Noël et Robert Oudot et
Tom Earnshaw sont allés au Lac|
Marguerite, visiter MM. et Mmes}
Marc Longeau et Charles Oudot.
M. et Mme Marcel
sont allés à Indian Head, visiter |
Mme Napoléon Gendron.
M. et Mme Stanley Zaba sont |
allés à Régina, visiter leur mère,
Mme Zaba, malade à l'hôpital
des Soeurs Grises.
MM. et Mmes Paul Français et |
Jos. Stoppler sont allés à Régina |
et ont visité l'oncle et la tante de;
Mme Paul Français, M. et Mme)
Stanley Miller
Français |
Malades |
Furent hospitalisés en notre hô-|
pital au cours de la semaine:|
Mmes Paul Slymka, Dorothy |
Schmidt, Peter Lesko et Elmer]
Klassen, MM. Harold Anderson
et Honoré Ferraton
Naissances
A M. et Mme Charles White,
un fils |
A M. et Mme M. Sebastian
un fils
A M et Mme Anton Baumgart- |
ner, un fils
Gouret
Deux parties de gouret furent!
jouées sur notre patinoire, samedi
soir et dimanche après-midi. A
la première entre Glenavon et
les nôtres, ces derniers furent
victorieux, mais la partie de di-
manche, jouée entre Montmartre
et la “Regina Balfour Tech
Schoo!'"', donna la victoire à l'é-
quipe de Régina
L LL L
Etaient en visite chez M. et
Mme J. Joubert, M. et Mme L
Noëls et leurs fils, de Wolseley
Nos sincères sympathies à Mme
John Perras, anciennement de
Montmartre, à l'occasion de la
mort de son fils, Ferdinand, vic
time d'asphyxiation dans un ca-
mion, !
| semaine
|et marraine ses oncle et tante,
| serie
| d'autres, par
| d'entrée
| town
:
Meskanaw
Naissance
A M. et Mme Aibert Gudelot,
une fille, née le 5 février à l'h6-
pital de Kinistino.
Malades
Mme Alex. Dubois a passé deux
à l'hôpital de Kinistino
pour traitements médicaux
Mme Rosalie Janex a passé une
journée à l'hôpital de Kinistino
Ça et là
Nous apprenons que M. et Mme
Henri Beaudet ont acquis une
propriété à un mille au nord de
Crystal Spring. Ils ont l'intention
de déménager au printemps dans
leur nouvelle demeure
M. et Mme T, Carrière, de Prin-
ce-Albert, étaient en visite chez
leur tante, Mme Justine Descham-
bault, et chez plusieurs autres
parents dans les alentours, ré-
cemment.
M. Louis Beaudet est revenu,
4 février, de Saskatoon où il
à passé une semaine avec sa fille
et son gendre, M. et Mme J. Fra-
ser
M. Elie Rouault alla visiter sa
mère qui était hospitalisée à Mel-
fort, le 3 février,
MM. et Mmes Jos, et Henri
Janex ont fait un voyage en auto
à Prud'homme, le dimanche 7
février.
Mlle Madeleine Rouault était
en visite chez ses parents, récem-
ment.
le
Remerciements
La famille Mercereau désire
remercier tous ceux qui lui ont
témoigné de la sympathie, soit
par visites et prières, soit par
assistance aux funérailles.
Naissance
M. et Mme Paul Mariani sont
les heureux parents d'une fille
née le 17 janvier à l'hôpital de
Rosthern. Elle reçut les noms
d'Anne-Marie et eut pour parrain |
M. Joseph Mariani, de Duck
Lake, et Mlle Marie Vien, de!
Vancouver,
Redvers
Partie de cartes
Le dimanche 7 février eut lieu, |
en la salle de l’église, une partie
de cartes organisée par le groupe |
no 2. Les gagnants au whist fu-
rent comme suit: prix des qua-|
tre mains, Mmes Louis Claude et
Paul Freçon, M. André Bauche, |
de Bellegarde, et M. Paul Syl-|
vestre, de Wauchope: prix de la|
de 16 mains, Mlle Ruby
Gohel.
Au bingo, deux prix furent ga-
gnés par Mme Paul Freçon et
Mlle M. Robertson,
Darby, Mlle Lorraine!
Matheson, Mille Mariette Dumai-
ne, de Storthoaks, M. l'abbé A.
Vardendriessche, Mile J. Freçon,
Mile Anita Buissé, Mme A. Pe-
ters et Mme L. Marchand.
Le grand tirage de $25.00 fut
réparti comme suit: $10.00, à M.
P. George, de Bellegarde: $10.00,
à M. j'abbé A. Vandendriessche
et $5.00, à M. André Paulhus, de
Bellegarde, Les numéros chan-
Mme cC.
|ceux furent gagnés par Mme C.| ;
| naire,
Darby et M. Fabien Cook. Le prix
échoua à M. Paul Fre-
| çon et une rafle de $5.00 favori-
sa M. Fabien Cook. |
Les recettes de cette soirée fu-
rent de $522.00, La prochaine soi- |
rée aura lieu le 7 mars et tous y |
, sont les bienvenus. |
Çà et là |
M. le Dr et Mme L. Morin ont
passé quelques jours à Winnipeg.
M. Etienne Paulhus est parti à |
Weyburn où il a accepté un em-|
ploi |
Notre vicaire, M. l'abbé A. Van- |
dendriessche, a passé quelques
jours à Weyburn et Régina
M. Raoul Sylvestre est allé à
Régina pour quelques jours.
M. et Mme Aimé Lamothe ont |
passé une semaine à Régina, |
M. et Mme Maurice Lamothe |
sont allés à Hartney, Man, pour |
quelques jours |
Etaient de passage au presby-
tère, ces jours derniers: MM. les
abbés A. Turgeon, de Wauchope, |
et C. Gibney, de Storthoaks
Naissances
A M. et Mme Jos. Lajeunesse,
une fille, née le 24 janvier et bap-
tisée sous les noms de Rachelle- |
Lydia, Parrain et marraine, M
et Mme Raoul Béchard, de Rase-
tante de l'enfant. |
Î
1
oncie et
A M. et Mme André Delmaire,
de Wauchope, un garçon et deux |
filles jumeaux, nés le 5 février
à l'hôpital de Redvers
A M. et Mme Aibert Luyten,!
4
Soiree paroissiale
Le dimanche 7 février une soi-
ree, agréementée d'une partie de
cartes, de bingo, rafles, enché-
res, eîc., eut lieu
au profit de la construction de
notre église. Les recettes furent |
de 5650.00. Félicitations.
Depuis le ler février, les pa-
roïssiens viennent à tour de
rôle (une quinzaine chaque jour)
pour travailler à l'intérieur de
l'église; aussi, les travaux avan-
cent-ils rapidement
Naissances
Le 15 janvier: à M. et Mme
Georges Blaïn, une fille, Jeanne-
Louise-Marie, baptisée le 24.
Parrain et marraine, M. et Mme
Pierre Blain, grands-parents de
l'enfant
Le 17 janvier: à M. et Mme |
Daniel Paquette, une fille, Lynn-
Donna-Marie, baptisée le 31.
Parrain et marraine, M. et Mme
Laurent Bujold, de Cold-Lake,
Alta, oncle et tante de l'enfant
Va-et-vient
M. Athanase Lajeunesse est de
retour d'un voyage de deux mois
à Port-Alberni, Vancouver, Vic-
toria, etc
M. et Mme Eugène Labrecque,
de Rosetown, étaient en visite
les premiers jours de février,
chez Mme Léontine Labrecque
et autres parents et amis
En visite chez M. et Mme
Louis Laitre, le 7 février: MM.
et Mmes Oscar Henri et Philias
Boucher, Mmes Arthur Gerard et
Jos. Poilièvre, de Laventure et
Léoville.
M. et Mme Lionel Courchesne
et leur fils sont partis en voyage
à Vancouver.
Nos malades
Mme Omer Lajeunesse est ren-
trée dans sa famille, après un sé-
jour de 2 semaines à l'hôpital de
Prince-Albert
M. Ovide Lajeunesse est hos-
pitalisé à Prince-Albert
Voeux de complet rétablisse-
ment à tous,
Saint-Isidore de
Bellevue
Ça et là
M. Wilfrid Gareau est
d'un voyage à Debden où il a vi-
sité sa fille et son gendre, M. et
Mme Philippe Pouliot.
M. et Mme Jean Gaudet et M.
Pierre-Albert Gaudet sont partis
|en voyage dans le Québec et les
| Etats-Unis.
Mlle Rose-Anne Topping, fille
de M. et Mme Emile Topping,
nous a quittés, la semaine der-|
nière, pour entrer au noviciat des
Soeurs Grises, à St-Boniface, Man. |
Baptèmes
Le 27 décembre: Joseph-Jean-
Léo, fils de M. et Mme Jean-Ca-
sous les aus-|
pices des dames de la paroisse et |
revenu |
Chroniqueur:
Messe à 5 h.
p.m.
Le 5 février, premier vendred
du mois, exposition du T. S$. Sa
[crement pendant toute la jour
née; à 3 h. 30, bénédiction, A
5 h. de l'après-midi, S. Exc. Mg
| Aimé Decosse disait pour la pre
mière fois la messe au collège
Au collège, sur semaine, mess
dans l'après-midi! chose tout à
fait nouvelle pour nous
son de cette innovation,
donner aux externe
de faire plus facilement
mier vendredi, Il en se
parait-il, a avenir, tous les pre
miers vendredis du mois. Du
| rant la messe, la chorale fit en-
tendre ses plus beaux cantique
Après le souper, S. Exec. M£g
notre évêque se rendit au gym
nase où iln a parole
C'était la pr que nou
avions le p idre no
tre b pariar
dans l'initimité aux élèves. Il nou
donna des conseils paternels sui
la nécessité des convictions soli
des: sur le devoir que nous avons
de nous préparer à devenir de
bons chrétiens et des apôtres p
mond
tard dar
Au nom de tous les Î
je prie Son Excellence d'agrezr
notre témoignage de vive grat
tude. Puissions-nous jouir sou
vent de sa présence au milieu de
nous
otre
Renaud PREFONTAINE,
Arts II]
Sports
dé
Le 4 février,
ballon-panier
joueurs
rendaient à As
siniboia pour leur première jou
te de l'année ‘54. Au début, la
partie fut chaudement disputée,
mais nos étoiles prirent bientôt
| le dessus et remportèrent une
brillante victoire de 83 à 43
Félicitations aux gens d'Assi
niboia pour leur bon esprit,
L L
nos
se
Un beau voyage
l
Pour des collégiens, une excur
sion en auto, à une distance de
200 milles, en hiver, voilà qui
sort de l'ordinaire!
La semaine dernière, la troupe
| des acteurs de la comédie “Ma
| femme tient le volant” et le club
{des Alouettes quittaient Grave]
mille Gaudet. Parrain et marrai- |-
ne, M. et Mme Jean Gaudet
Le 8 janvier: Joseph-Julien,
fils de M. et Mme Maurice Pelle- |
tier. Parrain et marraine, M. et
Mme Joseph Doucette.
Le 10 janvier: Vivianne-Marie-
Josette, fille de M. et Mme Con-
rad Gareau. Parrain et marraine,
| M. et Mme Gilbert Gareau.
Le 14 janvier: Alice-Florence-
Marie, fille de M. et Mme Ernest
Jobin. Parrain et marraine, M,
et Mme Herbert Bruch.
Le 16 janvier: Colette-Marie,
fille de M. et Mme Félix Pelle- |
tier. Parrain et marraine, M. et |
Mme Jean-Marc Gaudet.
Le 16 janvier: Jeannette-Marie, |
fille de M. et Mme Félix Pelle-
Îtier. Parrain et marraine, M. et
Mme Constant Brülé,
Le 17 janvier: Marie-Adrienne-
Hilda, fille de M. et Mme Pierre |
Gareau., Parrain et marraine, M,
et Mme Adrien Hamel.
Décès
La petite Della Gaudet, fille
de M. et Mme Jacques Gaudet,
est décédée le lundi 28 décembre
à l'âge de 3 ans.
Viscount |
Ça et là
Le dimanche 7 février, avait
lieu en l'église St-Alphonse l'as-
| semblée annuelle de la paroisse.
M. Peter Reiber, jr, fut nom- |
mé marguillier en remplacement
de M. Raoul Clavelle, démission-
Nos malades
Mmes Ben Kusikoski et Clif-
ford Marcoux sont revenues dans
leurs familles après avoir été
hospitalisées durant plusieurs se-|
maines à l'hôpital St-Paul de
Saskatoon. Leur condition est sa-
tisfaisante.
Le mardi 2 février, M. et Mme
A. Ciavelle recevaient la nou-
velle que leur fils Henry, de
Winnipeg avait été transporte
à l'hôpital Miséricorde de Win-
nipeg, gravement malade.
Décès
Le mercredi 10 février, M. et
Mme Ed. Comeault se rendaient
à St-Jean-Baptiste, Man., où ils
assistérent aux funérailles de
l:ur beau-frère, M. F. Jubinville,
décédée le 8 février et dont les
funérailles eurent lieu le 11 sui-
vant
L L1 L2
Récemment avait li en la
salle EIK une soirée de whist
au profit des Scouts.
Une tribu indienne
entre dans l'Eglise
MADRAS Tous les membres
de la tribu sud-indienne des Kanis
se sont récemment convertis à la
foi catholique ;
Les Kanis vivent dans les mon-
tagnes et ont été évangélisés au
prix de difficultés
res du T, S. Coeur de Jésus.
En cette Année moriale , , .
Jeunes gens qui désirez vous dévouer au service de
MARIE IMMACULÉE
Enrôlez-vous dans la Congrégation des
FILS DE MARIE IMMACULÉE
Oeuvres: Petits séminaires
Pour
tout
Réverend Pere
renseignement,
- Missions - Prédication.
s'adresser
Superieur
ou;
des Fils de Marie Immoculée
ST-HUBERT, SASK.
; énormes par |
la Congrégation indienne des Fre-
:_ Saint-Front
Va-et-vient
MM. Emile et Gérard Boire et
|leur soeur, Mme W.-H. Fortin,
sont allés à Saskatoon, chez leurs
parents,
| MM. Léo Senez et Charles
| Beaudry, de Bellsite, Man., sont
venus voir leurs familles et amis
dans la paroisse,
Mmes Arthur Lamoureux et
Albert Caillier sont allées à Ré-
gina, la première pour voir son
| mari, à l'hôpital des Soeurs Gri-
ses, et la dernière pour chercher
| sa fillette, Anita, qui a subi un
opération.
Mme Orance Plamondon et sa
| fillette, Murielle, de Flin Flon,
Man., sont venues faire une vi-
site à leur parenté, ici.
MM. André Le Strat, Laurent
Plamondon et Philippe Proulx
sont allés à Yorkton, pour affai-
res.
Le R. P. C. Lesage, P.S.M., en|
compagnie de M. A. Messier, est
| allé rendre visite au curé de
| Tisdale.
| M. Roger Quessy est allé pour
quelques semaines à Val Marie,
Sask., chez son cousin, M. Ar-
mand Quessy,
Chronique du
Collège de Gravelbourg
Saskatchewan
Directeur: André Gervais
Rédacteurs: André Blondeau - Lucien Bose
Paul Juneau
ua | V1 \ 1 rt
ngnant < NS
end | Let
Leb et! Ç i et
d'étonnem C'est fond
de la vallée de la Qu'Appelle, sur
les bords d'un bea grand lac,
se paro
: ’ co
t LH vtte
)! a piu
n ég de Gra
u ilsi ou des
pains d'autre s de encon
t 1 deux, trois quat:
ins de séparatio Poignées de
na à t pl éclats de
ire, histoire ou ve Une
couple de jou ne seront pas de
trop po échange les impres
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æ din | ] qu
égier escalada 1 côt
haute de 300 pied t en a!
Ù isticat, pour la re
È re, dat e temps de le
dit € toboggan, pendant que
les autre faisaient, en sKi tou
t wtes de pirouett Dans l'a-
prés-mid es Alouette mesi
raient, dans une partie de gou-
"et, avec les élèves de l'école in-
dienre, Les champions du coilé-
ge laissèrent les honneurs de ja
victoire à leurs jeunes adversai-
res, Le soir, tous les pères et sco-
lastiques assistaient à une repré-
entation de la comédie donnée
par nos artistes dans l'auditorium
du scolasticat, Le lendemain ma-
lin, autre joute de gouret. Cette
fois, entre les Alouettes actuels
et les anciens Alouette: au-
jourd'hui scolastiques Les an
ciens montrérent qu'ils n'avaient
jeunes durent
| pas désappris
bai pavi
les
set ion
Un beau voyage dont ouve-
nir vivra longtemps dans la mé-
moire de ceux que le sort à fa-
vorises!
La troupe des acteurs et l'équi
pe des Alouettes adressent leurs
plus sincères remerciements à
tous ceux qui ont contribué à
son organisation et à sa réalisa-
tion. Un merci tout spécial à tous
ceux qui les ont si bien reçus,
soit à Régina, soit à Lebret.
G. DORIACÇ
LA LI D
Académie française
Le 3 février, première séance
de l’année ‘54, Les élèves qui bril-
|lèrent par leurs talents oratoires
sont les suivants: Rhéal Préfon-
taine, Renaud Préfontaine, M,
Dupasauier, N, Ferré, Méritent
nos félicitations comme déclama-
teurs: A. Poulin, Roger Fournier,
A. Bédard et F. Simonot, L'art
de la critique fut très bien exercé
par H. Douville, La rédaction du
rapport était confiée à l'habile se-
crétaire, Lucien Roy. Le R, P. Pa-
ris, directeur, toujours à la hau-
|teur de là situation, nous dit le
{mot de la fin.
|
ou
0 +
Faits d'hiver
Quarante sous zéro avec un
vent de quinze milles à l'heure
qui a bientôt fait de vous far-
der les joues en rose, c'est amu-
sant, Mais si le froid se méle de
geler les conduites d'eau qui ser-
vent à chauffer votre résidence,
c'est différent, Essayez de dacty-
lographier avec des mitaines:
cherchez à creusér une thèse de
métaphysique emmailloté dans un
gros parka, et vous m'en donne-
|rez des nouvelles, Interrogez à ce
] résidants de la maison
sujet les
blanche. Ils préféreront peut-être
vous parler de faits divers d'été
plutôt que de simples faits...
d'hiver
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de services rendus et com-
me témoignage de l'estime de
ses collègues
Venu au Canada en 1902, il a
coopéré durant un demi-siècle |
au développement et au progrès |
de nos villes et notre province
et satisfait une nombreuse clien-
tèle, particuliérement de langue
française
cette
tion
"Dieu ou Marx”, déclare
S. Exc. Mgr P. F. Pocock
Si je ne croyais en Dieu, je
m'attacher au communisme”, a |
déciaré lcrs d'un diner du club|
Cosmopolitan S. Exc. Mgr Philip
archevêque de Winni-
affirmé devant |
F, Pocock,
peg. Le prélat a
les membres réunis dans une sal-
le de l'hôtel Marlborough que le
communisme serait très logique si
Dieu n'existait pas
Appuyarnt sur la nécessité d'ins-
taurer a rouveau la region dans
la politique, l'économie et l'édu-
cation, Son Excellence fit remar- |
quer que l'attitud+ anticlérica-
le continue au faire des progrès
dans ces domaines, les masses se
tourneront vers le communisme,
advenant une dépression. En re-
jetant Dieu en dehors de l'Etat,
de l'éducation et de l'économie,
de continuer le prélat, nous pri-
vons le peuple de l'autorité dont
il a besoin: et ce même peuple
s'attachera au communisme qui,
théoriquement, nie toute autorité
supérieure et travaille à établir
“un paradis sur terre”
La principale erreur du marxis-
me, de déclarer Mgr Pocock, c'est |
sa prétention que l'homme peut
vivre sans admettre la possibilité
de l'autorité. Mais, dit-il, dans la|
démocratie chrétienne comme!
dans la monarchie chrétienne, ,
suprême doit reposer
sur Dieu de qui découle toute au-
torité, quelle qu'elle soit. |
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AVIS À NOS ANNONCEURS
A l'avenir, notre page des petites annonces
sera fermée à midi, le mercredi. Nous prions done
nos annonceurs de bion vouloir noter qu'il nous
sera impossible dorénavant d'accepter des petites
annonces aprés la limite de temps mentionnée,
pour publication dans la même semaine.
Winnipeg, le 19 février 1954
TERMES DU PLAN BUDGÉTAIRE
| douard et
| Winnipeg: 4 frères, Albert,
Societe St-Jean-Baptiste
Dimanche prochain 21 fevrier
marquera le début d'une nouvel-
le année pour notre société na-
tionale. Ce serait de bonne augu-
re pour l'année si un grand nom-
bre de nos membres etaient pré-
sents à cette première réunion.
H s'agit simplement d'un petit
coup de coeur et ça y est. D'aïl-
leurs, cette année notre société | l'Immaculée Conception” se con-
aura beaucoup à faire en matière | tinue
de coopération dans la prépara- Nous accepterons les autres
tion du jubilé de la paroisse; il
faudrait donc que tous y soient.
En passant, quand vous vien-
drez à la réunion de dimanche | lentours du Sanctuaire est de
prochain, il ne faudrait pas ou-| $4.50 par jour avec lit double,
blier que c'est au début de l'an-| et $5 00 par jour avec lits ju-
née que se paient les cotisations. , MEaUX à
| Le congrès durera 10 jours
M. le trésorier s'attend à rece-
voir de chacun de vous un petit
billet vert tant 1! hoto de spéciale; celle du Manitoba est
2 dE sn aura. 8 Sd a fixée au 12 août. S. Exc. Mgr P.
ps Pocock, D. Th., -.chevéqu: de
Au Club du Sacré-Coeur Winnipeg, officiera à la mess
Records de la semaine:
MME J, ROBERT
Le dimanche 14 février, à l'à-
ge de 73 ans, est décédée Mme |
Joséphine Robert, à l'hôpital St-
Boniface. Née à St-Norbert, Man,
Mme Robert avait résidé à Au-
bigny pendant 53 ans et demeu- |
rait maintenant à 513, rue Home.
Survivent à la défunte: 2 fils,
Adélard et Odias, tous deux d’Au.
bigny; 4 filles, Mmes A. Alarie,
de Ste-Agathe, L. Champagne, de
Winnipeg, E. Reimer, d'Empress,
Alta, et G. Prénovault, de St-Bo-
niface, ainsi que 3 frères et une
soeur,
Le service funèbre de Mme Ro-
bert fut chanté en l’église du Sa-
Au Sacré=-Coeur
Ligue de 10 quilles rice Baudoux, archevéque-coad-
Equipe G. P.| juteur de St-Boniface, fera le
Bijouterie Bourbonnais 2 1! scx.son de circonstance
| Guertin Frères 2 1 Afin de pouvoir retenir un
Canadian Publishers 1 2 certain nombre de chambr-
Western Paint 1 2 nous aimerions savoir dès que
|H 1 P —— Léo Durand 205 qui se proposent de prendre part
H 3 P -— Edmond Pazdor 549! à ce pélerinage
H 1 P — Guertin Frères 715 Pour plus de détails, veuillez
H 3 P — Guertin Frères 1965 svp. vous adresser à Mmes Q
—— Roy, hôtel Roblin, tél.: 92 1587;
à | Henri Gauthier, 591, rue Sher-
A burn, tél: 723441 ou A. Cari-
Décès gnan, 580, ave Elgin, tél.:!
| 74 8549.
S. M. Georges VI et marqué aux
quatre coins du chiffre 1.
C'est entendu, n'est-ce pas?
Dames de Ste-Anne
L'organisation du pélerinage
au sanctuaire de Notre Jame du
Cap, à l'occasion du Congrès
Marial, pour célébrer le centie-
me anniversaire du ‘’Dogme de
nationalités qui voudront s'unir
à nous pour ce pieux voyage.
Le prix des chambres aux a-
chaque province aura sa journée
pontificale, et S. Exc. Mgr Mau-
possible le nombre de »ersonnes
Chevaliers
de Colomb
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(ACHAT MINIMUM, 15.00)
Durant le mois de février jusqu'au ler mars indusivement
© 10 mois accordés pour payer
les achats de moins de 75.00
© 18 mois pour les achats de
75.00 et de moins de 200.00
© 24 mois pour les achats de
200.00 et de moins de 400.00
© Jusqu'à 36 mois pour les achats
de 400.00 et plus.
Frois de transaction équitables exigés pour ce service.
| “T.EATON C°..
Conseil Provencher
Winnipeg
Assemblee récreative
Nous vous parlions de l’as-
semblée du 25 prochain dans
notre chronique de la semaine
CITE DU VATICAN — Le car-
dinal Alfredo Ottaviani, prose-
cré-Coeur de Winni le mer- x n : yu } ù
credi 17 février. à 10 PÉRNES dernière, Tel qu'annoncé, nous |crétaire de la Sacrée Congréga-
; , ° |aurons une courte assemblée | tion du Saint-Office, a pris pos-
tion se fit dans le cimetière pa-
| d'affaires, à 8 h. précises, après
session de son titre de protecteur
roissial d'Aubigny. as le he ” A iaurent, | de l'Institut français des chanoi-
onférencier du Conseil, nous |nes réguliers de l'Immaculée Con-
MME WILLIAM GLADU présentera une vue parlante | ception.
Mme William Gladu (née Ma-
fut chanté en l'église du Sacré-
Coeur de Winnipeg le mardi sui-
vant, 16 février, à 10 h., et l’inhu-
mation se fit dans le cimetière
de St-Boniface.
Le salon mortuaire Coutu diri-
| geait les funérailles.
Mme Gladu laisse dans le deuil,
outre son époux, 2 filles, Mmes
A. Palmer, d'Edmonton, et G.
| Mitchell, de Winnipeg: 2 fils, E-
tous deux de
Xa-
vier, Charles et Paul Leclair, tous
de Winnipeg, et 2 petits-enfants.
D LA LA
Albert,
MME E. OLIVIER
A l'hôpital St-Boniface, le di-
manche 14 février, est décédée
Mme Eveline Olivier, de 470, ave
| River, Winnipeg, à l’âge de 70 ans.
La défunte laisse dans le deuil
Corydon, est décédée le samedi|des Chevaliers sont invitées à
113 février à l'hôpital Victoria, | cette soirée et le tout sera arrosé |
à l’âge de 51 ans. Son service | de rafraichissements appropriés.
x : | française
rie-Jeanne Leclair), de 631, ave |
Mais il y a encore du|
nouveau à tout cela. Les épouses |
Dans un discours prononcé à
cette occasion, il a abordé ka ques-
tion des prêtres-ouvriers.
“Dans la recherche des nou-
Que nos Frères viennent donc
nombreux le 25 prochain en com-
pagnie de leurs épouses,
Mardi
Les préparatifs de notre gran-|
de soirée du Mardi gras (le 2
mars) vont rondement. Le Frère
St-Laurent y travaille ferme de
concert avec son équipe dévouée,
11 nous pardonnera d'en dévoiler
quelques petits secrets. Nos ama-
teurs de la danse carrée pour-
ront y prendre des leçons four-
nies par les bambins de quatre
ans, experts en la matière, Il
faudra arriver de bonne heure,
naturellement, car ces tout jeu-
nes ont besoin de leur sommeil
et seront à la scène vers 8 h. 30.
De plus, des insignes spéciaux
seront présentés à sept Cheva-|
Le jeu de dames
[au Cercle Ouvrier
gras
3 fils, Cyrille, Adélard et Emile|liers qui deviendront membres| S$s i re ème d
Boisselle; 3 filles, Mmes J.-P. Lu-} honoraires de la Chevalerie, + pet vaut *
signan, J. Desautels et B. Miron;| après vingt-cinq ans de vie co-| Blancs: Noirs:
un frère, Wilfrid Beauvais, et 2|]ombienne. 71-65: :
soeurs, Mmes J, Muloire et P, Et l’on nous promet des amu- 42- 3:
Saltel. sements pour tous les goûts. 67- 7:
Les funérailles eurent lieu en e 7-20: 31-14
l'église du Sacré-Coeur de Win- Notre chapelain 3-25: 43-49:
nipeg, le jeudi 18 février, à 10 h. Avez-vous parfois des doutes| 925.45 et gagnent k
et l'inhumation se fit dans le ci-|sur la foi? Quelques aspects de| 2ème problème, par M. E-
metière Memorial,
Les arrangements funéraires a-
| vaient été confiés au salon Coutu,
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notre religion demeurent peut-
être incompris. Pourquoi demeu- |
rer dans le doute pendant des
années? Et quel laïc n'a pas eu!
de doutes?
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croix.” |
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de la France, qui, a-t-il dit, “a
de la foi romaine, et un pays ca-
tholique par excellence”, le car-
dinal Ottaviani a déclaré que l’E-
glise savait ‘adapter avec sages-
se les méthodes traditionnelles
aux exigences modernes, sans
pour cela faire des sauts dans le
noir, ou adopter des méthodes
plus spectaculaires que sûres et
efficaces du point de vue sacer-
dotal, méthodes qui font bon mar-
ché des grâces surnaturelles dont
nous devons être ministres et non
pas seulement témoins”, |
“Vous unissez la prière et l'ac-
tion dans un même ministère, a
dit le pro-secrétaire de la Congré-
gation du Saint-Office à ses au-
diteurs, vous comprenez et sou-
tenez le pauvre et l’ouvrier, vous
repoussez la lutte des classes, vous
ne dissociez pas la famille reli-
gieuse de la paroisse, et de tout
temps, exaltant la dignité du chré-
tien dans le laïcat, vous avez une
idée saine du sacerdoce.”’
Le cardinal Ottavlani à dit en-
suite que l’action paroissiale était
supérieure à toute autre forme |
d’apostolat qui ne tiendrait pas|
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